L’Obervatoire national de la démocratie (OND), mis sur pieds le 24 juillet dernier par les leaders de la société civile, a demandé le 13 août aux autorités gabonaises le report de la date du scrutin de l’élection présidentielle prévu le 30 août prochain. L’OND a notamment mis en avant la révision du fichier électoral qui n’a pas permis à de nombreux citoyens de s’inscrire, les délais de réclamations trop courts, ou encore la partialité des médias dans le traitement de l’information en faveur du candidat du parti au pouvoir.
Après la coalition de 11 candidats, c’est au tour de la société civile de réclamer le report du scrutin de l’élection présdientielle du 30 août afin de procéder à une révision plus sérieuse du fichier électoral.
Le collectif d’ONG fédéré au sein de l’Observatoire national de la démocratie (OND), mis sur pieds le 24 juillet pour surveiller le processus électoral, a exhorté le 13 août les autorités en charge de la transition de reporter le scrutin à une date ultérieure, pour préserver la «maison Gabon».
«L’OND demande au Président de la République et au Premier ministre de saisir la Cour Constitutionnelle et faire constater un nouveau cas de force majeure afin qu’un calendrier électoral réaliste soit arrêté», a rapporté le président de l’OND, Dieudonné Minlama Mintogo.
L’observatoire met en avant la précipitation dans la constitution du fichier électoral, garant de la fiabilité et de la crédibilité du scrutin, en raison de la justesse du délai accordé par la haute juridiction.
De nombreux «citoyens n’ont pas pu s’inscrire sur les listes électorales» et le délai de 48 heures «réservé aux opérations de révision des listes, après un affichage tardif» est trop court, explique l’OND.
A la clotûre de la période d’inscription sur les listes électorales le 22 juillet dernier, de nombreux citoyens se plaignaient de ne pas avoir eu suffisamment de temps pour s’inscrire. Les listes devaient ensuite être affichées du 1er au 9 août alors que la période de réclamation devait s’étaler du 10 au 15 août.
Mais ce n’est qu’entre le 9 et le 10 août dernier que les premières listes ont été affichées dans les Mairies et le ministère de l’Intérieur avait annoncé la mise en place d’un bureau de réclamations avec deux numéros verts pour un délai de 48 heures. Un délai jugé bien trop court pour un nombre d’électeurs estimé à près de 700 000.
L’OND a également dénoncé une «gestion partisane de l’information» par la télévision publique «en faveur d’un seul candidat», celui du parti au pouvoir, Ali Bongo Ondimba. Cette situation avait également été dénoncé par le collectif de onze candidats qui réclament la démission d’Ali Bongo Ondimba du ministère de la Défense nationale et le traitement équitable de l’information par les médias publics.
demander le report les élections est plutôt un moyen de vouloir favoriser la victoire des faucons qui veulent coûte coûte maintenir la continuité du bongoîsme.
En évoquant cette idée on y voit derrirère une celle du boycott.Or ce serait grave de demander le boycott.
Les partis de l’alternance doivent faire montre de flexibilité,d’adaptabilité,par rapport aux turpitudes de l’équipe gouvernementale actuelle vis à vis de l’organisation des élections futures au Gabon.
ne soyons plus des mougou on bloque la ville de port-gentil et on veras combiem de jour son regne va durer.
Mon frère kritik,
Tu sais cette tortue de Biyoghé Mba et son le MAMMOUTH Ali Bongo ont trouvé le médicament contre la Honte. Ne soyons pas surpris de leurs réactions d’animaux.
Par contre dans le dossier de candidature d’ALi Bongo, il est dit que ce dernier est Docteur en Droit de l’université Omar Bongo, je ne sais pas si l’UOB a déjà délivré des doctorat en Droit…
Donc c’est pour comprendre que voici un homme qui veut diriger les gabonais mais qui commencent à tricher avec lui même et la même bande de salop qui soutenait son SATAN de père continue à vouloir semer du désordre au GABON
ALi Bongo a même déjà commencé à intimider les gens dans les entreprises, c’est très grave…
donc mes frères, les derniers issues: le report du scrutin ou la mort des Gabonais… l’avenir nous dira.
Non seulement ils se sont precipite de clore les inscriptions, mais en plus ils ont tarde a afficher les listes.
Le Gabon a officielement 1,5 million d’habitants, parmis lesquelles, plusieurs jeunes en age de voter ne se sont jamais inscrit sur les listes electorale depuis leur 18ans, et cela, depuis meme avant les elections de 1998.
Beaucoup n’ont jamais ete inscrit, nombreux sont ceux qu’in n’ont pu s’inscrire, et du peu qui s’est inscrit, nombreux ne retrouvent pas leur noms. Mais pourtant, nous nous retrouvons avec des listes bien ettofees, d’ou sortent les noms?
Comment peut on avoir des liste aussi etoffees alors meme qu’une bonne partie de la population n’a pu s’inscrire?
Et le premier ministre est fier de lui. Je me demande quelle est l’attitude de ces gens la quand ils se regardent dans le miroir. Sont ils fiers d’eux et de ce qu’ils font au peuple? Comment se comportent les enfants de ces gens quand ils font face aux amis gabonais dont la souffrance est le quotidien?
Le dernier discours de Bongo a la Nation avant sa mort,qui sonne plus comme un mea-culpa, devrait etre pour eux matiere a reflexion!