Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession, a annoncé mercredi le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir.
Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession. Ministre de la Défense, il a été désigné candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir pour l’élection présidentielle.
Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession. Ministre de la Défense, il a été désigné candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir pour l’élection présidentielle.
Ministre de la Défense, Ali Ben Bongo est donné favori pour succéder à son père, décédé le mois dernier à l’âge de 73 ans.
« Le comité politique a décidé par consensus de nommer Ali Ben Bongo candidat du Parti démocratique gabonais à l’élection présidentielle », a annoncé Angel Ondo, secrétaire général adjoint de la formation, devant les caméras de la télévision publique.
L’élection doit se tenir au plus tard le 6 septembre, a fait savoir la semaine dernière la Cour constitutionnelle.
Jugeant difficile d’organiser l’élection dans un si court délai, elle a par ailleurs prolongé la période de 45 jours pendant laquelle le gouvernement provisoire mis en place le 10 juin est constitutionnellement autorisé à administrer le pays.
L’opposition craint que le scrutin ne soit qu’une formalité pour avaliser la succession.
Le fait qu’Ali accède au pouvoir ne veut pas dire que le gabon est une monarchie ,loin de là car les dispositions constitutionelles prévues en cas de vacance du pouvoir ont bellle et bien été respectéés,aussi on ne peut pas parler de monarchie alors qu’il y’a une élection présidentielle en cour d’organisation.Le gabon porte l’étiquette d’une république et non une monarchie,à partir du moment ou les élections se déroulent conformement à la constitution,il serait maladroit de parler de monarchie.Par ailleurs meme dans les Etats de tradition démocratique,on a vue les fils des président acceder à la magistrature supreme :Georges Walker Bush aus USA est une illustration parfaite!!! vous me direz que cela n’était pas successif ou due à un cas de décès mais il serai injuste d’exclure un candidat de la course présidentiellle faute de son appartenance familialle, arretez avec la bongophobie alors qu’on l’a aimé pendant 40ans.Aussi je demande aux membres du site de sensurer tous les commentaire à caractères Xénophobe,Mr Eloi, Ali n’est pas nigérian,il est gabonais comme vous et moi!!!merci pour votre bonne fois.
Ali Bongo Ondimba,oyé,oka,biloualouooooooo!!!!!ABB ossouuuuu,ali Bongo,djiguiiiii,agitez pour le chantre de la paix,l’héritier du dialogue et de la tolérence,l’inégalable,l’incomparable,l’instigateur des reformes,Aliii Bongo Ondimba,il est le meilleur!!!!!Soutien sans faillle!!!!!
ALI BEN est le candidat des intérêts du PDG et de la famille BONGO. Ce que les PEDEGISTES doivent savoir c’est que nous sommes dans un système planétaire et mondialisé, si vous persistez vous resterez à vous diriger entre vous et les étrangers qui s’en foutent du développement du Gabon mais qui co-pillent nos richesses avec vous.
Voila la magouille bis-repetita le BDP peut garder son sigle
Personnellement je pense que si Ali Ben est Président ce sera la faute en premier lieu aux gabonais eux mêmes qui ne protestent pas contre la monarchisation du Gabon. En second lieu, il faut moi je pense que deux personnes EYEGHE donc et OYE si un d’entre eux ne se présente pas aux élections c’est qu’ils ont accepté de vendre le Gabon. Le Gabon ne sera plus que le pays des Bongo, des chinois et des pédégistes. Nous gabonais. comment faire admettre aux gens qui ont galéré toute leur vie et qui galèreront encore que ils doivent attendre 30 ans encore. Moi qui ai 30 ans, cela signifie que toute ma carrière professionnelle je vais la vivre dans la misère. Je pense que la faute revient à nous gabonbais car c’est nous qui sommes allés rendre un dernier hommage au chef du système qui nous a tant matraqué et qui continuera de nous matraquer jusqu’à l’éternité. C’est notre jeunesse qui a clamé haut et fort que nous voulons la paix. Nos jeunes qui croupissent dans les matitis et qui pensent qu’avoir un iPOD et un téléphone portable de seconde main qu’on expose dans le taxi bus est un signe de bien être. Moi je dis que c’est bien fait pour les gabonais. Moi je suis fang. La seule chose qui reste à faire est l’exil vers la Guinée Equatoriale pour les fang, car soyez sûr, cette situation arrange bien OBIANG NGUEMA qui va récupérer gratuitement la matière grise fang gabonais.
Je pense qu’il n’y a que deux choses: soit on dit NON, soit c’est la FIN du Gabon et la suite du BONGOLAND.
Casimir Oyé Mba Veux Nous Sauver ! lisez Bien et Manifestez vous pour sa Candidature!!!!! Indépendante Bcoup de vérités sortirons!!!
Attendue officiellement pour le 18 juillet, l’annonce du «candidat du consensus» du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) a été avancée de deux jours. Le Bureau politique du PDG a plébiscité dans la soirée du 15 juillet, l’actuel ministre de la Défense nationale, Ali Bongo Ondimba, pour défendre les couleurs du parti à l’élection présidentielle du 30 août.
© static ; Le candidat du PDG, Ali Bongo Ondimba
Fini le suspense, les dés sont jetés au Parti démocratique gabonais (PDG). Le parti du défunt président Bongo Ondimba, s’est choisi un candidat pour l’élection présidentielle du 30 août 2009.
Parmi les dix candidats à la candidature, le PDG a fait le choix de présenter Ali Bongo Ondimba, fils aîné du défunt président, 4e vice-président du parti et actuel ministre de la Défense nationale.
L’annonce a été fait dans la soirée du 15 juillet dernier, au terme des travaux du Bureau politique présidés par le vice président du PDG, le président du Conseil économique et social (CES) Antoine de Padoue Mboumbou Miyakou.
Rappelant «que les instances dirigeantes (…) ont décidé unanimement de désigner le candidat du parti par consensus», le porte parole du parti, Angèle Ondo, a annoncé que «le bureau politique (…) a décidé par un large consensus d’investir le camarade Ali Bongo Ondimba comme candidat du PDG à l’élection présidentielle de 2009».
Le bureau politique a également salué «le comportement militant des camarades candidats qui se sont astreints dignement à la procédure d’investiture prescrite par le parti, et qui se sont engagés à contribuer à la consolidation de l’unité du parti ainsi qu’à la victoire du candidat investi».
Le Congrès extraordinaire du parti a été convoqué le 19 juillet prochain pour l’investiture officielle du candidat, ainsi que pour procéder à la modification de certains points des statuts et règlements intérieurs du parti consécutifs à la disparition du président fondateur et «candidat naturel» du parti.
«Le bureau politique appelle d’ores et déjà toutes les militantes et tous les militants à se rassembler désormais autour de notre candidat, le camarade Ali Bongo Ondimba», a poursuivi Angèle Ondo, afin de «remporter le maximum de suffrages (…) en vue d’assurer aux gabonaises et gabonais les changements escomptés tout en consolidant les nombreux acquis réalisés par notre président fondateur».
Dans la course à l’investiture du parti, Ali Bongo Ondimba avait en face de lui deux autres poids lourds du parti, le Premier ministre Jean Eyeghe Ndong, 2e vice-président du PDG, et le ministre d’Etat aux Mines et au Pétrole, Casimir Oyé Mba.
La multiplicité des candidats «présidentiables» à l’investiture du parti laissait craindre l’éventualité de candidatures indépendantes issues des rangs du parti, qui morcelleraient l’électorat du PDG.
Le parti n’est pas à l’abri de cette hypothèse, dans la mesure où certaines personnalités du parti ont déjà pris le large, à l’exemple de madame Lasséni-Duboze, déjà candidate indépendante à l’élection présidentielle.
De même, Jean Eyeghe Ndong avait laissé entendre que «si l’accord qui a été conclu auparavant n’est pas respecté, je veux parler de la procédure (…), il peut y avoir un problème».
Il avait expliqué que si les instances du parti ne respectaient pas la procédure convenue, elles seraient à l’origine d’un «désordre» aux conséquences inattendues, «mais je ne serai pas responsable de ce qui va se passer», avait-t-il prévenu.
Selon certaines sources proches du PDG, le camarade Casimir Oyé Mba serait candidat à l’élection présidentielle malgré la désignation du candidat officiel du parti. Le Congrès du parti déterminera la cohésion du parti et sa capacité à fédérer tous les militants du parti autour du «candidat du consensus».
Publié le 16-07-2009 Source : Gaboneco.com Auteur : Gaboneco.com
TU APPELLES CELA DES ELECTIONS? UN MANIPULATEUR COMME ALI.
Le Mal du Gabon c’est cette peur qui habite le peuple Gabonais.
La question est de savoir QUI VOTER? Que pouvons-nous faire a notre niveau nous internautes?
Le temps de l’Action et des stratégies a sonne. Les elections auront surement lieu le 30 aout.
Ali ne peut rien contre LA GROGNE DE LA MASSE. Il ne sera pas PRESIDENT DU GABON AU NOM DE JESUS.
Savez-vous que nous formons une force? Oui, de par notre nombre?
Choisissons ensemble (1) D’aller imperativement VOTER. C’EST CRUCIAL.
(2) Entendons-nous sur le vote de trois candidats=>
1er CHOIX:
Je propose comme choix # 1 Casimir OYE MBA s’il se presente comme candidat independant.
2eme CHOIX:
Ben Mubamba de l’association Acteurs libres de la société civile gabonaise.
Si sa candidature n’est pas retenue pour X ou Y raison.
Le troisieme CHOIX serait:
MAMBOUDOU. A ma connaissance, Il n’a pas encore vraiment ete achete par les Bongo CFA donc je parierai sur lui comme troisieme choix.
LES AUTRES CANDIDATS SONT LIBRES DE SE PRESENTER. MAIS LE TEMPS EST TROP CRUCIAL POUR SE DISPERCER.
VOTONS MASSIVEMENT TOUT SAUF ALI BEN.
ET SURTOUT BOYCOTONS SES FAUX MEETING.
SEUL NOUS SOMMES FAIBLES MAIS UNIS NOUS SOMMES INVINCIBLES.
QUE DIEU BENISSE LE GABON!!!!
Chacun de nous connait au moins un electeur gabonais alors battons campagne pour Casimir Oye Mba, s’il se presente, dans le cas contraire votons tous unis derriere Ben Mubamba, si encore la sa candidature est retenue ou dernier choix votons massivement pour Mamboudou. Dans tous les cas « VOTONS TOUT SAUF….ALI BEN » Meme son père et sa sœur ne l’avaient pas choisi. Il y a donc des questions a se poser.
VIVE LA DEMOCRATIE POUR QUE VIVE LE GABON.
TOUT SAUF ALI BEN.
OUI A CASIMIR OYA MBA/
NON A ALI BEN
je reste sans voix c’est vraiment déplorable de vivre dans un pays sans foi ni loi qui n’a pour creneau que l’égo, la cupidité des uns et l’idiotie des autres. Je ne suis ni pour la voilence ni pour un parti quelconque cependant je pense qu’il est grand temps que les gabonais réagisse et sanctionne cette erreur de jugement qui nous sera fatale non pas parceque des nigériens ou je sais pas quoi viendraient nous envahir mais parceque simplement aujourd’hui nous devons partir d’un nouveau pied avancer de manière intelligeante. J’espère que le reste du peuple saura rejeter d’en revers de la main cette faute incommensurable donnons un coup de main à notre destin et arretons de subir comme des alinés
Les élections sont fait pour ça , arrêter de diaboliser les gens , les Bongoïste pff vrt on se croirai au moyen age non mais sérieux ,
En désignant le fils de Bongo comme candidat à l’élection présidentielle anticipée de septembre 2009, le PDG vient de prendre la responsabilité historique de faire du Gabon, une monarchie. Les conditions d’une élection transparente n’étant pas réunies, Ali peut désormais se targuer d’être le prince héritier de la dynastie bongolienne.
Par ce fait, le déjà élu président de la République gabonaise, va poursuivre l’oeuvre de destruction du Gabon entamée par son père durant 42 ans de pouvoir sans partage. Et à la fin du règne d’Ali, le Gabon ne sera plus qu’un tas de ruines.
Pour que la prochaine élection soit crédible, il faut au moins que:
1) la révision du dernier recensement de la population dont le résultat publié par le Ministère de la Planification était différent de celui de la Cour Constitutionnelle (pédégiste) avec un écart de plus de 300 000 habitants et dont le lien avec la liste électorale est plus qu’évident;
2) la mise à plat de la liste électorale dont l’élaboration doit être confiée, à l’instar de la Côte d’Ivoire, à un prestataire international agréé. Son travail sera soumis à la validation conjointe de la majorité et de l’opposition. Nota: les étrangers ayant la nationalité depuis 1990 doivent être éliminés de la liste (faux actes de naissance distribués massivement, attribution collective de la nationalité par décret présidentiel);
3) opération d’identification de la série des faux passeports, faux permis de conduire et fausses cartes d’identité établis pour les besoins de la cause par le PDG dont certains ont été présentés en direct à la télévision lors de l’élection présidentielle de 1998 par moi-même alors directeur de campagne du candidat Pierre Mamboundou, du HCR;
3)la numérotation des urnes à partir des centres et des bureaux de vote préalablement identifiés, pour éviter les bureaux pirates et le bourrage des urnes;
4) la désignation à parité des présidents des bureaux de vote pour éviter que le pouvoir PDG n’en désigne seul et ne perpétue la pratique qui consiste à permettre aux seuls présidents de bureaux de vote le transfert des urnes, sous escorte militaire, des centres de vote vers les commissions de centralisation des résultats, l’opposition y étant toujours empêchée ou exclue;
5) la désignation à parité des présidents des commissions électorales;
6) prévoir une copie du procès verbal à toutes les parties présentes dans le bureau de vote, procès verbal signé par tous;
7)établissement d’un bulletin unique et vérification du nombre de bulletins en fonction du nombre de bureaux de vote, si l’argument des délais trop courts écarte l’idée du biométrique;
8) vérification préalable que l’encre est indélébile;
9) vérification que le nombre de cartes d’électeurs est égal au nombre d’électeurs en conformité avec la nouvelle liste électorale;
10)interconnexion par les moyens NTIC des commissions provinciales (9) de centralisation des résultats pour réduire les risques de manipulation des résultats issus des urnes;
11)obtenir le principe de l’égalité de traitement par les médias;
12) interdire l’utilisation des moyens financiers, humains, matériels et autres de l’Etat par le ou les candidats du PDG;
13) obtenir le financement équitable de la campagne pour tous les candidats retenus;
14) obtenir que toutes ces dispositions soient applicables partout où se déroulera l’élection;
15) éloigner les forces de sécurité des bureaux de vote, les tenir à une distance à convenir;
16) doter tous les centres de vote d’un branchement électrique pour l’éclairage, au besoin par des petits groupes électrogènes;
17) obtenir, même si c’est difficile, qu’on revienne à une élection à deux tours et que les tribunaux administratifs connaissent du contentieux électoral comme premier recours et que la cour constitutionnelle reste le dernier recours;
18) obtenir la supervision et le contrôle de l’ensemble du processus électoral, au nom de la paix, par l’ONU;
19) obtenir que l’opposition soit impliquée à toutes les étapes du processus électoral, depuis la liste électorale, en passant par les cartes d’électeurs, les bulletins de vote, les urnes, l’encre, jusqu’aux résultats.
Nota: liste non exhaustive des préalables de l’opposition, si tant est qu’il en existe encore, à compléter par tous ceux qui aspirent à une élection transparente dans notre pays.
Et ce n’est qu’après la satisfaction de tous les préalables que des candidatures pourraient être déclarées. Car on ne doit pas aller à une élection perdue d’avance, sauf à vouloir cautionner une mascarade électorale en servant de marchepied.
Je suis un jeune gabonais aimant son pays. Cependant, conscient de l’avenir de mon pays, j’invite toute la jeunesse à rejetter cette idée de se faire diriger encore une foie par les bongoïstes. Ne laissons pas notre pays dans la honte, la désolation par notre propre incapacité de participer au changement. N’oublions pas que c’est nous l’avenir donc le gabon de demain. Ne croyons plus jamais à ces éfféminés gouvernants qui m’aiment pas le gabon. Imaginer, Ali ben au pouvoir? C’est le malheur du gabon, c’est notre malheur. Nous avons le pouvoir par notre vote de changer le gabon. C’est une vérité. Nous devons faire connaître à l’opinion international que nous ne voulons pas d’Ali ben, qu’il est le mal pour notre pays. Unissons nous pour sauver notre pays de ce calvert. LONGUE VIE AU GABON…/
On n’organise pas des élections pour les predres
et c’est dans la ligne droite de la succession qu’un fils prenne le flanbeau de son partenelle.
Ali Ben Bongo institué par le PDG est en marge de devenir le 4ème Président de la République Gabonaise et avec lui le Gabon entrera dans une nouvelle ère de progrès, d’avenir, et de prospérité
depuis ce matin la ville est très calme ceci à cause de la fraude qui se prépare suite à l’investiture d’Ali au PDG. quel pays!!! notre pays est très calme et c’est parti pour la continuité du reigne Bongo!!! je suis choqué et j pleure sur le sort avenir du gabon les nigerians vont ns envahir!!!
Il avance, patiemment, intelligemment avec la bénédiction devenue discrète de l’ancienne puissance coloniale reconvertie au néocolonialisme mafieux!
Mais sait-il au moins que nous l’avons à l’oeil? Sait-il au moins que le jour où les gabonais ne seront plus maître du Gabon … le GABON NE SERA A PERSONNE!
Les semaines, les mois, et les années qui viennent seront difficiles mais le Gabon appartiendra aux gabonais ou bien il n’appartiendra à personne!
A bon entendeur salut!
oh mon DIEU delivre nous de cet ALI BONGO ONDIMBA pourquoi les pdgistes sont ils com ça a cause du sandwuich et gros salaire ils liquident le pays OHHHHHHHHHHHHHH vraiment nous devons faire quelque chose le gabon va a la derive et un jour plus tard c le fils d’ali ou pascaline