GABONEWS livre in extenso l’allocution prononcé par Ali Bongo Ondimba devant des milliers de partisans venus le soutenir.
« Camarades Militantes,
Camarades militants,
Chers Amis des Partis Alliés
Chers sympathisants et personnalités de la société civile,
Pères, Chères Mères,
Chères Sœurs, Chers frères,
Mesdames et messieurs, Chers compatriotes.
Votre mobilisation témoigne aussi du dynamisme de notre vaste mouvement et notre conscience à conserver la place qui est la nôtre dans l’échiquier politique de notre Pays, le Gabon
Notre regroupement de partis, d’associations et de personnalités issues de la société civile vivra longtemps pour défendre les grandes valeurs qui fondent notre république que sont :
– L’union
– Le travail
– La justice, auxquelles j’ajoute :
– La solidarité
– L’honnêteté
– La tolérance
– Le mérite
– La fidélité
– La paix.
Ces grandes valeurs sont le ciment de notre Nation, de notre beau pays qui doit toujours être un pays où il fait bon vivre. Un pays de prospérité et de partage.
Ces grandes valeurs sont celles qui nous permettent et nous permettront toujours de vivre en paix dans un développement permanent où les nationaux doivent être les premiers dans tous les secteurs, aux côtés des partenaires étrangers dont nous saluons la contribution au développement de notre pays.
Ces valeurs sont aujourd’hui menacées par nos adversaires politiques pour de mauvaises raisons.
Mais nous refuserons la régression que les autres proposent comme seul argument politique.
Comme moi, vous constatez avec tristesse, que le seul projet de société présenté aux Gabonais par nos adversaires dans leurs communiqués ou dans leurs meetings ce sont des attaques virulentes contre ma personne et contre les responsables politiques qui me soutiennent quelle que soit leur origine.
Est-ce que le fait de s’attaquer à une personne est un programme politique pour les gabonais ?
Un discours politique aux relents ethniques, peut-il constituer un programme d’action pour les Gabonais ?
Je refuse cela, nous devons refuser cela. Car nous avons été élevés dans l’amour du Gabon, dans le respect des autres et de leurs différences.
Ce qui compte à mes yeux c’est le travail bien fait, la fierté de construire ensemble des choses palpables et durables pour notre pays, nos enfants et les générations futures.
Ce qui compte c’est de faire des choses pour le bien de tous, c’est que chacun soit fier de ce qu’il est et de ce qu’il fait.
Chers Camarades, chers amis, chers amis, chères sœurs et chers frères,
Pour nous, notre champ de vision et d’action c’est le Gabon.
C’est construire une nation débarrassée des particularismes et d’autres forces d’immobilisme susceptibles de nuire à l’unité et à la paix que beaucoup de pays nous envient.
Nous ne devons pas accepter que notre pays plonge dans le chaos.
Nous n’allons pas accepter que notre pays plonge dans la violence.
Alors, il ne faut pas avoir peur de dire la vérité.
La vérité protège et nous met à l’abri de nombreuses illusions qui ne sont que des chants de sirènes, des mirages dont il faut se méfier.
Le Président Omar Bongo Ondimba a donné sa confiance à plusieurs d’entre-nous qui ont été Ministres, Directeurs généraux, président de conseil d’administration ou ses proches collaborateurs.
Parmi nous, il y a ceux qui ont fait des choses et ceux qui ont fait semblant de faire des choses. Beaucoup n’ont en réalité pensé qu’à eux-mêmes.
Nous ne sommes pas dupes.
Nous connaissons tous, cette histoire du mauvais ouvrier.
Quand il ne peut monter un mur, c’est la faute de la truelle, la faute du ciment ou du fil à plomb.
Moi, je veux un Gabon qui gagne à 100%.
Il faut donner à chacun sa chance et chacun doit pouvoir saisir sa chance.
Chers Camarades, Chers Amis,
Moi, j’ai un projet de société. Vous et moi avons un programme que nous devons mettre en œuvre ensemble dès maintenant.
Nous ne devons plus attendre compte tenu des besoins urgents des populations.
J’AI UN REVE POUR NOTRE PAYS.
Mon projet de société que je veux partager avec vous vise à construire durablement le Gabon.
C’est une obligation pour nous tous
Dans mon projet de société et mon programme d’action, je veux :
– Promouvoir les activités de plusieurs secteurs de notre économie ;
– Promouvoir toutes les initiatives et les activités en faveur de l’épanouissement de la jeunesse ;
– Mettre un accent particulier sur la formation et permettre un plus grand nombre de posséder un métier pour accéder à un bon emploi,
– Améliorer l’environnement des affaires et de l’investissement et rendre le Gabon attractif ;
– Diminuer les impôts tel que l’IS, l’IRVM, l’IRPP ;
– Améliorer les conditions de vie et de travail de l’ensemble des gabonaises et des gabonais. Dans cette perspective, la généralisation de la journée continue sera encouragée ;
– Augmenter les budgets des Mairies et des conseils départementaux pour rendre effective la décentralisation ;
– Améliorer le système de retraite et de couverture sociale en faveur des retraités et de tous les aînés qui ont servi ce pays ;
– Assurer l’assainissement de nos villes et collectivités locales et lutter contre la pollution ;
– Donner un vrai pouvoir économique à la femme gabonaise qui reste le pilier de notre société en lui assurant des formations adaptées;
– Encourager les femmes dans les affaires et le commerce et construire des marchés ;
– Permettre l’accès de tous à l’école, à la santé, à l’eau potable, à l’électricité, à un logement social, à un terrain viabilisé ;
Je veux des routes, des ports, des aéroports et des équipements collectifs dans tout le Gabon.
Je veux réformer l’administration publique et la rendre apte à répondre aux besoins des usagers du service public.
Je veux réformer la conception et l’exécution du budget de l’Etat et permettre le paiement régulier des factures.
Je veux consolider la paix et l’unité nationale, chères à nous tous.
Je veux doter tous les ministères et toutes les administrations de bâtiments décents et adaptés pour améliorer le rendement du service public.
Je veux maintenir le dialogue entre les communautés religieuses.
Je veux m’attaquer sérieusement au problème de la dette intérieure et extérieure.
Je veux garantir aux entreprises exerçant au Gabon des paiements réguliers.
En un mot, je veux faire du Gabon un pays émergent, un dragon de croissance, un océan de développement partagée par tous.
Pour y parvenir nous devons mettre fin définitivement au règne de l’impunité, du laxisme, du laisser-aller, de la paresse, des magouilles, des combines.
Place désormais au travail, à l’effort, à la responsabilité, au mérite et à l’honnêteté.
Nous devons désormais construire un Gabon :
• Juste, équitable et solidaire.
• Où les fruits de nos richesses communes sont partagés entre tous équitablement.
• Un Gabon qui permet la valorisation et la circulation des élites.
• Un Gabon de libre entreprise et de libre expression.
• Un Gabon créateur de richesses, exportateur de biens.
• Où l’effort au travail doit être récompensé et où une sanction juste doit être infligée à ceux qui font mal, détournent ou dilapident les biens publics.
• Où les communications et les nouvelles technologies de l’information et de la communication sont performantes.
Nous devons sortir notre pays de la pauvreté, de l’exclusion, de la corruption, du chantage, de l’égoïsme, du fétichisme et de l’impunité.
C’est de cette manière que notre pays sera respecté et considéré dans le monde.
Nous en avons les moyens, nous en avons la volonté.
C’est pour cela que je m’engage devant vous à répondre à votre désir d’être mieux entendu et de voir vos efforts reconnus et rétribués.
Mes chers amis,
Pendant cette campagne, je n’userai pas de la langue de bois pour vous attirer à moi.
Je n’utiliserai pas l’injure, la bassesse.
Je ne provoquerai personne et ne répondrai à aucune attaque.
Je ne nierai pas ma part de responsabilité dans ce qui a été fait dans notre pays.
Je sais que l’œuvre accomplie par le Président Omar Bongo Ondimba n’a pas été achevée. Nous avons connu des échecs, certes, mais n’oublions pas que nous avons aussi connu des succès, grâce à sa vision et à sa clairvoyance.
C’est aujourd’hui notre devoir à tous de continuer l’œuvre qu’il n’a pas pu achever.
Il faut manifestement la parfaire.
Nous devons et nous le pouvons.
Si certains prétextent abusivement de notre jeunesse pour insinuer que nous ne sommes pas capables d’apporter un souffle nouveau dans la gestion des affaires publiques, ils se trompent lourdement.
Ils seront surpris des réalisations et des succès que connaîtra le gouvernement que je mettrais en place.
J’ai toujours eu un rêve pour le Gabon, nous avons tous un rêve pour ce pays qui nous a vus naître et qui assure notre existence sur terre.
Nous avons la saine ambition de faire de ce pays tout ce qu’il mérite en bien.
En combinant audace et intelligence, nous allons tout oser pour le développement de notre pays.
Chers compatriotes, chers camarades, chers aînés, chers sœurs et frères,
J’ai foi en votre intelligence, en votre courage, en votre force, en votre sagesse, en votre génie, en votre lucidité et en votre amour pour le Gabon.
J’ai besoin de vous tous pour agir ensemble et regarder l’avenir de notre pays en toute confiance.
C’est à notre portée et nous en avons les atouts.
Merci, merci encore pour votre soutien chaleureux et appuyé.
Merci, d’être venus si nombreux.
Je vous souhaite à tous une très bonne campagne électorale et une victoire éclatante au soir du 30 août 2009.
Merci encore, merci
Que Dieu nous bénisse,
Que Dieu bénisse le Gabon notre cher pays ».
ALI EST ENCORE PLUS CON QUE JE NE PENSAIS, OU C’EST TOUT SIMPLEMENT DE LA PROVOCATION.
COMMENT PEUT-IL REDUIRE LA DETTE EXTERIEURE ET INTERIEURE QU’IL A LUI MEME CREUSER EN OFFRANT A UNE PUTE OHHH PARDON INGE BONGO, UNE VILLA DE 15 MILLIARDS DE FCFA? CES 15 MILLIARDS S’IL NE LE SAIS PAS POUVAIENT EPONGE UNE BONNE PARTIE DE LA DETTE NATIONALE.
SAIT-IL CE BATARD D’ALI CE KON PEUT FAIRE AVEC 15 MILLIARDS?
SI SI IL LE SAIT LUI,ALLER « SERBAI » LES TUE TUE BLANCHES AUX STATES,CA OUI IL SAIT LE FAIRE PAUVRE NAZE.
SI ALI EST PRESIDENT,JE PEUX VOUS ASSURER QU’IL DEVRA OUBLIER LE GRAND NORD, PARCE QU’IL SERAIT PRESIDENT DE 8 PROVINCES DU GABON.
LA 9e PROVINCE, LE WOLEU – NTEM NE CEDERA PAS.
ON SE BATTRA JUSQU’A LA MORT.
ALI DOIT PARTIR EN EXIL OU PERIR AINSI QUE SA VACHE DE NOURRICE TUE TUE QUI SE DIT SA MAMAN,OUI JOSEPHINE KAMA LA CHANTEUSE DE MAISONS CLOSES.
OUI VOUS ETES LES ENNEMIS DE LA NATION,VOUS ETES LES ENNEMIS DU
GABON. COMME VOUS ETES DETERMINEZ A APPAUVRIR PLUS LES GABONAIS,A LES LAISSER SOMBRER DANS LA MISERE LA PLUS PROFONDE, VOUS MERITEZ
TOUS LES BONGO QUE LA MORT ET C’EST CE QUI VOUS ATTENDS.
A BON ENTENDEUR? saluté
Ali, tu peut garder tes rêves à la con dans ton cerveau mal fait. Si tu triches à ces élections, tu vas t’attendre à un gabon divisé où des groupes de rebelles perturberont ton mandat. Tu ne sais pas lire le signe des temps, regarde comment le pays est déjà bien divisé, le sud pour les sudistes, le nord pour les nordistes, çà ne te suffit pas, une chose est sùre, tu ne vas jamais dirigé ce pays en entier.
Les urnes n’amèneront pas la liberté aux gabonais, seule la lutte payera. Tu dois soit être tué ou bien envoyé en exile.
Nzé Medang
Ali BONGO,
Je ne sais pas si tu regardes assez bien dans le miroir pour constater l’allure de délinquant que tu affiches !!!
J’étais dans un taxi quand je t’ai vu passer pour aller mentir au Peuple Gabonais lors de ton meeting du dimanche 16, là je me suis dit quel VOYOU!!!!
Non mais voyons, Ali nous prend pour des idiots, un mec insolant comme toi, arrogant, impoli, non tu rigoles, je ne sais pas de quel rêves tu parles dans tes discours qui ressemblent à des récitations de l’époque Albert Bernard.
Voilà tu viens de salir Libreville avec tes posters de voyou, tu parles comme en plus comme un mec de la rue, ta gestuelle démontre à quel point tu n’es pas fait pour être Président.
Ecoute Ali, ,nous ne voulons pas de toi, tu as un rêve pour ta famille et tes amis du PDG, laisse les Gabonais gérer leurs affaires, je t’en prie ne cherche pas les problêmes là où il n’y en a pas…
Ce qui est grave c’est que tu as osé dire dans tes discours que nous les gabonais on ne peut pas bruler, tu as osé dire que c’est une vielle chanson et que tu as assez entendu ça et qu’on a rien fait….
Ali je te demande de laisser les choses tant qu’il est temps.
A bon entendeur.
Pour rever d’un GABON meilleur, il faut d’abord ETRE GABONAIS ET PENSER GABON D’ABORD!!! TEL N’EST PAS TON CAS, M. ALI ODJUKWU BONGO ALIAS BIAFRAIS.
Si le GABON est bien dans cet etat, un pays couche, paralyse, endeuille, miserable, c’est bien la faute de ton BANDIT de pere. Tu viens nous chanter tes reves, qu’est-ce qu’on en a a foutre!!!! Tu es simplement « IDIOT ».
Tes reves se resument a la destruction du GABON, achever l’oeuvre que ton VOYOU de pere avait bien commence.
Inutile d’insister ALI ODJUKWU BONGO, Les GABONAIS sont unanimes, ILS NE VEULENT PAS DE TOI.
TES REVES, TU FERAIS MIEUX DE LES GARDER POUR TOI-MEME.
MILANG MI SI.
Les rêves et promesses d’un homme politique-et qui plus est de cet acabit- n’engagent que ceux qui y croient!!!!!
Il n’est pas assez intelligent pour ecrire un tel discours, comment serait-il capable de penser ce qui y est dit? Ce fut le cas avec son idiot de pere toutes ces annees au pouvoir. Que Ali reve du Gabon en Paradis ou meme en Enfer, c’est simplement son problem a lui, les gabonais n’ont pas besoin de lui comme un guide dans ce nouveau Gabon qui commencera dans quelques mois… les BONGO’s sont des INCAPABLES, ils ne peuvent rien faire pour le Gabon, donc pas la peine pour eux de rever. Pas de gabonais serieux qui prendraient en consideration les reves de Ali et sa famille !
La corruption,l’égoisme,le cynisme,l’aliénation,immoralité,voilà les bases jétées par le PDG qui régissent notre pays aujourd’nui.
qu’on ne nous dise pas le contraire.
IL veut beaucoup de chose celui-là!
Voici des gens qui n’en ont jamais assez!
Au début il dit » … Conserver la place qui est la notre…au Gabon! » mais bon sang! il rêve de quoi? pdt 42 ans, il a claqué des doigts tout lui est tombé du ciel! là il vient dire qu’il rêve!!! Question à zero fcfa: QUI LUI A DONNE CETTE ENVIE DE REVER D’UN GABON MEILLEUR, ou ETAIT-IL AVANT?ah je crois qu’il rêve de continuer à bien piller le Gabon, sans que les Gabonais lui demande des comptes. Il rêve de mieux mâter les Gabonais incrédules qui pensent maintenir leurs acquis en croyant mordicus au bien fondé de ses intentions réelles. Pouahahahah! j’ai la nausée en écrivant! il rêve tout simplement d’achever l’oeuvre de son père, faire disparaître le Gabon de la carte du monde! Ce ne sera avec ma voix! j’espère pas avec la votre!
« Non mais! et puis quoi encore! » il nous prend vraiment pour des imbéciles!
Bon message,bon discours sous réserve de confirmation de sincerité son auteur!!!!!!