L’ancien Premier ministre gabonais Jean Eyéghé Ndong, candidat à l’élection présidentielle du 30 août prochain, a fait état, mardi à Libreville, d’une tentative de coup d’Etat, au lendemain du décès du président Omar Bongo Ondimba. Il a expliqué sa mémorable oraison funèbre au palais présidentiel.
«Certains compatriotes ont tenté de faire basculer le pays», a déclaré, au cours d’une conférence de presse, M. Eyéghé Ndong, qui a démissionné le 17 juillet dernier, de ses fonctions de Premier ministre.
Après l’annonce du décès du président Bongo Ondimba, le ministre de la Défense nationale, Ali Bongo Ondimba, le fils du président défunt, a fait publier un communiquer annonçant la fermeture de toutes les frontières terrestres, maritimes et aériennes du pays. Une rumeur insistante a fait état d’une tentative de putsch. M. Eyéghé Ndong est la première personnalité à évoquer publiquement cette question.
«Premier ministre de mon état au moment où le président nous quittait, j’ai assisté complètement ébahi, devant les comportements inimaginables et inacceptables de certains responsables de l’Etat gabonais au lendemain du décès du président de la République».
«Je n’ai pas compris pourquoi certains se sont arrogés le pouvoir d’exiger de modifier le gouvernement de la République. Moi, je ne l’ai pas compris et je ne l’ai pas accepté», a déclaré M. Eyéghé Ndong.
«(…) Nous sommes des Africains. Lorsque le corps du président était encore tout chaud, il y en a qui se préoccupait de leur positionnement au pouvoir pendant que nous étions en train de pleurer chaudement le président qui venait de décéder», a expliqué M. Eyéghé Ndong.
«Je n’ai pas compris ce comportement. Je n’ai pas compris non plus pourquoi, toujours à la recherche du positionnement au sein du pouvoir d’Etat, certains compatriotes ont tenté de faire basculer le pays», a-t-il dit, ajoutant que c’est face à ces dérives intolérables qu’il a eu à prononcer une allocution musclée lors des funérailles du président Bongo Ondimba.
Jean Eyeghe Ndong s’était en effet illustré lors des obsèques du président Bongo à Libreville en dénonçant, dans une mémorable oraison funèbre, prononcée devant un parterre de chefs d’Etat, d’anciens chefs d’Etats, de représentants d’organisations internationales et de diplomates, les tractations qui se menaient dans les coulisses au sein du parti au pouvoir pour l’adoubement du fils du président défunt.
«Certains se sont insurgés contre moi sous prétexte que ce n’était pas le lieu de parler comme ça (…) mais j’avais le devoir de le dire en ma qualité de Premier ministre», a-t-il dit.
«Ce n’était certainement pas le lieu de parler comme ça mais leur revenaient-ils d’entreprendre des démarches pour réclamer, alors que le président venait de décéder, le changement de gouvernement. A commencer d’abord par le Premier ministre, bien sûr. Et surtout, proposer que ce Premier ministre soit remplacé à ce poste par son petit-fils, sous prétexte que c’est la même famille: La famille Bongo et la famille Léon Mba.
Le poste de Premier ministre chef du gouvernement était confié à l’actuel ministre délégué à l’enseignement supérieur, M. Mba Andeme Théophile, dans le projet de gouvernement proposé à Mme Rose Francine Rogombé, président de la République par intérim, au lendemain du décès du président Bongo Ondimba.
M. Mba Andeme n’est autre que le fils de Mme Agnès Nyare Nkoghe, fille du président Léon Mba, le père de l’indépendance, cousin germain de Jean Eyéghé Ndong, qui a démissionné de ses fonctions de Premier ministre vendredi dernier.
Il ne sera pas payant à Eyeghe Ndong de se démarquer du PDG pour se rapprocher de la personne de feu Omar! C’est une logique suicidaire pour celui qui veut avoir la confiance des gabonais qui rejettent le bongoïsme sous toutes ses formes.
Si Eyeghe Ndong veut être Président pour poursuivre l’œuvre de son regretté père Bongo, Ali n’aura aucun problème à s’affirmer dans cette voie…
Si Eyeghe Ndong veut marquer la rupture avec les pratiques du PDG, il n’a pas besoin de ce parti pour s’affirmer… Apparemment ses anciens camarades ne semblent pas regretter son départ. Personne ne le réclame non plus dans son ancienne famille politique. Pourquoi se lamente t’il continuellement en diffusant, à petites doses, les raisons de son mécontentement?
Eyeghe Ndong est-il aussi faible qu’il continue de nous le montrer ? Nous savons que Ali veut prendre le pouvoir par tous les moyens possibles. Son défunt père ABB l’a militairement positionné ainsi. Ali n’est pas ministre de la défense nationale pendant près de 10 ans parce que Eyeghe Ndong l’a voulu.
…Eyeghe Ndong, doit être franc. Il doit cracher le morceau pour espérer avoir une once de crédibilité en dehors du PDG. Car la population gabonaise ne saurait crédibiliser sa démarche de continuer l’œuvre d’Omar Bongo en dehors de son PDG où il était, continuellement, candidat naturel comme l’est héréditairement son fils Ali aujourd’hui.
Comme je l’ai CLAME a maintes reprises ici, nous pensons que le jeu est deja gagne d’avance (?) et laissons nous DISTRAIRE par des debats et discussions qui n’ont PAS ENCORE raison d’etre.
Le probleme CENTRAL reste et demeure: le SYSTME (« Bongoisme ») incarne (maintenant) apres le deces du pere, par le « fils ». C’est ca notre GRAND PROBLEME ACTUEL, sur lequel nous DEVONS concentrer TOUTES nos forces et energies !
Ali G. (« Goldys Boy ») – le gai GAY joufflu trapu, croulant comme un PLOUC l’embonpoint, avec toute sa CLIQUE, est toujours la et n’a pas encore enterre ses TRIBULATIONS et VEILLEITES de POUVOIR. N’ayant plus rien a perdre (a part le POUVOIR), il est PRET A TOUT, meme a l’EXTINCTION du peuple Gabonais – ce peuple qui « l’aime et l’adule » tant, s’il le faut et il faut l’ARRETER COUTE QUE COUTE, avant qu’il ne soit trop tard !
Le SEUL MOYEN de « redorer leur blason » a Oye Mba, Eyegue Ndong, Mba Obama etc. et tous les « autres » qui ont FLIRTE/COPULE avec le « Bongoisme » est de VOUS RETIRER de la scene politique et de SOUTENIR un CANDIDAT « NEUTRE » – qui n’a JAMAIS fait partie des meandres du « Bongoisme ». Le peuple vous en sera TRES reconnaissant et pourra ainsi vous « pardonner » vos « erreurs » du passe et vous laisser mener une vie « SAINE » et « TRANQUILE », en dehors de la politique gabonaise.
Sans cela, vous PAYEREZ TOUS (!) – tot ou tard – pour avoir vendu aux chiens le peuple Gabonais car AUCUN GABONAIS n’oubliera JAMAIS vos MEFAITS ! Peu importe ou vous irez vous cacher, on vous RETROUVERA. Et il est alors temps – si vous avez encore un brin de DE SAGESSE et de « GRANDEUR », de vous RETIRER MAINTENANT, de quitter – pour ainsi dire – les choses, avant que celles-ci ne vous quittent !
Da zhaohu,
Wànshìtong
L’HEURE EST A LA RESISTANCE
A L’heure où la communauté internationale , les institutions et les politiciens gabonais (en premier plan la présidente intérimaire Rose Francine ROGOMBE), demeurent insensibles au passage en force d’Ali Ben Bongo Ondimba, je tiens à leur rappeler qu’ils seront tous responsables des conséquences de la colère du peuple gabonais jusque là raisonnable.
Au lendemain de l’annonce officielle de la mort du président Omar Bongo Ondimba, son rejeton a osé fermer les frontières de la nation alors qu’AUCUN, je dis bien AUCUN mouvement au sein de la population ne fut constaté. Alors que la présidente intérimaire n’ait même été dans ses fonctions, cette chose trapue est passée à la télévision gabonaise pour accomplir son action qui avait pour but d’installer la peur , la terreur au sein de la population. Ce n’est même pas le 1er ministre qui l’a annoncé mais le bébé montre en personne: Que visait-il?
Le puzzle bout à bout rassemblé, nul doute (soutenu et démontré par l’ex-premier ministre Jean EYEGHE NDONG et Pierre MAMBOUNDOU) que la tentative de coup d’état a été orchestré par ce bandit de grand chemin avec le soutien de toutes les personnes ayant fait solennellement allégeance à son père jusqu’à lui vouer corps, âme et esprit. On les reconnaît facilement: Marie Madeleine MBORANTSO (celle qui a toujours a validé les élections super-hyper-ultra-contestées de son homme au pouvoir, il s’impose à continuer avec le fils), Faustin BOUKOUBI et Guy NZOUMBA NDAMA (avérés être les soutiens inconditionnels du tyranosaurus rex ABBO entrevoient leurs intérêts personnels protégés et leurs ambitions revues à la hausse au point non plus de seulement acquiescer mais plus loin , l’un d’accepter de se faire battre par la progéniture suprême…), et encore… Christiane BITOUGAT (à la base femme de lutte et de courage…n’est réduite aujourd’hui qu’à l’image que lui renvoie sa prosternation devant feu OBO, vide de tout sens, je me demande vraiment quel rôle a t-elle joué dans la planification du putsh) et son mari Théophile MBA ANDEME (soutien inconditionnel à la créature des ténèbres qui projetait être son Prime Minister), et tous les membres du gouvernement reconduit …Même Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU, promu au rang de pitre!
Après cela, je n’ai plus de peine à croire que la malsaine progéniture ait voulu ASSASSINER André MBA OBAME par l’intermédiaire de son cuisinier quand on voit en plus comment la dite chose a riposté après la déclaration de Pierre MAMBOUNDOU en allant poster des militaires à son siège. Les animaux vous savez règlent tout par la force. Il suffit de regarder comment il se maintient au ministère de la Défense sans vergogne! Et le pion exécutif intérimaire accepte. Donc c’est de cela que vous voulez au Gabon, n’est-ce pas Marie-Madeleine MBORANTSO, n’est-ce pas Rose Francine ROGOMBE, Faustin BOUKOUBI, et j’en passe… Vous n’avez donc rien compris à la politique de votre feu dieu!!!!
A tous ces gens qui soutiennent personnellement, partiellement ou totalement l’hideuse bête sortie des ténèbres et même à vous ABBO que c’est le moment de partir dignement de revenir en arrière, il n’est pas trop tard…Vous ne pourrez faire face à la volonté de l’immense majorité du peuple gabonais car c’est DANS LES RUES DE LBV QUE LES GABONAIS TRAINERONT VOS CORPS …
J’appelle l’ensemble des gabonais à la résistance. Ceux qui y sont déjà Pierre MAMBOUNDOU, Zacharie MYBOTO, Daniel MENGARA, Bruno Ben MOUBAMBA,Paul MBA ABESSOLO, EDZODZOME Ella,Victoire Lasenie DUBOZE, Daniel ONA ONDO, Casimir OYE MBA, Jean EYEGHE NDONG, André MBA OBAME, NGWEVILOT, Je vous appelle à faire barrage à la BETE en faisant pressions sur la DATE DU SCRUTIN car la BETE est intelligente et ne connait que le passage en force..Même dans les urnes, cela ne fait aucun doute, elle a été à l’école de papa!