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Urgent / Retour du Dr. Daniel Mengara au Gabon retardé

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Dr. Daniel Mengara, lors de sa déclaration de candidature à Libreville le 22 juillet dernier

Le Dr. Daniel Mengara, dont la candidature avait été arbitrairement rejetée par la Cour constitutionnelle gabonaise le 31 juillet dernier à la suite du recours déposé par le candidat, devait revenir au Gabon le 20 août par un vol de Air France (AF 976) qui devait se poser ce jeudi à l’aéroport international de Libreville au Gabon à 17h00.

L’arrivée du Dr. Daniel Mengara a été retardée.

De plus amples informations seront fournies sur ce site dès que possible.

Source: BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. Le sages disent :la machine qui a servi a moudre le piment ne perd jamais l’odeur du piment malgré le nombre de litre d’eau de cologne versé dedans;pour dire qu’aucun ancien pdgiste aujourd’hui opposant ne peu changer ce pays,tous sont et le restera voleur et pilleurs de denier publique.

  2. ARRETONS AVEC çA…TOUS ICI NOUS SAVONS QUI EST LE VRAI CANDIDAT DU CHANGEMENT….PIERRE MAMBOUNDOU..LE RESTE? DES PLAISENTAINS..
    BEN MOUBAMBA ET MENGARA AURAIENT ETE POUR MA PART DES CANDIDATS CREDIBLES MAIS MALHEUREUSEMENT COMME DIT MAMBOUNDOU L’ILLEGALITE AU GABON EST UN « VRAI SPORT NATIONAL »..

  3. Oye Mba ne mérite pas notre attention qu’il rende d’abord les milliards de nos franc au peuple gabonais en suite on saura qu’il est pour le vraie changement,qu’il le sache qu’on est plus dans les année 60 ou cette génération avais pactisé avec le diable en signant des accord qui nous détruises aujourd’hui,vingtieme siècle c’est un siècle de la libre échange ou doit ré igné la liberté,démocratie et le patriotisme solidaire tout en gardant une conscience pure sans reproche.

  4. Je suis désolé F.J Nguema Ango, mais c’est votre choix, malheureusement CASIMIR OYÉ MBA a un bilan médiocre lors de ses 25 ans au regime Bongo, il est à l’origine des injustices salariales actuelles. Il a privé des agents des mines des logements sociaux initiés par le ministre ONOUVIET,je te demande de te renseigner, avant sa démission, il n’a pas resolu ce problème. Comment expliquer un homme qui se veut rassembleur peut afficher un comportement de rejet de l’autre,allez-y au ministère du plan et vous demandez le traitement que CASIMIR a fait subir à ses ministres délégués à savoir YOLANDE ASSELÉ et BAYOGHA. CASIMIR n’autorisait pas à ses adjoints de prendre le même assenceur que lui, ses adjoints se contentaient de l’assenceur de l’ensemble des agents du ministère du plan. Un autre cas, dans son cabinet il n’y avait aucun non fang et même les fangs qui étaient dans son cabinet sont des parents ou par affinité clanique. CASIMIR est marié a Paulette MISSAMBO à la coutume,à l’époque Paulette était ministre de l’éducation nationale, CASIMIR demandait à sa femme de nommer les fangs de sa contrée au poste de proviseur, la femme respectait la consigne et nommait puisque je suis de l’estuaire et je connais très bien l’histoire.Par contre quand Paulette demandait à CASIMIR de nommer les siens, il ne le faisait pas, actuellement Paulette à des problèmes dans la province de l’O. LOLO pour convaincre la population à propos de son mari, il est reproché à Paulette que son mari n’a jamais pensé à nous malgré ses hautes responsabilités dans les gouvernements successifs. Si tu n’étais pas ministre, jamais on pouvait occuper des fonctions de responsabilité s’il fallait compter sur ton mari et s’il devient président il affichera toujours ce comportement de mépris. VOICI LA TRISTE RÉALITÉ DE VOTRE COMPÉTENT DE CANDIDAT.Peut-on diriger un pays quand on ne tient pas ses engagements vis à vis de sa belle famille et être plus malin que sa femme pour atteindre ses objectis?

  5. Moubamba et mengara sont le messies gabonais,le seul qui ne sont pas envoûtés et qui peuvent faire quelque chose pour le gabon ils ont la voix de la raison que nous gabonais devions suivre.Quant aux autres opposant assoiffés de pouvoir il ne pas encore trop tard pour se faire des envoutés,ensuite s’unir pour faire tomber la machine destructrice et tsunamie meurtrière pdgistes cette bande de suceur de sang décidés d’anémier les gabonais jus ce au dernier goutte de son sang,réveillons nous et agissons pour un gabon libre et digne d’un pays de la vingtieme siècle.

  6. LIBRE PROPOS : ELECTION PRESIDENTIELLE AU GABON : ET SI ON FAISAIT LE MÊME CHOIX ?

    Chers frères et soeurs, chers compatriotes,

    Permettez-moi en ce moment solennel de l’élection présidentielle au Gabon de vous exprimer tout le respect que j’ai pour votre choix que j’imagine déjà arrêté, pour des raisons diverses. De même, souhaiterais-je, pour la cause commune que nous partageons, celle d’appartenir à un même pays, que nous voulons davantage merveilleux et crédible dans le concert des nations, grâce à une dynamique de développement politique et économique, à la stabilité et à l’épanouissement globale de sa structure sociale, que vous preniez un peu de votre précieux temps pour me lire et, peut-être, partager finalement le fond de ma pensée. Car, tout en respectant la liberté de chacun, je suis néanmoins de ceux qui pensent foncièrement qu’il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis.

    Cela étant, dire aujourd’hui que le Gabon est un pays riche est un euphémisme. Aussi, une fois notre futur président élu, il n’aura pas un moment de répit parce qu’il lui faudra œuvrer pour contenter, dans l’immédiat, la forte demande de son peuple longtemps paupérisé et spolié par 42 ans d’un Bongoïsme névralgique, névrotique, voire apocalyptique. Sans être médiumnique, c’est-à-dire avoir le pouvoir de lire dans la boule de cristal, je suis néanmoins certain que nous attendons tous, à des degrés, certes, variables, de notre futur président qu’il nous donne immédiatement un « signal social fort » à travers la prise de mesures concrètes allant, prioritairement, dans le sens de la consistance du panier de la ménagère, réduisant par effet de dominos des écarts sociaux, indicateurs d’une pauvreté criante de la majorité de nos populations (augmentation des salaires, des bourses, de diverses allocations, l’emploi etc.).

    Oui à la restauration de l’autorité de l’Etat, à l’ancrage effective de la séparation des pouvoirs régaliens, au redressement économique et aux mesures budgétaires drastiques, à la lutte contre l’enrichissement illicite, à la construction d’un réseau routier fiable, à l’amélioration de nos conditions d’écolage et de santé, à une politique agricole d’autosuffisance alimentaire et d’exportation, à une intégration sous régionale favorable aux échanges commerciaux et humains. Et, que sais-je encore ? Mais, nonobstant ce schéma de révolution sociétale nécessaire, que nous souhaitons de tous nos vœux, je crois savoir aussi que de telles réalisations s’inscrivent dans un angle structurelle, j’allais dire plus trivialement qu’il faut du temps pour concrétiser ces projets. Mais, le peuple gabonais d’aujourd’hui, composé en majorité de la masse, c’est-à-dire de personnes intellectuellement inaptes et donc incapables de lire substantiellement, avec le recul nécessaire, la nécessité qu’il y a à faire préalablement l’état des lieux de tous les secteurs de développement du Gabon avant de proposer des solutions aux maux éventuels, a-t-il réellement les moyens psychologiques, voire physiologiques, pour donner le temps au temps, avant d’espérer jouir de ce qu’il estime être son droit le plus inaliénable : le mieux être social à travers l’emploi et ses corollaires ?

    Toujours est-il qu’à partir du 1er septembre 2009, le Gabonais ne se contentera plus de la volubilité rhétorique d’un président « bon parleur », encore moins de sa belle silhouette angélique, fut-elle christique. Ce que je pressens est que tout en militant pour la réalisation effective des « travaux d’hercule » sus énumérés, notre peuple voudra en même temps goûter, dans l’immédiat, la douce saveur de sa liberté recouvrée, et humer le bon parfum de l’ère du temps, le temps d’un Gabon nouveau, via notamment le rehaussement, même symbolique, de ses émoluments et/ou de diverses allocations sociales. Pour éviter la grogne sociale probable à un éventuel retard de ces « actes visibles », notre président doit donc être, de suite, réactif, opérationnel. Et ça, ça ne se décrète pas. Il doit avoir dans sa gibecière, comme un magicien, les moyens de cette politique, avoir comme une pieuvre des tentacules, des ramifications solides en termes de contacts, de réseaux crédibles, à même de le sortir de l’impasse des zones de turbulences sociales, furent-elles passives. D’où serait-il nécessaire qu’il ait par devers lui un carnet d’adresses solide.

    Dès lors, on peut se poser la question suivante : qui des 22 candidats de l’Opposition élargie peut facilement, en tout cas plus vite que ses compatriotes postulants, permettre à ce peuple longtemps resté enchaîné de côtoyer l’idéal commun auquel il aspire ? Pour répondre à cette question il importe à chacun de nous d’invoquer son moi intérieur, le discernement spirituel, afin que notre choix mette en avant notre philosophie commune « Gabon d’abord », qui ne doit pas est utilisée à de simples fins égoïstes, au gré du vent mais, aujourd’hui encore plus qu’hier, à des fins de sauvegarde de notre unité nationale, qui risque de connaître des remous au matin du 1er septembre 2009, par la faute de quelques saprophytes, des « profito-situationnistes » invétérés, assoiffés de pouvoir.

    L’unique esprit de discernement auquel je crois et que je soupçonne que vous en êtes aussi possesseurs, qui peut nous mener à la béatitude sociale au lendemain de l’élection présidentielle, impose que chacun de nous fasse un choix objectivement responsable. J’entends par choix responsable celui qui rejette l’arbitraire et l’injustice inconsciemment enfouis dans notre for intérieur, créés par quelques pulsions arborées de subjectivité et dont la plus dangereuse stimule les sens du repli identitaire favorisant le vote ethnique ou clanique au détriment de l’objectivité que recommande la Lumière céleste, l’amour du pays. En outre, un tel choix ne doit guère être tributaire de l’obtention d’une éventuelle liasse de billets de banque ou toute autre forme de rétribution, d’ailleurs éphémère, même si je réalise parfaitement combien notre quotidien social est difficilement gérable et combien nous pouvons, par nos insuffisances matérielles, tomber facilement dans les travers de l’absurde. Le choix de notre président de la République doit d’abord interroger notre dignité d’Homme et s’asseoir sur des convictions patriotiques, ayant en ligne de mire l’avenir de notre progéniture, à défaut du nôtre, choix construit autour d’un « profil morphologique » du candidat – pour parler comme Ida Berger – constituant un «tout » et non une « partie du tout ».

    Outre de simples professions de foi incluant de bonnes intentions patriotiques de développement national, somme toute louables, et que les différents candidats exposent à tout vent en ce moment de campagne électorale, notre président doit être habité par une compétence avérée de l’ordre académique et universitaire, être un homme d’expérience positive – j’insiste sur l’épithète – dans la gestion des affaires publiques, doublé d’une notoriété nationale et internationale, susceptible, grâce à ses qualités de rassembleur trans-ethnique, d’inspirer confiance aussi bien à la quarantaine de groupes sociolinguistiques du Gabon qu’à la communauté internationale, notamment aux institutions du Bretton Woods (FMI, Banque mondiale, Club de Paris, de Londres…), seules capables de créditer, dans les meilleurs délais, notre trésorerie publique, désormais orpheline de ses fonds par la faute d’une bande de kleptomanes véreux qui érigent la malversation financière au rang de sport national. En un mot, les caisses du Gabon sont vides au point que notre pays est à la lisière de la cessation de paiement, comme l’a affirmé récemment notre brillantissime économiste, expert international, ancien membre du Gouvernement et Candidat à l’élection présidentielle, Albert Ondo Ossa. Des propos d’ailleurs corroborés par un autre candidat à l’élection présidentielle, ancien baron du régime Bongo, Medhi Teale, malgré les gesticulations mal cadrées de Blaise Louembet, le trésorier payeur général, qui se bat comme un diable dans le bénitier pour démentir ces assertions.

    Partant donc de mon postulat de base selon lequel le futur président du Gabon doit être « un tout » et non « une partie du tout », je constate simplement que sur les vingt deux candidats en lice du côté de l’opposition, le seul qui intègre toutes les dimensions objectives du profil morphologique sus présenté est indubitablement, vous pouvez, sans passion, vous exercez à le vérifier vous-mêmes, Casimir OYE MBA. Un homme qui, grâce à ses compétences intellectuelles et pratiques, sa probité morale unanimement reconnue, sa lecture aiguisée des maux sociaux, son impressionnant carnet d’adresses en tant qu’ancien Gouverneur de la BEAC, Premier ministre, Ministre des affaires étrangères, de la planification et des mines du Gabon, saura rehausser indéniablement l’image de notre pays à l’étranger, dans le cadre de la mondialisation globalisante, tout en étant immédiatement opérationnel sur le plan local pour répondre aux premières attentes du peuple et au redressement économique, social et politique du Gabon.

    Chers frères et sœurs, chers compatriotes, loin de moi toute envie de faire l’apologie d’OYE MBA que je ne connais que comme un compatriote compétent, loin de moi non plus d’être manichéen en mettant d’un côté les bons et les méchants, les plus aptes et les moins aptes à la fonction présidentielle. Mon propos repose sur l’objectivité, rien que l’objectivité, seule source de cohérence analytique et argumentaire, qui veut que même si chacun de nous considère, à tort ou à raison, son candidat comme le meilleur des vingt deux, à défaut de présenter un seul candidat de notre bord politique, il faut dans tous les cas, pour gagner contre Ali Bongo et le PDG, se faire violence et composer une synergie d’efforts en votant UTILE ; transcendant par la même occasion nos particularismes, somme toute compréhensibles car reflétant notre multi-culturalité, des particularismes qui doivent se vivre non pas comme un fardeau social, un handicap créant des complexes injustifiés vis-à-vis des autres, mais comme un patrimoine national, une richesse aux effets sous-jacents de transculturation au sens d’Ana Vasquez .

    Sans doute que « le meilleur des meilleurs » de nos candidats de l’opposition élargie est, comme je viens de le démontrer modestement à travers le profil morphologique esquissé supra, Casimir OYE MBA. Sauf à déconstruire scientifiquement ma démonstration en m’expliquant sans passion, rationnellement, le bien-fondé du choix d’un autre candidat de cette opposition. Il va sans dire que je rejetterais cette explication éventuelle si elle ne repose que sur des inepties de type « longévité dans l’opposition, n’a jamais été en contact avec Bongo… ». Comme si, sous les tropiques, le fait d’être un « éternel opposant » est en soi un projet de société méritant un prix Nobel et que le Gabon peut se reconstruire sans tous ses enfants. Je crois humblement que les seuls critères représentatifs pour incarner notre futur président doivent se penser dans sa capacité réelle, et non supposée, à gouverner de suite, de manière équilibrée et responsable, la « maison Gabon » ; avec ce que le terme « capacité » revêt comme arguties ou subtilité linguistique.

    Aujourd’hui, il ne s’agit plus d’interpréter le monde il faut le transformer pour ne pas citer William James. Tout en reconnaissant l’antériorité logique de la théorie sur la pratique, je reste convaincu que seul un bon praticien et non quelqu’un nourri de la seule théorie livresque peut guérir le Gabon des maux qui le mine aujourd’hui. Les grands esprits et les exégètes comprendront aisément par là que la seule appartenance au PDG ou à l’Opposition n’est pas en soi un gage de compétence, de probité morale et intellectuelle, de crédibilité sociale, de notoriété nationale et internationale, de haute expérience dans la gestion des affaires publiques, d’aptitude au rassemblement des gabonais autour de soi, symbole d’assurance et de prétention à la paix sociale. A mon avis, la construction d’un Gabon nouveau interpelle tous ses enfants, même Ali Bongo et les siens, à condition, toutefois, que demain, le vice et le « laisser faire » en vogue à l’époque du président Bongo n’en soient plus une vertu.

    Chers frères et sœurs, refuser de voter OYE MBA le 30 août prochain pour des raisons mesquines et tendancieuses ferait de nous des adeptes de l’oxymoron qui veulent à la fois d’une chose et son contraire, à savoir vouloir faire « tomber » Ali Bongo et le PDG en refusant par la même occasion de donner sa voix à celui qui a véritablement le profil de l’emploi et qui est le plus à même de réaliser cette volonté populaire. Dans une telle hypothèse soyons en sûrs que nous n’aurons que nos petits yeux, bridés par l’amer des larmes, pour pleurer au matin du 1er septembre, après que notre compatriote du camp adverse aura gagné, non pas parce qu’il aura été plus fort ou qu’il aura tripatouillé les résultats du scrutin, mais parce que nous l’aurons aidé à triompher de nous par la faute de nos égoïsmes caractériels manifestes, traduits par un éparpillement de voix INUTILE.

    Et nous voilà partis pour une MONARCHIE, non pas apparente, mais, cette fois, réelle parce que constitutionnelle. Une remise en cause de notre chère République que nous condamnons pourtant aujourd’hui avec rigueur, mais que nous pourrons subir demain si nous ne prenons garde. Sauf à penser que nos mentors politiques ont déjà dans leur escarcelle un véritable « plan B » par rapport à cette éventualité. Mais dans mon schéma qui exclut, a priori, toute violence physique qui ne relève de l’instinct de conservation animal, j’ai bien peur que ce plan B ne soit un gouvernement d’ouverture ou peint d’autres épithètes que l’on connaît tous par expérience « omarienne » et sur lequel trônerait royalement, comme un despote avide de courtisans, ALI Bongo…dont nous ne voulons pourtant pas aujourd’hui.

    Chers frères et sœurs, chers compatriotes, l’HEURE EST GRAVE ! la balle est dans notre camp. Chez les Fang, ethnie à laquelle j’appartiens, nous disons face aux grands enjeux et en dépit de nos chamailleries intestines : « TUONS D’ABORD l’ELEPHANT ET ON EN DISCUTERA PLUS TARD ! », comme pour dire unissons d’abord nos forces pour sauver « la maison Gabon » avant de se retrouver ensemble et en toute convivialité autour d’une table pour décider de la quote-part dans l’organigramme Pouvoir.

    Je sais pouvoir compter sur votre bonne compréhension et votre sens de responsabilité citoyenne.
    .

    Freddher Joseph NGUEMA ANGO
    (Bordeaux-France)
    Doctorant en Sciences de l’Education.
    Masters de Sociologie et de
    Sciences de l’information et de la communication.
    Blog : nguema-ango.blog4ever.com
    E. mail: afrinte@yahoo.fr

  7. tout à fait chers frères, tous ces candidats de l’opposition ne sont pas solidaire. de quel développement du Gabon parlent t-ils, si on ne voit aucun signe de solidarité envers les autres candidats en difficulté? cela prouve à suffisance que tous ces candidats pensent qu’à leurs propres intérets. je me demande pourquoi ils ont accepté d’aller aux élections dans de telles conditions? ils cautionnent le fait que abo soit président de cette facon, ils iront toujours faire des courbettes à la présidence. je parie que si Mengara était la le 07 à Libreville, les choses devaient se passer autrement, on parlera de la révolution en ce moment et c’est ce dont le Gabon a besoin. il faut tout refaire au Gabon tout, absolument tout.

  8. @ Raid

    C’est effectivement cela: La course du « pouvoir pour le pouvoir ». Le « Mal pour le Mal », « l’Idiotie pour l’Idiotie ». C’est cela la DEMARCHE actuelle de notre O si « chere » opposition (reelle). Cela DENOTE l’IMMATURITE de la « politique » (sous les tropiques) d’une certaine generation dite « generation-PDG » d’hommes politiques, pratiquement INCAPABLE de s’adapter aux REALITES actuelles dans une NOUVELLE societe de « consomation » usant – comme toutes les autres – des atoux du 21e siecle (nouvelles technologies, nouveaux moyens de tele/communication etc.). Cette classe d’hommes politique est comme sous l’EMPRISE HYPNOTIQUE du « Bongoisme » et c’est cela qui nous cause la STAGNATION actuelle ou le systeme en place CONTINUE TOUJOURS a en faire « a sa tete », ne craignant RIEN DU TOUT car celui-ci est tout a fait sur et conscient que c’est lui qui DETIENT TOUTES les INSTITATIONS ETATIQUES et TOUT l’APPAREIL POLITICO-ECONOMIQUE du Gabon.

    Cela donne finalement a tout ceci un caractere de « COMEDIE EPIQUE » comme dans une « Tragedie Grecque ». Tragedie, ou M-E-M-E la soit-disante « president par interim » – dite « Madame Vieille Peau voulant jouer les Boss a la Ted Dibiase – Million Dollar Man du Catch » – donne UNE CONSIGNE DE VOTE (!) dans son discours a l’occasion de la celebration de la fete de l’independance.

    Damn!

    « Madame la Vieille Peau » parle de « privilegier les elements de paix et stabilite » dans le choix du « candidat », qui sont « l’heritage laisse par le chef de l’Etat defunt ». Et s’adressant aux autres candidats – qui ne sont pas S-O-N candidat – c’est a dire le candidat du PDG – celle-la les traite de « vendeurs d’illusion ». F…ck!

    Et en ce qui concerne les personnes (c’est a dire le peuple) qui voudraient PROTESTER, cette pet…sse les denomine de « fauteurs de trouble » les accusant de vouloir entrainer le pays dans une « guerre civile ». C’est seulement en « Afrique » que l’on verra un soit-disant « president par interim » – dont le mandat (selon la « constitution ») devrait avoir en gros une duree de 45 jours, pour ORGANISER et ASSURER l’election DEMOCRATIQUE d’un president – FAIT CAMPAGNE pour l’un des candidats aspirants a la Magistrature Supreme de l’Etat !

    Mais tout cela ne devrait pas nous surprendre, car Madame Rose Francine Rogombe appartient a cette CLASSE DE PERSONNES, a ce CLAN de pseudo-politiques V-E-N-D-U-S qui a mis le Gabon sur les rotules. C’est seulement nous – comme d’habitude – qui avions eu un micron de BRIN d’ESPOIR, esperant que la R-A-I-S-O-N pourrait prendre le dessus sur l’INJUSTICE.

    Jusqu’ou allons-nous continuer a etre NAIFS et nous MENTIR NOUS-MEMES ?

    Chers freres et soeurs Gabonais, NE nous detrompons point ! Le message est TRES CLAIR. Ce CLAN (« Bongoistes », Pede-gistes) IMPLORE le peuple a « preserver le Gabon tel qu’il est » prenant comme ALIBI la « PAIX ». C’est a dire qu’ils nous I-M-P-O-S-E-N-T a les laisser « en paix » de continuer a piller, detourner, « se la couler douce » au vu et su de PANTINS de PSEUDO-OPPOSANTS faisant leur jeux de la M-E-D-I-O-C-R-A-T-I-E.

    On nous POMPE les oreilles de « preserver la paix » au Gabon, car les seules personnes auxquelles cette « paix » a profite et profitera sont cette CLASSE d’hommes et femmes du systeme « Bongoiste » qui a CORROMPU le Gabon et la Classe « politique » Gabonaise a un point que meme notre ENTENDEMENT se refuse de comprendre. Une classe de personnes qui souffrent d’une « PERTE DU SENS DES REALITES » CHRONIQUE. Et Madame Rose-Francine ROGOMBE en fait bel et bien partie.

    Quel MESSAGE le systeme (EN PLACE) doit-il encore nous transmettre pour COMPRENDRE que le S-E-U-L MOYEN de nous LIBERER de ces ENERGUMENES est la R-E-B-E-L-L-I-O-N !

    Tout homme ou femme POLITIQUE qui nous dira AUTRE CHOSE est soit COMPLETEMENT S-T-U-P-I-D-E (donc NON-qualifie/e pour apporter un jugement sense et raisonne) ou un M-E-N-T-E-U-R, faisant ALORS de ce fait partie de ce systeme (« Bongoisme ») que l’on se DOIT de DETRUIRE !

    Da zhaohu,

    Wànshìtong

  9. les vieux opposants sont pressés par la soif du pouvoir au point de devenir aveugles et sourds.Oubliant l’esentiel, ils ont cautionné l’arrêt des inscriptions sur les listes électorales pendant les nouveaux électeurs étaient en fil d’attente.Ils acceptent les mêmes cofigurations et conditions qui ont décrédibisé nos institutions,à savoir la présence de Bourantsouo à la cour constit. Un gouvernement qui est à la fois juge et parti.C’est inadmissible.on ne peut pas aller au élections dans ces conditions,où le gouvernement est en campagne pour le PDG et veut assurer la sécurité de ses adversaires, où on voit la présidente de la cour constit dans les délégations d’Ali. où les merches pacifiques de l’opposition sont réprimées.cette soif du pouvoir pour le pouvoir se voit tbien très dans leur PROJETS de SOCIETE que j’ai trouvés particulièrement CREUX et EXPEDIDTIFS.

  10. Mr CC

    Tes remarques à l’endroit du Dr Mengara ne sont pas unificateurs.Tu fais insidieuseusement le jeu du PDG en exhortant implicitement Mengara à se désolidariser de ses ainés politiques.

    Le bon sens de Mengara pour le Gabon et son avenir le guidera-ainsi que de vrais conseils de sages- et non des conseils sorciers,divisionnistes,déconsidérés.Il se prononcera pour le Gabon.Cela peut se faire en donnant des consignes de vote ou pas à tel ou tel candidat opposé au PDG et pourquoi pas à Ali Bongo dont la détermination à être élu ne s’inscrit pas forcément dans une perspective de survivance du bongoïsme!

    Le Gabon est une république unie et démocratique!!!!!!!!!!!!!!!!

  11. @ La CC

    Je pense que « soutenir » la candidature de Ben Moumbamba signifierait AVALISER une « candidature » pour une pseudo-election. Ce qui ne nous avancerait pas vraiment a grand-chose du fait de la MASCARADE RISIBLE et RIDICULE de la pseudo-election actuelle.

    Par contre, je suis du meme avis que toi que Daniel Mengara DEVRAIT faire un GRAND GESTE SYMBOLIQUE en allant RENDRE VISITE a Ben Moumbamba dans sa greve de la faim devant le palais de l’Assemblee Nationale.

    Peu importe tout ce que l’on peut penser de Ben Moumbamba, je pense que son ACTE – certes au depart peut-etre voile d’une « mise en scene » candide – est a SOUTENIR. Celui-ci marque egalement le CHANGEMENT de STRATEGIE apporte par un vent JEUNE et NEUF que S-E-U-L-S les « candidats » d’une certaine generation peuvent avoir. Avec beaucoup de CRAN et d’A-U-D-A-C-E dans leur engagement. Et ce changement de « strategie » passe en POSANT des ACTES, des ACTIONS dont la VALEUR SYMBOLIQUE atteint une toute autre dimension NOUVELLE.

    C’est ce que Ben Moubamba a OSE ! Et les autres « candidats » auraient du suivre son EXAMPLE au lieu de se lancer dans une soid-disante « campagne electorale » dont le seul but est d’augmenter leur EGO personel dans leur reve d’etre un jour « presida ». Ils savent TOUS que ce qu’ils sont en train de faire est COMPLETEMENT NUL car les partisans du « Bongoisme » – soit-disants « pede-gistes » – se trouvent A TOUS LES NIVEAUX de l’organisation/ procedure/ avalisation de cette FOURBERIE electorale. Mais, cela ne les empeche pourtant pas de « faire le jeu ».

    De QUI se moque-t’on en fin de compte !?!?

    Da zhaohu,

    Wànshìtong

  12. Mengara, finalement c’est toi qui avait raison! Ces pseudo-opposants ne t’ont pas soutenu quand ta candidature avait été rejeté. Personne n’a levé le petit doigt pour toi! Tu avais bien dit qu’il n’y a qu’une révolution pour mettre ko le système bongoïst! Tous ces opposants, sachant que les dés sont pipés pour le 30 août, ils participent tout de même à la mascarade! Voilà que ton frère Moubamba fait une grève de la faim pour l’honneur et la liberté des gabonais, aucun soutien des autres candidats (à l’exception de certains qui sont allés le rendre visite). Mais aucun soutien de Mamboundou!!!
    Mengara, c’est une bonne chose que tu descendes au pays pour asseoir ton statut et je souhaiterais que tu soutiennes un candidat comme Moubamba qui est un vrai patriote (vous êtes de la même génération) plutôt que d’aller te compromettre avec ces vieux qui ne pensent qu’à eux!!! Ils n’ont pas été solidaires avec Moubamba et toi.

    Cordialement

  13. je voudrais m’engager a la cause etre un menbre a part entiére un menbre actif du bdp gabon nouveau. je suis d’autant plus fier car je partage les memes convictions politique que notre leader .j’attend et dite moi comment puis je etre vraiment utile au mouvement a m’engager pleinement a la cause qui pour moi est honorable .le gabon doit changer lrs dirigeant doivent changer .voila une nouvelle vision du gabon ,le changement arrive .

  14. ns restons mobiliser ,toujour attentif, a la situation. le DR reste le seul espoir a mon avis pour redresser le gabon bonne chance DR mengara ns rstons mobilise pour un gabon nouveau

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