Ali Ben Bongo Ondimba, candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), va présenter jeudi à la ’’Cité de la Démocratie’’ à Libreville son état-major de campagne, a annoncé à l’AGP une source proche du parti.
Y sont invités à prendre part à cette rencontre, les militants du parti, les associations et les partis alliés au PDG.
Depuis son investiture comme candidat du PDG, Ali Bongo a déjà rencontré des jeunes et les femmes qui ont réaffirmé leur ’’soutien jusqu’au bout’’ au candidat du parti pouvoir.
Lors de la dernière rencontre avec les femmes, Ali Bongo a annoncé qu’il allait augmenter le Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) de 80.000 F CFA à 150.000 F CFA et annoncé également la construction de près de 5 mille logements chaque année.
Ali Bongo est ministre de la Défense nationale depuis 1999. Il a été choisi par le PDG, parmi dix candidats, dont Casimir Oyé Mba, ancien ministre des Mines et du Pétrole, de même que l’ex-Premier ministre Jean Eyéghé Ndong, qui ont contesté ce choix, avant de démissionner de leurs fonctions et annoncer leurs candidatures.
Son maintien au poste de ministre de la Défense après la formation d’un nouveau gouvernement est très critiqué par les autres candidats en lice. Mardi, huit d’entre eux ont appelé à sa démission en même temps que celle du ministre de l’Enseignement technique, Pierre-Claver Maganga Moussavou, responsable d un parti autre fois ancré dans la majorité présidentielle.
La présence au gouvernement de ces présidentiables ’’remet en cause l’égalité de traitement des candidats et l’impartialité attendue de l’Etat durant la campagne électorale’’, a estimé samedi l’ancien baron du pouvoir Zacharie Myboto, passé dans l’opposition en 2005.
’’Ali Bongo Ondimba, qui est le candidat du PDG à la présidentielle, n’a commis aucun impair en matière de procédure, et aucun texte législatif n’empêche tout candidat (…) d’occuper une fonction gouvernementale’’, lui a répondu Laure Olga Gondjout, ministre de la Communication.
’’Il n’y a aucun texte qui demande aux ministres de démissionner de leur poste s’ils sont candidats à une quelconque élection’’, a soutenu pour sa part René Ndemezo’Obiang, porte-parole du gouvernement interrogé jeudi par RFI.
La Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap) a retenu 23 dossiers de candidature, sur les 28 reçus (trois femmes y figurent) au total pour ce scrutin à tour unique.
L’ouverture de la campagne électorale est prévue pour s’ouvrir le 15 août pour durer deux semaines.
Au moment ou la population n’en peu plus pour ces nourrir jus ce qu’à déterrer de la viande avarié,certains de nos compatriotes continus a soutenir le régime qui nous a dévalorisé a un tel point que la misère et la précarité est devenu choses normal dans le quotidien des gabonais.Qu’est ce qu’il faut encore comme désastre pour que nous comprenons qu’il est temps pour nous de réagir en expédiant Ali loin du gabon,rejoindre son père pourquoi pas,a cause d’eux l’homme gabonais a perdu sa dignités cause de bongo,l’homme gabonais ne connais plus ces droit,tout ces qui ce fait au gabon ce de la pars du chef de l’état,le gouvernement n’existe pas la municipalité non plus,les députés n’en parlons pas,lors ce qu’on construis un pont en bois quelque pars ce toujours lui,a quant les mères et les députés et le gouvernement feront ils leur boulot?arrêtons ça,soyons civilisés changeons en votant quelqu’un qui ne connais pas cette façon de faire,on en a marre nous ne sommes pas de primitifs.