Le Secrétaire général du Parti démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir), à la tribune du Congrès extraordinaire de cette formation, ce dimanche a égrainé les différents critères, « Engagement politique, fidélité et parcours professionnel » ayant prévalu dans le choix d’Ali Bongo Ondimba en tant que candidat au fauteuil présidentiel.
Faustin Boukoubi a fortement insisté sur le « consensus » qui a abouti au sein du Bureau politique pour la désignation d’Ali Bongo Ondimba.
Membre du PDG depuis 1981, Monsieur Ali Bongo Ondimba est député, vice-président élu, un des négociateurs aux Accords de Paris, présence effective au gouvernement depuis près d’une quinzaine d’années, notamment au ministère de la Défense où il est l’initiateur du Prytanée militaire du Gabon où est formée la future élite et dont les élèves sont recrutés dans toutes les couches de la populations sans omettre des actions dans les secteurs socio-économiques, culturel et sportifs.
Une carte de visite qui, selon Faustin Boukoubi, a retenu l’attention de la quasi-totalité du Bureau politique, à l’exception, a-t-il souligné, de quelques membres dont il n’a pas révélé l’identité.
Dans la salle, les congressistes ont immédiatement ovationné Ali Bongo Ondimba, 50 ans, après l’énoncé des critères qui ont été retenus par le PDG pour le choix de son candidat porte-flambeau au scrutin présidentiel du 30 août prochain.
« LE PLUS DYNAMIQUE, LE PLUS ENCLIN AUX CHANGEMENTS UTILES »
Déjà à l’entame de ce congrès dominé par l’investiture attendue d’Ali Bongo, « le plus dynamique, le plus enclin aux changements utiles », selon le Secrétaire général du PDG qui a précisé que « ce Congrès (…) est d’une grande portée parce qu’il a lieu juste au moment où notre Parti doit faire face aux défis d’emporter cette élection présidentielle pour poursuivre et améliorer sereinement, la noble et exaltante œuvre de notre Président Fondateur, le développement de notre pays, le Gabon ».
Poursuivant son propos, Faustin Boukoubi, optimiste, a réaffirmé que « nous envisageons l’avenir avec sérénité et confiance. Notre expérience, les enseignements que nous tirons du passé, de nos réussites, mais aussi de nos échecs, aucun humain n’étant infaillible, font des cadres du PDG, les acteurs politiques les plus aptes à assurer la plus haute fonction de l’Etat ».
« Nous n’avons pas peur d’engager des changements ! Nous changerons ce qui n’a pas marché, nous consoliderons et améliorerons les nombreux acquis qui font la fierté des Gabonais », a professé M. Boukoubi.
« NOUS NE PARTIRONS PAS DE ZERO »
« Contrairement à nos détracteurs, nous ne partirons pas de zéro, nous ne tâtonnerons pas. Nous irons de l’avant, la tête haute. Ensemble nous réussirons à relever le défi du développement, sans trahir la mémoire de notre Président Fondateur, Omar BONGO ONDIMBA. Ensemble, nous gagnerons ! », s’est engagé le patron du Secrétariat du PDG.
Ses prédécesseurs à la tribune, la présidente de l’Union des femmes du Parti démocratique gabonais (UFPDG), Angélique Ngoma, le président de l’Union des jeunes du Parti démocratique gabonais (UJPDG), Philipe Nzengué Mayila, les délégués des fédérations provinciales du PDG et plus d’une vingtaine de partis amis ont, unanimement, pris l’ engagement « ferme » d’apporter leur soutien à Ali Bongo Ondimba pour une victoire « sans bavure » au rendez-vous du 30 aout 2009.
A noter la présence dans l’auditorium de la Cité de quelques candidats malheureux à la candidature du PDG à la présidentielle, à savoir Daniel Onda Ondo, vice-président de l’Assemblée nationale.
Contestant les modalités de la désignation d’Ali Bongo Ondimba, l’ex-premier ministre, Jean Eyeghé Ndong a décidé de se porter candidat indépendant au prochain scrutin, option également choisi par André Mba Obame, membre du Bureau politique, ministre chargé de la Coordination et du Suivi de l’Action gouvernementale.
Sysy ou Zizi est bel et bien gabonais. C’est un gabonais plein d’idioties qui veut attiser la haine et jouer avec les émotions des internautes. Ne penses que que le Gabon sera embrassé comme le Congo, jamais de la vie. On est un pays bénit de Dieu et jamais le Gabon ne va sombrer dans la guerre.
Et toi Avomo, je ne sais pas si tu es gabonais ou équato (j’ai une amie équato qui port le même nom) mais ce que je sais c’est que tu dois respecter chaque candidat à l’élection. La liberté d’expression ne veut pas dire libertinage dans l’expression. Il ne faut pas confondre les choses. Arrêtez d’insulter Ali, en le faisant vous le révalorisez. Attendez de voter, maintenant si vous pensez qu’il va tricher alors ne voter pas. Vous êtes libres comme le vent, mais essayer de faire preuve de civilité dans vos propos. Soyez plus intelligent, critiquez Ali sur son programme, sur sa personnalité en tant que homme public mais ne dites pas des bêtisses et n’avancez pas ce que vous ne maitrisez pas.
SySy,là je ne suis pas d’accord avec tes propos.chez toi au congo vous avez presenté un cas inedit du jamais vu dans le monde et c’est triste.Comment peut t on etre candidat et maintenir sa candidature à une election et demander à ses electeurs de ne pas aller voté après avoir battu campagne?c’est vraiment un monstre politique.
De grace,il faut te taire quand les gabonais reglent leurs differents.
Davor, la Sysy en question n’est pas gabonaise, elle est congolaise. Ne perdez pas votre temps avec elle.
kiroule pour commncé tu ‘nas rien a dire je paris ke twa é tous ceux ki vienne ici en bravant la candidature d’allé vous avez etait mouiller , alors s’il te plait moi je ne suis pas une corrnpue du system je suis blanche comm neige ok!! deuxiement cett cervell ke je detient é ki est aussi grass ke votre reflexion me permet de svoir vraimn ceu ke je veu pour mon pays é pour mes freres gabonais é soeur gabonaise comm moi ok alors avant vous exibé ou de vs en prendre a moi demandé vous si vous faite vraimnt de ce monde dans lequel des gabonais sencés comm moi vivent ok a bon enttndr demi mottttttttt