Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession, a annoncé mercredi le Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir.
Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession. Ministre de la Défense, il a été désigné candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir pour l’élection présidentielle.
Ali Ben Bongo, fils du défunt président gabonais Omar Bongo, briguera sa succession. Ministre de la Défense, il a été désigné candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir pour l’élection présidentielle.
Ministre de la Défense, Ali Ben Bongo est donné favori pour succéder à son père, décédé le mois dernier à l’âge de 73 ans.
« Le comité politique a décidé par consensus de nommer Ali Ben Bongo candidat du Parti démocratique gabonais à l’élection présidentielle », a annoncé Angel Ondo, secrétaire général adjoint de la formation, devant les caméras de la télévision publique.
L’élection doit se tenir au plus tard le 6 septembre, a fait savoir la semaine dernière la Cour constitutionnelle.
Jugeant difficile d’organiser l’élection dans un si court délai, elle a par ailleurs prolongé la période de 45 jours pendant laquelle le gouvernement provisoire mis en place le 10 juin est constitutionnellement autorisé à administrer le pays.
L’opposition craint que le scrutin ne soit qu’une formalité pour avaliser la succession.
Non chers compatriotes, le tribalisme ne peut pas triompher dans notre pays. Ma soeur aînée est de MINVOUL et elle est très attachée à sa famille paternelle avec laquelle elle s’entend très bien. Elle passe la plupart de ses vacances à MINVOUL et se sent aussi bien Fang de MINVOUL que NDUMU de Franceville. Le mélange ethnique est une grande richesse pour notre pays. Tous les fangs ne sont pas forcément d’accord, et tous les Tékés non plus.
Je soutiens aujourd’hui le Dr MENGARA parceque il incarne des valeurs humaines et intellectuelles et il n’a jamais fait état d’une quelconque minorité ou majorité dans notre pays. Il parle toujours de tous les Gabonais sans distinction ethnique. Il n’a jamais passé son temps à parler des origines d’Ali BEN. C’est à cela que l’on reconnait un grand homme politique.
Lorsque MENGARA viendra au pouvoir, s’il fait mal il trouvera à son tour des opposants farouches. Et c’est cela la démocratie.
J’ai appelé toute ma famille à voter pour lui sans regarder à son appartenance ethnique, car il s’agit de sortir notre pays du chaos et le choix d’un bon président doit se faire uniquement sur des bases humaines et intellectuelles. Nous avons besoin d’un président qui aime tous ses compatriotes. Les hommes passent, mais le pays reste. Ne faisons pas le jeu du diable; nous ne voulons pas d’Ali BEN et nous ferons tout pour qu’il ne soit pas président.Mais ne donnons pas raison aux blancs qui pensent que Ali BEN n’étant pas Gabonais d’origine reste le mieux placé pour incarner un président impartial n’ayant aucune ethnie à laquelle il est véritablement attaché. Bongo a mis les siens à la tête de toutes les institutions de notre pays; c’était une très mauvaise politique. Un autre président aurait fait la même chose.
Régardez le visage des partis politiques de l’opposition,ceux qui sont autour de MAMBOUNDOU sont en majorité les gens de sa tribu. Ce n’est pas comme ça que l’on va changer notre pays. Les choses pourront même devenir pire qu’avec Bongo si le tribalisme domine sur les compétences des personnes.
Je vous demande encore une fois de donner vos voix au Dr MENGARA qui apportera la justice et le bien être dans notre pays.
Que Dieu bénisse le gabon
De source encore non confirmée, certaines candidatures seraient en voie d’être disqualifiées par la Commission électorale nationale et permanente (Cenap). Il s’agirait notamment des candidats :
-Bruno Ben Moubamba pour motifs de double nationalité et résidence non établie au Gabon au cours des six derniers mois ;
-Daniel Mengara pour motifs de résidence non établie et aussi à cause du « caractère diffamatoire » du nom de son organisation (Bongo doit partir) ;
-Ali Bongo pour des raisons de santé.
En attendant que cette rumeur soit confirmée, notre source précise que les médecins sont formels quant au diagnostic qui cite avec force détails les maladies suivantes :
Obésité inquiétante ;
Surcharge pondérale avérée ;
Diabète en phase terminale avec une paralysie partielle du pied pouvant conduire à l’amputation d’ici quelques mois ;
Pression artérielle anormale ;
Tension accroissant sa diabétologie au stade le plus inquiétant.
A titre de rappel, Ali Bongo avait été admis à l’hôpital américain de Neuilly (France) fin mai 2009.
Seul hic à ce jour : aucun des médecins désignés par la Commission ne veut signer le certificat d’invalidation. Chacun craint pour sa famille. Qui fera preuve de courage ? No, nigga, not me.
http://www.toutsaufalibongo.com/
Angone, je crois que vous m’avez mal compris. Je sais que y a du tribalisme et que c’est la faute d’un groupuscule de personnes, ceux là même qui ont imposé Ali au PDG. Cependant, on ne doit pas faire comme eux sous prétexte qu’on veut combattre le tribalisme. C’est ce qu’ils attendent.
Cher DAVOR,
Refuse la situation que ton pays vit,que mon pays vite, que le notre vit….
Mais G9 n’a rien dit de faux….Minoritaire n’est pas une insulte mais un fait,tu as des groupe de populations (ethnique) à forte concentration comme les Fangs,Myénés,Punu et d’autre à faibles concentration…
Il y’a du triablisme,et G9 le dit dans son message.Il n’appelle pas à la désunion ,au contraire à l’amélioration du pays…Va à la fonction publique et tu comprendras mieux…Dans son article,très bien dit,il montrer l’accaparation du « bien économique » par une famille, et la preuve de la mauvaise gestion par des faits simplements…
Apprend à faire des études de texte..En plus tu parle de vrais gabonais,daonc il y’a des faux…alors c’est toi qui sème la désunion…
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Le PIB/HAB du GABON est de 10 941,supérieure à celui de l’afrique du Sud,du Ghana,du Maroc.
Indice de Développement du Humain (IDH) du GABON est 0,729 ; Rang (IDH):107 sur 179
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La gestion du GABON par le PDG : <<
Toutes les Vérités d’Ali Ben Ondimba (ABO)
Père de trois enfants, Ali Ben fait preuve d’une grande discrétion quant à sa vie privée.
S’il n’est pas rare que, au détour d’une conversation, il se vante d’avoir « perdu quelques kilos », ses proches attribuent son embonpoint à son goût pour la bonne chère. Cependant, comme son physique ne l’indique pas, il est amateur de sport. Dans une autre vie, il pratiquait le tennis avec les copains de toujours. Amateur de foot, il ne se contente pas de taper dans le ballon quelques dimanches dans l’année. Il est aussi le promoteur de Missile FC, une formation militaire qui évolue en première division du championnat national de football. Avec M. Park, son homme à tout faire sud-coréen, il partage un penchant pour les arts martiaux. Et, de toute évidence, l’équipe de garde du corps qui assure sa protection est constituée de champions de tækwondo. Enfin, comme sa mère, qui a embrassé une carrière de chanteuse sous le nom de Patience Dabany après sa séparation d’avec Omar Bongo Ondimba, en 1986, Ali Ben a la fibre musicale. Guitariste à ses heures, il a également composé des chansons pour elle.
Bio express : Ali Ben Bongo
9 février 1959 Naissance d’Ali Ben Bongo à Brazzaville.
1987-1989 Membre du cabinet du chef de l’État.
1989-1991 Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.
1990 Élu député de Bongoville (Haut-Ogooué), il sera réélu en 1996, 2001 et 2006.
1996 Devient président du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (CSAIG).
1999 Nommé ministre de la Défense nationale.
Né Alain Bernard Bongo avant de prendre le prénom d’Ali Ben lors de la conversion de la famille à l’islam en 1973, il est le fruit du mariage célébré en octobre 1959 entre Albert Bernard Bongo et Patience Marie Joséphine Kama
En 1989, il n’a que 28 ans lorsqu’il entre au gouvernement de Casimir Oyé Mba comme ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et de la Francophonie. Mais son séjour à la tête de la diplomatie est interrompu par une disposition de la nouvelle Constitution votée en 1991 à la suite de la conférence nationale. Le texte stipule que les membres du gouvernement devront être âgés d’au moins 35 ans. Disqualifié, Ali démissionne et revient dans le giron paternel, au palais du Bord de mer, parfaire son apprentissage politique
Quand je m’en irai, indiquait le chef de l’État gabonais dans une interview à Jeune Afrique (J.A. n° 2305 du 13 mars 2005), si mon fils veut faire de la politique, ce sera à lui de se débrouiller, de se faire élire au suffrage universel. Les gens ne voteront pas pour lui juste parce que c’est le fils de Bongo Ondimba. Il peut hériter de ma maison, de ma voiture. Mais il ne peut pas hériter de la fonction présidentielle, qui appartient au peuple gabonais. »
Sur le terrain, dans le berceau de la famille à Lewaï (rebaptisée Bongoville), la campagne d’Ali Ben est handicapée par sa faible connaissance de la langue locale. Ses discours prononcés en français à l’adresse d’une population à la fois rurale et illettrée passent mal. « Il est trop éloigné de son électorat. Il ne possède pas de résidence dans sa circonscription, et ne se rend à Bongoville que pour se faire élire », persifle un opposant. Conscient des difficultés rencontrées par son fils, le chef de l’État a dû s’impliquer dans la campagne. Le coup de pouce aura été salutaire : une fois élu, le jeune député va pouvoir poursuivre son ascension
Par exemple, Ali, qui soigne sa popularité au sein de la troupe, a particulièrement mal pris le « blocage » par le ministre de l’Économie et des Finances, son beau-frère Paul Toungui, de l’achat d’un hélicoptère affecté à l’hôpital militaire de Libreville. « Il est normal qu’un ministre aussi dépensier soit quelque peu freiné par le grand argentier, dont le devoir est de veiller à la réduction des dépenses de l’État », relativise un haut fonctionnaire. Néanmoins, son entourage se plaint de ce que les réalisations du ministre de la Défense ne sont pas appréciées à leur juste valeur, à l’instar de l’École d’application du service de santé militaire, qui ouvrira au deuxième semestre de 2009
Pour soigner sa popularité auprès des bidasses, Ali Ben ne lésine pas sur les moyens : distribution d’uniformes gratuits, dotation en véhicules de patrouille Mercedes tout-terrain, etc. Les nominations et les promotions font également l’objet d’un décryptage au laser, chacun y cherchant confirmation que ce potentiel prétendant à la présidence « place » ses hommes – souvent de jeunes officiers – aux postes clés de l’armée. L’un des hommes les plus en vue de cette galaxie est incontestablement son ancien aide de camp Rock Ongonga, le patron du Régiment parachutiste gabonais (RPG). Mais la promotion de ses proches vaut au ministre de la Défense d’avoir des relations distantes avec son cousin, le général Jean Ntori Longho, chef d’état-major des Forces armées gabonaises, qui désapprouverait, entre autres, la présence de conseillers étrangers (notamment un ressortissant béninois) dans l’entourage d’Ali Ben. L’ancien patron de la gendarmerie, le général Jean-Pierre Doumbeneny, nourrirait également un certain ressentiment à l’encontre de son ministre de tutelle. Officier supérieur proche de la retraite, il n’aurait pas apprécié d’avoir été remplacé en 2002 par le général Honoré Oléry
Côté business, Ali Ben reste volontairement en retrait, contrairement à son frère cadet, Christian. Âgé de 39 ans, ce diplômé en finances a été nommé en décembre 2002 directeur général de la Banque gabonaise de développement (BGD). Préférant le secteur privé à la scène politique, il s’est illustré en 2006 en participant à la création de Gabon Airlines, transporteur aérien qui a repris les droits de trafic de la défunte Air Gabon. Un temps directeur de la compagnie, Christian Bongo a dû finalement céder les commandes à Michel Tomi et André Giacomoni, gérants de PMU et de casinos en Afrique centrale, réputés proches d’Ali Ben
Parmi les autres « connexions » d’Ali Ben dans les milieux d’affaires, on peut notamment citer Jean-Pierre Oyiba, directeur de l’Office des ports et des rades du Gabon (Oprag), entreprise dont le ministre de la Défense préside le conseil d’administration. Enfin, il est également proche de l’assureur français Édouard Valentin, dont il a épousé la fille. Le patron de la compagnie Ogar est, par ailleurs, un conseiller très écouté du chef de l’État.
Si ce dernier est détenteur d’un pouvoir à la fois temporel et spirituel en tant que khalife général de l’islam au Gabon, Ali Ben, quant à lui, préside le Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAIG). Quoique les musulmans du pays – pour la plupart des immigrants venus d’Afrique de l’Ouest – ne représentent que 1 % de la population, la fonction a l’avantage d’offrir une fenêtre sur le monde islamique et, surtout, un contact avec des bailleurs de fonds du golfe Arabo-Persique.
Père de trois enfants, Ali Ben fait preuve d’une grande discrétion quant à sa vie privée.
S’il n’est pas rare que, au détour d’une conversation, il se vante d’avoir « perdu quelques kilos », ses proches attribuent son embonpoint à son goût pour la bonne chère. Cependant, comme son physique ne l’indique pas, il est amateur de sport. Dans une autre vie, il pratiquait le tennis avec les copains de toujours. Amateur de foot, il ne se contente pas de taper dans le ballon quelques dimanches dans l’année. Il est aussi le promoteur de Missile FC, une formation militaire qui évolue en première division du championnat national de football. Avec M. Park, son homme à tout faire sud-coréen, il partage un penchant pour les arts martiaux. Et, de toute évidence, l’équipe de garde du corps qui assure sa protection est constituée de champions de tækwondo. Enfin, comme sa mère, qui a embrassé une carrière de chanteuse sous le nom de Patience Dabany après sa séparation d’avec Omar Bongo Ondimba, en 1986, Ali Ben a la fibre musicale. Guitariste à ses heures, il a également composé des chansons pour elle.
Ali Bongo Ondimba, qui est pour l’instant le seul candidat qui ne cache pas son jeu, a quelques atouts dans sa manche. Il tient la Défense nationale, où il s’appuie notamment sur Abel Sougou, commandant de la Gendarmerie nationale. Il a aussi des hommes de confiance dans le parti au pouvoir : le président de l’Assemblée nationale, Guy Nzouba Ndama, et le secrétaire général du PDG, Faustin Boukoubi. Dans le gouvernement sortant, il compte encore sur François Engongah Owono, ministre d’État en charge du Travail. Enfin, la présidente de la Cour constitutionnelle, Marie Madeleine Mborantsuo, et le nouveau président du Sénat, Léonard Andjembé, lui seraient bienveillants
Ali a beaucoup d’alliés, mais ils ne sont pas tous d’une fidélité absolue. « Ali est pris en otage par les Nzébis [un des quatre grands groupes ethniques du pays dont sont issus Nzouba Ndama et Boukoubi, NDLR] », dénonce un cadre du PDG. Sous-entendu : les « amis » nzébis pourraient embrasser Ali pour mieux l’étouffer.
Idriss Ngari, son oncle et pire ennemi. Depuis qu’Ali l’a évincé du ministère de la Défense en 1999, les deux hommes sont irréconciliables. Et le général exclut de voir le fils d’OBO accéder à la présidence. Autour du natif de Ngouoni gravitent des officiers supérieurs comme le général à la retraite et ex-commandant de la Garde républicaine André Oyini, le chef des renseignements Michel Andjambé, directeur général de la Documentation et de l’immigration (DGDI), et le commandant en chef de la police, le général Claude Langouba. Le camp Ngari est à l’affût, guettant le moindre faux pas de ses adversaires. Si jamais les partisans d’Ali font un coup de force, ceux du général organiseront immédiatement une riposte.
Si certains membres de l’entourage d’Omar Bongo Ondimba savaient qu’il était atteint d’un cancer, seuls Ali et Pascaline – interlocuteurs des médecins de la clinique Quirón, à Barcelone – avaient connaissance de la gravité de son mal et de la dégradation rapide et irréversible de son état. Même les membres de sa « garde rapprochée » en Espagne comme Michel Essonghe (haut représentant personnel), Jean-Pierre Lemboumba (coordinateur des activités présidentielles), Antoinette Ndo (directrice du protocole) ou Brice Oligui Nguema (aide de camp personnel) n’avaient pas conscience que les jours du « patron » étaient à ce point comptés.
Des jeunes ont appelé Ali Ben Bongo, fils du chef de l’Etat décédé Omar Bongo, à se présenter à la prochaine élection présidentielle. Ils ne seraient pas membres du Parti démocratique gabonais, au pouvoir.
Des jeunes Gabonais ont appelé dimanche Ali Ben Bongo Ondimba, actuellement ministre de la Défense, à se porter candidat à l’élection présidentielle qui doit être organisée à la suite du décès du chef de l’Etat et son père, Omar Bongo Ondimba.
« Après une large concertation, nous, jeunesse gabonaise, appelons M. Ali Bongo Ondimba à se présenter à la prochaine présidentielle », ont-ils exhorté dans une déclaration lue par un porte-parole à la télévision publique RTG1.
Aucune indication n’avait pu être immédiatement obtenue sur la représentativité des auteurs de cet appel, qui n’ont pas été identifiés comme membres du Parti démocratique gabonais (PDG, pouvoir), créé par Omar Bongo et dont Ali Bongo, 50 ans, est un des vice-présidents.
Dressant le profil du prochain président, les jeunes ont indiqué avoir besoin d' »un homme qui pourra (les) amener plus loin que son prédécesseur » et « améliorer le quotidien de chaque Gabonais », de « quelqu’un qui encourage selon l’effort, le mérite, et non selon l’ethnie ou l’affinité ».
Ils ont collecté 2 millions de FCFA (plus de 3. 000 euros) « pour contribuer au paiement de la caution de candidature d’Ali Bongo Ondimba au cas où il accèderait à leur voeu », a précisé la RTG1.
Selon le Code électoral, le montant de la caution électorale est fixé par décret pris en Conseil des ministres
Ali Ben Bongo promet de perpétuer l’héritage de son père
Rendant hommage à la « philosophie du pardon » et au « dialogue » qui guidaient selon lui l’action du président Bongo, Ali, ministre de la Défense s’exprimant au nom de la famille, a déclaré: « Cet édifice (. . . ) va nous permettre d’aborder sereinement l’avenir des enfants de notre pays ».
« Nous, tes enfants, ta famille, prenons l’engagement solennel de garder allumée avec l’aide de nos concitoyens la flamme sacrée de l’harmonie familiale, de la concorde républicaine et de l’unité nationale », a-t-il lancé, essuyant une larme.
Biya en médiateur ?
Arrivé dans l’après-midi du 15 juin à Libreville, le président camerounais Paul Biya a rencontré individuellement Ali Bongo puis sa sœur Pascaline, avant de les recevoir tous les deux en même temps dans sa résidence de la Cité de la Cemac, où les chefs d’État étaient logés. Le Camerounais tentait-il une réconciliation entre les deux aînés de la fratrie ? Rien n’a filtré des entretiens qui ont duré deux bonnes heures. En tout cas, ils sont repartis dans le même véhicule.
Après leur départ, ce fut le tour de Casimir Oyé Mba, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, de s’entretenir avec Paul Biya. Le Premier ministre Jean Eyeghe Ndong s’est lui aussi rendu à la résidence du chef de l’État camerounais.
Avant que ce dernier n’accueille ses homologues tchadien et centrafricain, Idriss Déby Itno et François Bozizé, pour un dîner à trois.
Confirmée par Moulay driss Alaoui, ancien ambassadeur du Maroc à Libreville, l’histoire ressemble à un conte de fées : un autre Bongo a bel et bien existé au Maroc. Il s’agit d’un garçonnet noir recueilli dans un orphelinat de Marrakech. Il se prénomme Bilal (comme l’esclave affranchi devenu muezzin du Prophète) et, en raison de son goût précoce pour l’autorité, était surnommé « Bongo » par ses camarades. En 2003, Ali Bongo, le fils du président gabonais défunt, qui souhaitait adopter un enfant, avait pris contact avec La Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, que préside la princesse Lalla Amina. Et c’est ainsi qu’il est tombé sur son faux homonyme et l’a adopté. Aujourd’hui âgé d’une dizaine d’années, le jeune Bilal Bongo vit avec sa nouvelle famille à Libreville
on en a marre on en a marre on en a marre on en a marre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!MOI JE DIS ARRETONS LES CONNERIES DE BARVARDAGES CA NE VA PAS LIBERER NOTRE PAYS MOI JE DIS KE LE MOMENT EST VENUE DE COMMENCER A S ORGANISER!!!!!!!CA SUFFIT CA SUFFIT ILS CROIENT K ON VA LEUR DONNER NOTRE PAYS CADEAUX????????????????????????????
ORGANISONS NOUS MES FRERES ET SOEURS, CA VA ETRE DIFFICILE MET LA LIBERTEE EST AU BOUT DU TUNNEL LA LUMIERE ET L ESPOIR SI PAS POUR NOUS POUR NOS ENFANTS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C EST LE PEUPLE KI DETIENT LE VRAI POURVOIR ET SI ON DECIDE VRAIMENT VERITABLEMENT TOUS ENSEMBLE DE JETTER CETTE BANDE DE PILLARDS LA HORS DU GABON RIEN NE VA NOU EN EMPECHER JE SUIS DANS L ARMEE GABONAISE ET ON A JUSTE PEUR POUR NOS VIES DE MANIERE INDIVIDUELLE ON ATTEND QUE LE PEUPLE SE LEVE ON ATTEND QUE LE PEUPLE DECIDE VRAIMENT ET LA ON VA FAIRE SE KIL FAUT MASI IL NE FAUUT PAS QUE SE SOIT JUSTE UN PETIT GROUPE IL FAUT QUE SE SOIT TOUT LE MONDE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LES ELECTIONS SERONT TRUQUEES CA A DEJA COMMENCER!!!!!!!!!!!!!!
IL FAUT VERITABLEMENT AGIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LE FAIT D ETRE AU POUVOIR PENDANT LONGTEMP LES A AVEUGLES ILS NE PEUVENT PAS IMAGINER LEUR PROPRE FIN DANS LEUR TETE ILS LEUR SEMBLENT KIL SERONT LA POUR L ETERNITEE ET JE SAIS QUE POUR LE GABONAIS MOYEN AUSSI C EST DIFFICILE A IMAGINER PRCK CA A TELLEMENT DURER MAIS C EST POSSIBLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LA LIBERTEE EST POSSIBLE!!!!!!!!!!!!!!!!!!
UNE VIE MEILLEURE POUR NOS FAMILLE EST POSSIBLE!!!!!!!!!!!!!!!!
SI ON PEUT FAIRE LE PREMIER PAS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
SI ON EST PRES A SE BATTRE POUR NOS VIES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C EST NOTRE CHANCE A UNE VIE MEILLEURE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C EST L OPPORTUNITER POUR NOUS DE CREER DE VRAI OPPORTUNITEE POUR NOS ENFANTS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ON EN A MARRE DE VIVRE DANS DES MAISON EN TAULE ALORS KON A DES DIPLOMES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ON EN A MARRE DE SE REVEILLER LES PIEDS DANS L EAU SALLE A CUASE D INONDATIONS TOUS CA PRCK CERTAIN DECIDENT DE METTRE L ARGENT DES TRAVAUX PUBLIQUE DANS LEUR POCHES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!1!!
ON EN A MARRE DE LA SARDINES TOUS LES JOURS, DE VOIR NOS ENFANTS MOURRIR POUR DES MALADIES KI POURRAIENT ETRE SOIGNEE POUR PAS BOKOU D ARGENT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LEVONS NOUS MES FRERES ET SOEURS LEVEZ VOUS GABONAIS,LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS LEVEZ VOUS GABONAIS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
NOUS SOMMES AU PIED DU MUR DE L’HISTOIRE ECRIVONS NOTRE HISTOIRE PAR LE SANG SI IL LE FAUT POUR NOS ENFANTS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
SON INVESTITURE A ETE UN COUP DE FORCE.LA PRESIDENCE SERA AUSSI UN COUP DE FORCE.
Boukoubi, ALI Baongo, Nzouba et le reste je vous jure que nous allons trainer vos corps comme des chiens dans les rue de Libreville. Continuez vos magnigances, sachez que le Peuple gabonais ne vous laisseras pas cette fois, soit vous nous tuerais tous, soit nous allons vous bruler vifs…
Et tous les imbéciles de batéké, nzébi et je ne sais quels autres connard qui soutiennent ces gens là vous verrez.
A bon entendeur.
L’école des Kannibals.
Mais oui Ondimba, on verra ça le 30 Aout!!
Abo oyééé!!!on va gagner c’est notre pays cel8 des ondimba vs ne pouvez rien pauvre opposant du clavier!!!!on conttinue l’oeuvrei du vieux . vs n’etes pas nos ego!!!!continuez a crier la france est avec nous!! si vs souffrez demandez nous allons vs en donner un peu!!! mm si vs votez contre nous c’est ns qui organisons les elections!!!ABO OYEEEE!!!!!
Gabonaises et gabonais,
Je voudrais attirer votre attention sur le sort que Sieur Ali Ben reservera aux gabonais s’il est élu par la fraude. Il Obligera les gabonais à l’aimer et à l’accepter par la violence. Si ça ne tenait qu’à M. Ali Ben et son staff, ils enverraient pendant les élections les forces de l’ordre sortir de façon très musclée les gabonais et gabonaises de leurs cases et de leurs « matitis » pour venir voter pour lui. Cet homme (Ali Ben) est sans scrupules, il est aussi sans coeur. S’est-il soucié de l’état de santé de son père adoptif Bongo pendant ses derniers jours? Un homme qui lui a pourtant tout donné et grâce à qui il se trouve aujourd’hui là au Gabon à discuter le fautueil présidentiel avec les vrais gabonais. Trop occupé à veiller au grain, Sieur Ali Ben ne voulait pas quitter le Gabon d’un pouce pendant que son pauvre père adoptif agonisait dans une clinique à Barcelone en Espagne (sauf quand il venait en France magouiller avec M. Bourgui le remplaçant de M. Foccart à l’Elysée). Sûrement il (Ali Ben) craignait qu’on lui ursupe le fauteuil présidentiel tant et longtemps convoité (j’utilise le terme usurper parce que M. Ali Ben croit que ce fauteuil présidentiel lui revient de droit). Autre fait marquant son avidité du pouvoir c’est lorsqu’il a acheté les jeunes gabonais pour venir reclamer sa candidature ouvertement à la télévision gabonaise pendant que le peuple gabonais à qui on avait imposé un deuil national de 30 jours pour le décès de son père respectait ce deuil. M. Ali Ben n’a même pas eu la décence ni la patience d’attendre la levée du deuil de son père pour commencer ses tractations. Pour Ali Ben, le pouvoir n’a pas de sentiments ni de pudeur, il matera donc à volonté les gabonais surtout qu’il n’aime pas qu’on le contrarie. Il n’hésitera pas à tuer ou envoyer les opposants en prison et tous ceux qui peuvent lui faire de l’ombre. Il réinstallera de façon vicieuse et sournoise le parti unique. Ne remarquez-vous pas que les autres enfants de feu Bongo, les vrais ne se comportent pas comme lui? Ils ne se font pas trop voir comme lui. Mon Dieu, que ses conseillers lui disent de se calmer un peu, il s’agite un peu trop et son attitude ne fait qu’amenuiser sa chance d’être apprécié des gabonais. Nous ne vous aimons pas du tout M. Ali Ben Bongo parce que vous êtes un véritable danger public pour le peuple gabonais, une vraie calamité. C’est pour cela que nous n’allons pas vous choisir le jour J. Gabonais et gabonaises, nous devons aller voter massivement le candidat le mieux placé pour battre Ali Ben Bongo malgré la fraude imminente.
@ G9, moi aussi je suis un gars du G9, je refuse que tu viennes parler d’ethnie minoritaire ou des Nzébi, des obamba, de téké qui ne doivent plus dominer le Gabon. Et qui doit dominer le Gabon, les fang? les Punu? les Kota? les Myéné? Il s’agit d’une élection présidentielle pas d’une foire ou d’une kermesse ou chacun vient mettre en valeur son ethnie et dénigrer les autres ethnies parce qu’il est aigri. J’ai des amis Obamba, nzébi, punu,…. et j’ai beaucoup de respect et de considérations pour eux. Nous sommes tous gabonais. J’ai été à Mbaya, ne croyez pas que c’est mieux chez eux, ça se saurait. Alors ne vient pas racontez ce genre de conneries, sinon on finit comme au Rwanda. Ce qu’on veut c’est un Président élu par le peuple qu’il soit fang, punu, nzébi, myéné…ON S’EN FOUT!!! Y a 49 ethnies au Gabon et elles s’y sentent bien. Les vrais gabonais feront toujours tout ce qu’il faut pour éradiquer ce repli ethnique!!!
Frères, Soeurs,
Votez Ali, je le vous le supplie et vous l’impose.
Nous voulons encore des voitures (hummers) et pas des routes, des chateaux,des hopitaux vident de médiements et remplient de malades et de morts…Pour la domination des Tékés,des Nzébis,des Obambas,(des ethnies minoritaires),votez Ali Bongo…Pour éviter la jutification des biens (financiers et matérielles) des hommes politiques, voltez Ali, un non diplômé.Pour avoir des hommes inculques et incompétents avec des grandes responsabilités et cadres,votez Ali Ben.
Le PIB/HAB du GABON est de 10 941,supérieure à celui de l’afrique du Sud,du Ghana,du Maroc.
Indice de Développement du Humain (IDH) du GABON est 0,729 ; Rang (IDH):107 sur 179.
Vive le PDG ,vive Alaba FALL
Ali Bongo Ondimba est préside l’Oprag (Office des ports et rades du Gabon) et est l’un des actionnaires de la compagnie aérienne Afrijet.
Pascaline BOngo Pascaline Bongo représente l’Etat au conseil de plusieurs grandes entreprises de la place – notamment Total Gabon, dont elle est la vice-présidente – aux côtés de Fidèle Ntissi, trésorier payeur général et ancien directeur du cabinet privé du chef de l’Etat. Pascaline est aussi présidente de Gabon Mining Logistics (Bolloré) et administratrice de BGFIBank, Ceca-Gadis et Pizo Shell.
Christian Bongo, DG de la BGD (Banque gabonaise de développement), est également dans l’aviation avec Allegiance après avoir dirigé Gabon Airlines, autre fleuron familial.
Directeur adjoint du cabinet présidentiel, Patrice Otha préside de son côté la BGFIBank.
BGFIBank, coffre-fort inexpugnable. « Premier groupe financier de la zone Cemac », la BGFIBank, la banque favorite du bord de mer, a pris son envol sur les cendres de la défunte FIBA (ex-banque d’Elf Gabon). Elle dispose des filiales BGFIBank Congo (présidée par Jean-Dominique Okemba, neveu du président) et BGFIBank Guinée équatoriale, et a obtenu en février 2007 un précieux et discret pied-à-terre à Paris.
Ses filiales et intérêts sont totalement imbriqués avec ceux de la Compagnie du Komo et d’Ogar Vie (assurances) d’Edouard Valentin dont la fille Sylvia « Najma » est l’épouse d’Ali Bongo.
Dirigée par Henri-Claude Oyima, né à Ngouoni et petit-neveu
du défunt président, BGFIBank a parmi ses actionnaires : Pascaline Bongo, Christian Kerangall, PDG de la Compagnie du Komo (25,01% de BGFI), Robert Boutonnet (Cie du Komo) – qui a créé dans les années 60 la Sogafric -, Delta Synergie (9,01%) qui regroupe aussi des intérêts de la famille, BGD (10%), le ministre Richard Auguste Onouviet, le groupe Carlo Tassara (9,5%) de Romain Zaleski (présent aussi dans Comilog/Eramet) et Marcel Abéké, administrateur DG de Comilog.
Bref, un vrai jeu de bonneteau. BGFIBank réalise chaque année pour ses bienheureux actionnaires un résultat net compris entre 20 et 30 milliards F CFA.
La galaxie de la Compagnie du Komo. La CDK, comme on la surnomme à Libreville, contrôle une dizaine d’autres entreprises dont la Sodim (auto, matériel TP et forestier), Sogafric Services (froid, plomberie et sécurité), SOGI (industrie), Solsi (informatique), Electra (équipements de bureau)… et détient des participations dans la SEEG (2,78%), Gaboa (11,43%), Setrag (7%), Maboumine (niobium, 20%), etc.
En Afrique, la CDK est aussi présente en Angola (froid, ascenseurs et négoce), en Guinée équatoriale, au Tchad et en Afrique du Sud. En Europe, elle est actionnaire de la Société financière des Ternes qui contrôle cinq concessions Mercedes et le Bureau technique d’approvisionnement (BTA), ainsi que 50% du cabinet de conseil en informatique Artaud, Courthéoux et associés (ACA). Le groupe dépasse les 120 milliards F CFA de chiffre d’affaires annuel.
Comment les intérêts solidaires franco-gabonais de ce baobab financier vont-ils se recomposer après le décès d’Omar Bongo qui en contrôlait les racines ? Mystère et boule de gomme…
Peuple gabonais,si Goldys gagne,le Gabon sera non pas la caverne d’Ali BABA et ses 40 voleurs mais bel et bien LA CAVERNE D’ALI BEN BONGO ET SON PARTI VOLEUR.Votons massivement pour le changement.
LA LIBERTE NE SE DONNE PAS MAIS ELLE S’ARRACHE.RELISONS L’HISTOIRE!
Nous ne demanderons jamais aux gens de prendre des armes mais nous voulons arracher notre liberté par la voix des urnes.
GABONAIS L’AUBE D’UN JOUR NOUVEAU APPARAIT A L’HORIZON.LE CHANGEMENT LE RENDRA CLAIR ET RADIEUX,LA CONTINUITE LE RENDRA PLUS QUE TENEBREUX.A TOIS DE CHOISIR!
Syndicat, je sais combien de fois tu veux rester fidèle au régime des vieux loups qui ne sont pas encore rassasiés de 41 ans de carnage financier et divers,et c’est ton droit le plus absolu mais,tu sais et peut-être bien mieux que nous tous que le peuple gabonais veut le changement.Il avait déjà donné deux cartons rouge au feu président en 1993 et 1998 en donnant clairement le pouvoir respectivement à M.MBA ABESSOLE et M.MAMBOUNDOU.Si le feu président est resté au pouvoir c’était simplement parce que toutes les grandes institutions de l’Etat étaient et ce ,jusqu’à ce jour gérées par les Pédégistes.Même la CENAP qui devrait être impartiale est sous le contrôle des pédégistes.
Les démissions en série enregistrées au sein de ce parti montrent combien de fois le PDG était en réalité un géant aux pieds d’argile ainsi, il sera fort étonnant de le voir gagné lors du prochain scrutin mais le vice de la tricherie étant dans le sang de ses membres il chercheront à passer de gré ou de force.
Syndicat,concernant la nationalité de Goldys.comment se fait-il que M.Goldys ne soit pas reconnu comme fils de feu Omar au sein de leur famille.Le Gle Idriss a toujours remis en cause la filiation de ce dernier et voilà pourquoi il fait toujours tout ce qu’il peut pour se justifier.Pourqui n’avoir pas fait des tests de paternité plutôt que d’envoyer des associations devant le petit écran?
Si vous avez profité des biens faits de cette famille ou si vous en êtes membre j’espère que vous avez eu assez de temps pour costruire,voyager,et profiter de la vie mais LAISSEZ LEZ AUTRES GABONAIS AUSSI EN BENEFICIER CAR LE GABON EST POUR LES GABONAIS ET NON POUR LA FAMILLE BONGO ET AMIS!