La classement 2008 du revenu par habitant classe le Gabon au 3e rang africain derrière la Libye et la Guinée Equatoriale, avec 10 941 dollars par an par habitant, soit un peu plus de 5 millions de francs CFA par an par habitant. Si elle devait réjouir, cette donnée révèle au contraire l’incapacité patente des pouvoirs publics à redistribuer équitablement les fruits de la croissance, avec un taux de pauvreté de près de 60% pour 25% de chômage.
Selon le classement 2008 du revenu par habitant, le Gabon se positionne au 3e rang africain avec plus de 5 millions de francs CFA (10 941 $) par an par habitant.
Le Gabon se positionne derrière la Libye, et juste derrière la Guinée Equatoriale, avec 16 262 $ par habitant par an, qui jouit depuis 5 ans d’une croissance à deux chiffres, depuis qu’elle est devenue le 3e producteur africain de pétrole.
Selon cet indice, les Gabonais seraient donc les 3e plus riches d’Afrique, devant les Sud africains (6170$/h), les Algériens (4922$/h) ou encore les Marocains (2902$/h).
Le rapport 2007-2008 de l’Indice de développement humain (IDH) plaçait le Gabon au 8e rang africain. Mais au regard de la richesse de son sous-sol et de sa faible population (1,5 million d’habitants), le Gabon devait logiquement se situer dans le peloton de tête avec les Seychelles, l’Île Maurice et la Libye.
Mais ces richesses, comme le relèvent les précédents rapports du PNUD, sont inégalement réparties et ne profitent qu’à une petite frange de la population concentrée en majorité dans les grandes villes.
Avec un revenu avoisinant annuellement à l’époque les 3 millions de F.CFA par habitant, plus de la moitié des Gabonais vivent avec un peu moins de 1000 F.CFA par jour, indiquait une enquête gabonaise pour l’évaluation et le suivi de la pauvreté (EGEP) établie en 2005.
En effet, les données sociales sur le Gabon montrent que le pays affiche un niveau de pauvreté de près de 60% de la population, pour un taux de chômage de 25%.
«La prétendue richesse des Gabonais est fictive. Le revenu par habitant est une donnée indicative de ce que pourrait être une redistribution équitable des fruits de la croissance. Et non un acquis à faire bomber le torse», révèle un cadre du ministère gabonais des Finances.
«Même si le revenu par habitant du Gabon est plus élevé que celui de la Côte-d’Ivoire ou du Sénégal, il en est autrement en termes de niveau de vie ou de développement», fait-il observer.
mais vraiment c’es meme deja enervant tout temps a parler de la richesse des Bongo c’est koi? Le pere Bongo est president depuis plus de 40 dans un pays comme le notre qui regorge de richesse mais comment ne va t’il pas etre tres riche lui et sa famille c’est normale…. tout temps Bongo pars ci Bongo pars la il na rien fait au pays patati patata mais franchement soyons objectif comment quelqu’un peut gouverner un etat depuis 42ans et ne rien faire? vous les MEMBRES DU BDP avant est ce qu’il y avait des ordi ici a lbv non ce sont des progres comme tant d’autres un pays ne peut pas attendre son sommet en seulement 42 ans ou toi tu es au etats unis ils n’ont pas eu tous ceci en 42ans mais bien plus donc calmé vous et arreté d’inciter le peuple a la violence
A ali,
toi qui dit n’imporfte quoi là,cette vidéo est disponible sur le site de: unifang.org
Vois de tes propres yeux malgré la régab souillée de bogoisme qui
t’empêche de voir quoi que ce soit.
Pauvre animal.
votons mamboundou pour un reel changement:
Article: Les folies hollywoodienes d’Ali Bongo: Quand Ali offre une villa de 25 millions de
dollars à Inge Bongo
(Vendredi 26 Janvier 2007 à 23:14) – Contributed by BDP-Gabon Nouveau
(BDP-Gabon Nouveau, 26 janvier 2007) – Le scandale, la famille Bongo « ondimbienne » le connaît bien. Là où vous
entendez le mot « scandale », vous retrouverez forcément le nom « Bongo ». Qu’il s’agisse des 20 millions d’Euros (13
millards 624 millions 466 200 de CFA) détournés par la famille Bongo pour acheter des yachts de luxe ä chacun des
membres de la famille (Papa Bongo, « Mama Bongo du Congo » ou Mama Congo du Bongo, comme vous voulez (Edith)
et Petit Bongo (Ali); Voir cet article), des 130 millions de dollars (68 milliards de CFA) que Bongo tenta de cacher dans
des comptes secrets à la Citibank, ou simplement de la tentative de kidnapping sexuel de Miss Pérou, le scandale colle à
la peau des Bongo « ondimbés » comme la misère à la peau des Gabonais.
(BDP-Gabon Nouveau, 26 janvier 2007) – Le scandale, la famille Bongo « ondimbienne » le connaît bien. Là où vous
entendez le mot « scandale », vous retrouverez forcément le nom « Bongo ». Qu’il s’agisse des 20 millions d’Euros (13
millards 624 millions 466 200 de CFA) détournés par la famille Bongo pour acheter des yachts de luxe ä chacun des
membres de la famille (Papa Bongo, « Mama Bongo du Congo » ou Mama Congo du Bongo, comme vous voulez (Edith)
et Petit Bongo (Ali); Voir cet article), des 130 millions de dollars (68 milliards de CFA) que Bongo tenta de cacher dans
des comptes secrets à la Citibank, ou simplement de la tentative de kidnapping sexuel de Miss Pérou, le scandale colle à
la peau des Bongo « ondimbés » comme la misère à la peau des Gabonais.Le pire dans tout ce méli mélo c’est que nos
joyeux lurons en rient éperdument. Au Gabon, le dicton des « ondimbés » est clair: « Lé chien aboâ, la caravané pâââche ».Voilà
pourquoi on découvrit avec stupeur l’année dernière, dans une émission de VH1 (chaîne TV de musique et de show-biz
américaine) intitulée « The Fabulous Life of Real Rich Real Estate » (la Vie fabuleuse des agents immobiliers réellement
riches), la descente sur Hollywwod d’une certaine Inge Bongo, présentée dans l’émission et sur cette page du site de
VH1, comme « l’héritière d’un pays riche d’Afrique centrale » faisant le tour des propriétés d’Hollywood pour s’acheter
une maison. Traduisons pour le lecteur le résumé de l’émission:ANGLAIS: Inge Bongo, the heiress to a very rich
country in Central Africa, is in town to purchase a home. WEA co-owner Kurt Rappaport shows her a $25,000,000
property in Malibu’s exclusive Broad Beach area, but she feels the home « lacks grandeur. » Co-owner Stephen Shapiro
shows her a stately $25,000,000 Beverly Hills mansion that turns out to be just what she’s looking for.TRADUCTION:
Inge Bongo, l’héritière d’un très riche pays d’Afrique centrale, est en ville pour acheter une maison. Le co-propriétaire de
WEA [Agence immobilière], Kurt Rappaport, lui montre une propriété de 25 millions de dollars à Malibu, dans le très
exclusif quartier de Broad Breach, mais elle trouve que cette propriété « manque de grandeur ». Alors, le Co-propriétaire
[de WEA] Stepehn Shapiro lui montre un seigneurial manoir de 25 millions de dollars à Beverly Hills qui se révèle être
exactement ce qu’elle recherchait.
« Manque de grandeur »? Woooh! Elle a des goût de luxe cette Inge Bongo!L’héritière du trône « ondimbien » Inge Bongo
n’en est pourtant pas à son premier coup médiatique. En 2001, on la retrouve portant plainte contre… Puff Daddy (Oui,
c’est lui, le rappeur producteur de musique américain; Voir cet article). A cette époque, il semblerait qu’elle louait à 25000
dollars le mois (13 millions de francs CFA) une des villas de Puff Daddy. Très acariâtre, elle avait poursuivi Puff Daddy en
justice parce que la fameuse villa aurait été « infestée d’insectes, rats et vermines », avec en plus un cadena cassé qui
la forçait à utiliser la sortie du chien pour aller et venir. Evidemment, la publiciste de Puff Daddy répliqua à Inge Bongo, lui
rétorquant qu’avant d’ouvrir la bouche et « aboyer » (sic), et avant de porter plainte, elle aurait au moins dû payer les
90.000 dollars (47 millions de CFA) d’arriérés de loyer qu’elle devait à Puff Daddy depuis des mois.Et pan! La bouche
d’Inge fut ainsi fermée, mais pas pour longtemps, puisqu’on la retrouve, soudain, 5 ans plus tard, dans cette fameuse
émission de VH1, s’apprêtant à aroser Hollywood de 25 bons millions de dollars amerloques.En quoi ceci intéresse-t-il
le Gabon? Eh bien, c’est simple. A première vue, rien de singulier. L’émission montre une femme « blancheâtre »
(comprenez: à la peau blanche), de type brésilien, cheveux longs et frisés, habillée non pas comme une dame
respectable qui montrerait le sérieux d’une dame de la république par une image impeccable, mais à la manière d’une
véritable prostituée (robe courte, seins dehors comme offerts aux premières mains venues; voyez-là sur cette vidéo). La
fameuse Inge Bongo se serait alors, toute sexy comme un pou qu’on voudrait tout de suite croquer, présentée aux
faiseurs de l’émission comme la femme du Ministre gabonais de la défense, qui n’est autre que, Ali Ben Bongo
« ondimbus » le « politicien minus » selon Pierre Mamboundou.Et pan! Et vlan! Et Bingo, voilà les Bongos encore prix, pardon,
pris la main dans le sac. Alors, maintenant, c’est comment? On épouse des femmes qui s’habillent comme des
prostituées pour aller souiller, encore une fois, l’image du Gabon à l’étranger? Le kidnapping des miss Pérou ne suffit
plus. Il ne suffit plus que Bongo ait « perdi » ses « papiers » à l’ONU, ayant été obligé de passer par des « pétrole y en a
assez », « Gabon ya bon » devant l’assemblée mondiale! Maintenant, on envoie des femmes habillées comme des
prostituées souiller l’image du Gabon sur les télévisions américaines, et dilapider la manne pétrolière nationale! Alors,
ce Gabon que les Bongofanas nous présentent comme un modèle de réussite en Afrqiue n’est donc plus très vivable
pour les dames de nos dirigeants autoproclamés? Maintenant, ils ne peuvent plus eux-mêmes supporter ce Gabon
puant dont les odeurs de pourriture les assaillent à chaque fois qu’ils ouvrent les fenêtres de leurs villas à Libreville.
Maintenant, c’est à Hollywood qu’on va chercher de l’air frais à respirer?Mais bon, il faut pas oublier. Inge ne sera ni la
première, ni la dernière. Une certaine Albertine Bongo devenu « star » ne s’était-elle pas déjà réfugiée aux USA avec une
grosse fortune, pour ne plus avoir à supporter les infâmes odeurs qui chaque matin irritaient ses narines? (Il va vraiment
falloir que « papa » fasse quelque chose contre ces odeurs, hein?).Et combien, demanderez-vous, représentent 25
millions de dollars en bifouras gabonais? Cela représente, exactement, 13 130 750 000 au taux d’aujourd’hui, c’est-àdire,
si vous le voulez explicité, 15 milliards 130 million 750 mille francs CFA bien trébuchants.Wooh! Un pactole qui
pourrait contruire des unités de soins médicaux bien modernes dans les capitales des neufs provinces du pays, ou
noyer les hôpitaux gabonais sous des fleuves de médicaments pendant quelques années! Ne parlons même pas du fait
http://www.bdpgabon.org/archives – BDP Gabon Nouveau Powered by Mambo Generated:17 August, 2009, 12:48
qu’un enfant sur cinq au Gabon ne voit pas son premier anniversaire, à cause du manque de structures médicales
adéquates!Et dire que l’état gabonais peine à éponger sa dette intérieure, puisqu’il vient de verser un piteux 21 milliards
de CFA à cet effet. Comparez ces 21 milliards aux 13 milliards donnés à Inge Bongo pour aller s’acheter une petite villa à
Hollywood. Comparez aussi cela au fait que Bongo vient de décider d’emprunter 62 milliards de FCFA pour construire
des routes au Gabon. Les esprits vifs auront tout de suite remarqué que les 13 milliards d’Inge Bongo auraient sans
doute grandement soulagé la dette gabonaise ou la construction de ces routes, à moins que ce soit le contraire. Les
dettes intérieure et extérieure sont peut-être contractée pour nourrir les petits caprices de la bongoterie. Bon, laissons
de côté ces pensées incestueuses, avant qu’on ne nous accuse encore de mauvaise bouche, à parler parler parler parler
derrière nos ordinateurs alors que les autres mangent, pardon, se battent à coups de fourchettes bien tranchantes sur le
terrain politique au Gabon.Heureusement que nous ne sommes pas seuls à l’avoir dit: cet article d’un site américain
publié en novembre 2006 n’a pas râté la famille des « bongominus » qui parasitisent « lé Gabon ». Ses impertinents scribes
comparent le niveaun de corruption des Ougandais, qui ne seraient que des étudiants d’écoles primaires et enfants de
coeurs, à celui des Gabonais, et trouvent que nos cocos au pouvoir sont tellement devenus experts des détournements
qu’ils n’hésitent plus à aller exposer leur richesse volée sur des télévisions internationales, tout en « mettant leurs doigts
dans le trou du c… de leurs critiques » (sic) en leur disant arrogamment « attrappez-nous si vous le pouvez » (sic). Nos
amis Tchadiens en ont même fait un commentaire savoureux sur ce site.Et dire que ce n’est là que la face cachée de
l’iceberg gabonais!L’esprit élastique du BDP-Gabon Nouveau étant ce qu’il est, nous au BDP aimons à trouver des
rapoorts entre les choses. Nous ne pouvons donc pas résister au commentaire qui suit.Il faut noter, par exemple, qu’Ali
Ben Bongo « Ondimbé » n’est pas le seul des « ondimbés » de la république. Outre « Papa Ondimba » et « Mama Congo », il y
a une belle pléthore de petits « ondimbus » et « ondimbés » qui se promènent par-ci par-là au Gabon, par-ci par-là à l’étranger,
s’achetant qui des femmes, qui des yachts, qui des villas, qui des avions, qui des Mystère 20 comme Papa, à l’instar de
notre très vénéré « minus » (selon Mamboundou) qui tient fermement les rênes du Ministère de la défense pour
protéger « papa », au cas où des énergumènes voudraient le déranger dans sa très « sage » quiétude nationale.Toute
cette pléthore de petits et grands et arrières-grands Ondimbas a besoin d’argent, de beaucoup d’argent pour aller
impressionner leurs « pétits » amis par-ci par-là. Et puis, le petit « Ali » n’a pas que la grosse ambition de remplacer son père
au pouvoir (sa blancheâtre femme autoproclamée dans la vidéo l’a elle-même avoué: Ali se considère déjà héritier du
trône), il lui faut aussi bien nourrir son gros ventre, sinon comment va-t-il se faire respecter par les gens qui respectent les
gros ventres au Gabon?Alors, vu la légèreté avec laquelle Inge Bongo traite cette villa de 25 millions de dollars, qui
pour elle « manque de grandeur », il ne faut pas s’étonner de combien de choses « grandes » la bongoterie s’achète pour
s’éviter les humiliations. Alors évaluez pour vous-mêmes ce que les « ondimbés » de dernière heure et de tous genres
coûtent à la nation chaque année de nos vies miséreuses. 13 milliards pour une villa par-ci, 68 milliards de cachés à la
Citibank par-là dans des comptes secrets de « papa » et de « mama », et 14 milliards détournés pour de gentils yachts de
luxe privés par-là-bas, multipliez cela par toute la « bongoterie », plus tous les parasites auxquels la bongoterie distribue les
miettes pour s’acheter des complicités et des silences, et vous avez le résultat: UN PAYS RUINEC’est cela, Mesdames
et Messieurs, le Gabon de la bongoterie, et de la science ondimbique rénovée sous la dextre compétence de « papa
ondimbus ». Or, vu que l’épisode Inge Bongo vient de se passer (Novembre 2006), il y a à parier qu’avec la nouvelle
victoire électorale de Bongo, et Mamboundou se disant satisfait non seulement par le résultat des élections (vive la
démocratie gabonbaise!), mais aussi par le petit milliard de CFA qu’on lui a jeté comme un os (le silence, et la
satisfaction, cela s’achète aussi, vous savez), la bongoterie ondimbisée du Gabon a de très beaux jours devant
elle.Pauvre Gabon!
BDP-Gabon Nouveau
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, New Jersey, 07052USATel: 973-447-9763 / 973-655-5143
Fax: 973-447-9763 / 973-655-7909
Site: http://www.bdpgabon.orgLe BDP-Gabon Nouveau (« Bongo Doit Partir, pour la Construction d’un Gabon Nouveau »)
est un mouvement politique gabonais de libération nationale en exil dont le siège se trouve dans le New Jersey aux
Etats-Unis. Le BDP-Gabon Nouveau (http://www.bdpgabon.org) recherche la suppression du régime Bongo et le départ
d’Omar Bongo du pouvoir par tous les moyens possibles. Le Mamba (http://www.lemamba.org) en est la branche armée.
N’importe quoi !!!