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Communiqué: Le Dr. Daniel Mengara appelle à un « Front Commun » de l’opposition en vue de la revendication de la victoire du peuple par tous les moyens possibles

Depuis Libreville où il se trouve depuis le 25 août, le Dr. Daniel Mengara a appelé, ce lundi 31 août, André Mba Obame  et Pierre Mamboundou à la constitution immédiate d’un « Front Commun » en vue de la revendication de la victoire électorale du peuple. Dans une lettre que les équipes du BDP-Gabon Nouveau livreront aujourd’hui même aux deux leaders de l’opposition, ainsi qu’aux médias, le Dr. Daniel Mengara exhorte les deux candidats à s’entendre sur la victoire et à la revendiquer par tous les moyens possibles.

Ci-dessous le texte de la lettre à distribuer. Prière de faire circuler massivement auprès de tous les états-majors de l’opposition, y compris des deux candidats.

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BONGO DOIT PARTIR
Bureau du Président

OBJET : Appel à un « Front Commun » de l’opposition en vue de la revendication de la victoire du peuple par tous les moyens possibles

A Messieurs André Mba Obame et Pierre Mamboundou

Chers compatriotes,

Au moment où les pédégistes, emmenés par les bongoïstes les plus invétérés, revendiquent déjà la victoire d’Ali Bongo en avançant des chiffres aberrants tel le 53% que Faustin Boubouki ne cesse de balancer depuis dimanche soir, et au moment où le coup d’état électoral que nous craignions tous se profile déjà à l’horizon, il n’y a que dans la contestation directe et indirecte immédiate que le peuple sera rétabli et affirmé dans son vote.

Le danger de cette élection est qu’elle risque d’être jugée relativement transparente par une communauté internationale souvent encline à regarder le simple déroulement du vote comme une indication de la conformité de l’élection avec les principes de transparence attendus. Or, nous savons tous que pour juger du résultat de cette élection bâclée, ce n’est pas en aval qu’il faut regarder, mais en amont.

Autrement dit, pour juger de la fraude dans cette élection, c’est dans les conditions de préparation du scrutin qu’il faut regarder et non ailleurs. Or, de l’aveu même des candidats avant et pendant la campagne électorale, rien dans cette élection ne pouvait garantir sa transparence. Qu’il s’agisse 1) de la transition bâclée actuelle par laquelle Rose Rogombé et Madeleine Mborantsuo ont illégalement suspendu la Constitution pendant 30 jours pour imposer un deuil national dont les Gabonais n’avaient que faire, 2) des délais électoraux ridicules qui font du Gabon le seul pays au monde à se croire capable d’organiser, sans préparation, une élection entière en 45 jours avec à peine deux semaines de campagne, 3) de la non publication du décret de convocation du collège électoral conformément à la loi, 4) du dépassement par la Cour constitutionnelle actuelle de sa durée de mandat, 5) du conflit d’intérêt né du fait que Madeleine Mborantsuo, qui a fait des enfants avec Omar Bongo, soit, en tant que Présidente de la Cour constitutionnelle, juge et partie du processus électoral en siégeant sur le résultat des élections, 6) de l’inégalité d’accès au médias d’état accaparés par Ali Bongo avant et pendant la campagne, 7) du blackout fait sur la campagne des opposants, y compris, par la suite, la suspension des émissions sur TV+, 8) du détournement de 200 milliards d’argent public par la machine PDG dans le financement de la campagne frauduleuse d’Ali Bongo, 9) des listes électorales truquées et fermées trop tôt qui ne reflètent en rien l’électorat gabonais, ou 10) de l’impréparation flagrante des autorités, nous avons en place aujourd’hui au Gabon les ingrédients qui feront la pire élection de toute l’histoire de la République. La conclusion la plus immédiate est donc que le résultat de cette élection ne peut être légitime.

Au vu de ce qui précède, cette élection n’aurait jamais dû se tenir. Elle aurait dû être reportée et l’opposition toute entière aurait dû lutter pour son report pour éviter au pays d’avoir encore à se battre pour la transparence et la démocratie pendant les 40 prochaines années de potentielle monarchie bongoïste au Gabon. Il ne faut donc pas être naïf. Comme l’avaient conclu Pierre Mamboundou et Paul Mba Abessole eux-mêmes en 1998, ce n’est pas par les urnes que la victoire du peuple s’affirmera mais, comme je l’ai toujours pensé, dans la rue. Or, au vu de la capacité de mobilisation de l’opposition actuelle en ce moment propice à la contestation électoraliste, ne pas appeler le peuple à la revendication pacifique de ses droits serait un crime contre le Gabon et son avenir.

Que reste-t-il donc à faire, maintenant que l’opposition, par sa participation, est allée valider un scrutin qui, de l’évidence même de l’histoire électorale de notre pays depuis 1993, ne pouvait être que frauduleux, en plus d’avoir été une élection entièrement bâclée et illégale ? La réponse est simple : organiser immédiatement la contestation la plus massive et la plus nationale de l’histoire de la république en vue de restaurer le peuple dans sa victoire électorale. Etant entendu qu’il n’y a aucun cas de figure dans lequel on pourrait imaginer Ali Bongo, l’homme le plus impopulaire de la république, remportant une élection transparente au Gabon, il faut sans tarder conclure que toute déclaration de victoire de sa part est un hold-up électoral.

N’ayant jamais cru en cette élection que je savais perdue d’avance comme toutes les autres, et ayant toujours cru au report comme la seule manière de donner une chance de naissance et de permanence à la démocratie gabonaise, je propose, néanmoins, la lie bue, que les deux candidats de l’opposition arrivés en tête dans cette élection, c’est-à-dire André Mba Obame et Pierre Mamboundou, se rencontrent immédiatement en vue :

1)    de s’accorder, en toute honnêteté et objectivement, sur les chiffres dont ils disposent tous les deux ;

2)    de déterminer, sur la base de ces chiffres, qui des deux est véritablement en tête ;

3)    et sur cette base, s’accorder sur le désistement de l’un en faveur de l’autre en vue d’une contestation finale qui associerait par la suite, dans le cadre d’un « Front Commun », tous les candidats malheureux de l’opposition qui veulent le changement immédiat. Il ne servira à rien que tous deux revendiquent la victoire en même temps. Cela ne peut servir qu’Ali Bongo.

Cette contestation du « Front Commun » doit, en amont de la proclamation officielle des résultats tronqués de cette élection, s’articuler sur la convocation immédiate, à Rio, ce jeudi 3 septembre 2009 à midi, du peuple gabonais au plus grand meeting politique de toute l’histoire du Gabon.

Ce meeting de Rio, que nous appellerons « Sit-in de la Vérité », aura comme but principal de réunir, en un seul lieu, au moins 100.000 Gabonais, qui s’assembleront sans discontinuer pendant une semaine ou plus jusqu’à :

1)    la reconnaissance immédiate, par Ali Bongo et les bongoïstes, de la victoire du candidat de l’opposition

2)    la confirmation de cette victoire par les institutions idoines.

Au pire, obtenir l’annulation pure et simple de ce scrutin et sa reprise dans des conditions qui en garantiraient vraiment la transparence en amont comme en aval, sous supervision de l’ONU et de l’Union Européenne, et dans le cadre d’une transition de 6 mois à un an qui verrait la mise en place d’une concertation nationale en vue de la démocratisation du pays.

Il s’agit, par ce moyen, d’organiser ce que j’appelle un référendum populaire spontané sur la question électorale actuelle en y associant directement le peuple et les candidats de l’opposition qui pensent que le Gabon ne saurait être la propriété d’une famille. Par ce référendum populaire permanent, par lequel les 100.000 Gabonais resteront assemblés à Rio nuit et jour à partir de jeudi à midi, il s’agira, au travers d’un ultimatum populaire lancé aux autorités, de donner le choix aux trois ennemis du peuple que sont  Ali Bongo, Rose Rogombé et Madeleine Mborantsuo entre accepter immédiatement la démocratie ou être chassés du pays et mis en exil.

Cet ultimatum, plus précisément, s’articulera de la manière suivante : Vu que le « Sit-in de la Vérité » commencerait jeudi dès midi, si, samedi à midi, l’élection n’est pas annulée ou la victoire du peuple non reconnue, les 100.000 Gabonais assemblés à Rio marcheront vers la présidence de la République demander la démission de Rose Rogombé et celle de Madeleine Mborantsuo, avec comme exigence immédiate de les mettre, en compagnie d’Ali Bongo, dans le premier avion en direction de Paris pour un exil temporaire qui durera le temps de la transition que les Gabonais pourront, dès lors, organiser en leur absence sur base démocratique et patriotique. Le trio diabolique pourra revenir au Gabon uniquement une fois la transition mise en place conformément au désir du peuple et Ali Bongo, s’il le veut, pourra alors présenter sa candidature à la présidence de la République, mais dans un contexte non contrôlé par le système bongoïste actuel.

Ce meeting de Rio serait, à ce titre, un sit-in non violent durant lequel l’on demandera au peuple de ne rien casser ni rien brûler, mais d’être tout simplement présent au meeting avec comme seule arme à la main une feuille ou une branche de palmier. Par ce symbole, le peuple montrera au monde entier que ce meeting se veut non seulement pacifique, mais également citoyen car, de par ce rassemblement, le peuple prend enfin sur lui d’affirmer sa souveraineté trop longtemps confisquée.

Fait à Libreville, le lundi 31 août 2009

Dr. Daniel Mengara
Président, BDP-Gabon Nouveau

Ampliations :
– Médias
– Ambassades (USA, France, Afrique du Sud, etc.)
– Candidats à l’élection présidentielle anticipée (Pierre Mamboundou, Paul Mba Abessole, Casimir Oye Mba, Jules Bourdès Ougouliguendé, Jean Eyegue Ndong, Bruno Ben Moubamba, André Mba Obame, etc.).

BONGO DOIT PARTIR (BDP-Gabon Nouveau)
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, New Jersey 07052, USA
Tél/Fax (USA):
(+1) 973-447-9763
Gabon:
(+241) 04-12-33-88 ou (+241) 07-23-39-01

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Exprimez-vous!

  1. MAMBOUNDOU,MBA OBAME ET MENGARA,C’est vraiment une belle équipe..presqu’imbattable! ALI doit pisser dans son gros calesson qui fait deux kilometres!

  2. Ne nous voilons pas la face chers freres! on sait tous que MENGARA est beaucoup plus proche de mba obame que de MAMBOUNDOU..c’est pas une question d’imagination ça se sent et ça se voit.la preuve quand il est rentrer au gabon avant les élections il avait promit soutenir un candidat n’est ce pas? alors pouvez vous me dire pourquoi il ne l’a pas fait? moi je penses que c’est parcequ’il sait que son rapprochement a mba obame aurait été mal interpreté voila pourquoi il n’a rien donner comme consignes..sinon il aurait du soutenir celui qui etait le plus proche du pouvoir c’est a dire Mamboundou.. pourquoi ne l’a til pas fait?? mengara peut il dire pourquoi il n’a pas soutenu MAMBOUNDOU puisqu’aparement c’etait le desir des gabonais!! ou bien pourquoi n’avoir pas soutenu ben moubamba qui est assez proche delui idéologiquement et qui semble le plus neutre dans cette affaire? n’oublions pas que c’est lui meme qui avait dit qu’il viendrait au gabon et donnerait des consignes de vote! donc si certain disent que c’est du tribalisme, je trouve que c’est assez fondé sinon comment expliquer son attitude??? mengara voulais soutenir certainement mba obame ou un autre fang mais comme il a su que cela pauserai probleme il s’est retracté! bref moi je prefere ne plus trop en parler, je pense que la revolution est le seul moyen de nous liberer des bongos comme l’avait deja predit mengara..

  3. je crois que l’heure n’est plus aux injurs entre les perdants que les pdgistes ont eu a tricher mais aux revendications je vous jure chers freres le gabon va mal avec ALI BONGO on est tous perdants s’il vous plait ne laissons pas cet enfant au pouvoir ici a dakar on se bat comme des fous et aujourdhui en passant devant mon ambassade ou je suis allé voir un ami a wakam un quartier de dakar j’ai vu mon abssade brulé et ctai beau a voir cela montré que le gabonais ne voulait pas de ce president et aujourdhui si le gabon est a feu c’est a cause d’ALI donc arretons les disputes ethnique mais allons y tous tuer ALI ET FAMILLE meme PATIENTCE DABANY MBOUMBOU MIYAKOU ANGELIQUE NGOMA MBOURANTCHO NZOUBA ET NDONGOU CE CHIEN LA on ira brulé chez l’ambassadeur du gabon au senegal samedi soir il va voir chiennnnnnnnnnnnnnn que tu es

  4. Je pense qu’il est temps pour les gabonais de se poser une seule et unique question:
    veulent-ils d’ali ben bongo? Si le gabonais qui vit dans les mapanes, l’étudiant qui trime à l’université, le retraité qui a été spolié de sa pension,
    le malade qui ne peut bénéficier de soins de santé corrects, si toutes ces personnes pensent que leur salut passe par ali ben bongo ondimbus, un individu qui a dilapidé l’argent du pays dans des futilités; alors je ne dirais qu’une chose: un peuple a les dirigeants qu’il mérite. Par contre s’il ne veut pas de lui, je pense qu’il est temps que nous lui montrions à lui et aux amoureux de la françafrique, que nous sommes plus déterminés qu’eux. Quels moyens possédons-nous pour montrer notre désapprobation au coup d’état électoral qui vient de se produire? Il y a la cour constitutionnelle mais personnellement je ne vois pas mboratsuo contester la victoire du demi-frere de ses enfants. Personnellement je pense que la contestation doit passer par l’insurrection. Pour ce faire, il faut mettre en place des techniques qui ont fait recette dans le passé. Il faut savoir que lors de toute insurrection, il est primordiale que les insurgés ne concentrent pas l’ensemble de leurs actions au même endroit. Il est préférable de constituer des petits groupes mobiles pour obliger les forces de l’ordre à se disperser. Eviter les affrontements directs avec les représentants de la loi car ils sont armés et nous nous ne le sommes pas. Donc d’après moi je répète, la tactique de destabilisation doit s’appuyer sur des petits groupes mobiles qui devront tout brûler pour que le monde entier voit notre détermination, car seul un homme déterminé est prêt à perdre tout ce qu’il possède pour ses opinions, ses droits et sa liberté.
    J’exhorte donc tous les gabonais qui sont contre ondimbus fils le nimbus à se soulever et à commettre des incivilités par petits groupes, comme par exemple brûler le lycée Leon Mba, brûler le lycée d’Etat, l’université Omar Bongo, l’ENS, RIO, Kinguélé, etc…..si possible simultanément, de cette façon les forces de l’ordre ne pourront pas contenir la rébellion. Pour ceux, nostalgiques, qui pourraient regretter ces endroits,
    je leur dis que de toute façon, ce sera un mal pour un bien car le nouveau président, quelqu’il soit, aura alors l’obligation de réconstruire à la place, des infrastructures dignes de ce nom.

  5. Pitoyable, pitoyable quand je lis tous vos mails. je ne suis pas Gabonais, mais Africain noir qui veut que l’image des Africains changent. Ces problèmes de tribalismes ont crées de nbx problèmes en Afrique et le Gabon est entrain de tomber dans ce piège…
    Tout le peuple sans exception doit faire un bloc contre ce système Bogoîsme qui a duré depuis 41 ans et qui va malheureusement continuer avec ce ABO. Réveillez-vous frères. c’est vous le Gabon, et non un systême composé de rapaces…
    Et quant à cette imbécile qui dit que son mari a gagné, tu ferais mieux de fermer ta grande gueule. Egoîste, tu ne vois pas la misère dans laquelle vit le peuple Gabonais dans sa grande majorité. Tu veux fermer ce site ? fermes-le, mais tu récolteras la douleur de chaque gabonais qui souffre. Egoîste, ça se voit que tu n’as jamais connu la souffrance…

  6. Ah docteur Mengara, je suis partisan de PM mais finalement tu es le SEUL qui avait vu plus loin que tous les autres. Car le Gabon ne peut qu’être libéré par une violente résistance ou une bonne guerre civile. L’ELECTION C’EST FINI.SI MÊME LES PROCES VERBAUX ON LES TRUQUE SANS SIGNATURE DES REPRÉSENTANTS DES OPPOSANTS, C’EST FINI ALORS.
    MAINTENANT IL FAUDRA ATTENDRE DES COURAGEUX. EN CE QUI ME CONCERNE UNE BONNE GUERRE CIVILE. C’EST TOUJOURS COMME CA QUE LES GENS SE LIBÈRENT APRÈS DE LONGS RÈGNES.

  7. je tiens a dire preciser que andre mba obame n’a jamais organiser une election presidentielle. il est devenu ministre d’etat de l’interieur en 2006. Donc arretez la desinformation. lui mm reconnait avoir ete ds le syteme. il s’est mi a genoux devant le peuple. c’est le president qu’il ns faut. on ne veut pas d’un communiste comme mamboundou. on veut qq1 qui qui peut faire avancer le gabon qq1 qui sait ou frapper le systeme pour le detruire. pas d’un candidat qui ne sais meme pas comment fonctionne reellement le pays. Mamboundou ne sera jamais president. on est la on verra

  8. Proposition de bon sens de la part du Dr Daniel Mengara. Comme à
    son habitude,le Président du BDP montre encore une fois qu’il est
    un humaniste,et le demeurera.Il l’a toujours été.
    Ce n’est pas le pouvoir pour le pouvoir qu’il cherche.A la limite
    même,ses propres ambitions s’enterreraient immédiatement pour pré-
    server l’intérêt commun. Le Gabon passe avant notre humaniste.
    Ce qu’il écrit est pleinement justifié dans les faits.Si le pou-
    voir tombait à l’instant même soit entre les mains du gagnant réel
    de l’élection gabonais,soit notre brillant Pierre Mamboudou,soit
    alors à la limite,Pierre Mba Obame:le Gabon n’amorcera-t-il pas im
    médiatement la sortie du tunnel de la monarchisation ? Voilà exac-
    tement ce qui se passera. Alors,que tous ceux qui ne veulent pas
    de la monarchie au Gabon se préparent pour le « sit in » à Rio,la palme à la main. Tous à Rio,immédiatement !!!

  9. Mr ZALANG

    English clavier

    Premierement apprenez a connaitre votre géographie, il existe bien des fangs originaires de l’OGOUE MARITIME, dans la région le lac Anengue, Fernan Vaz. Ensuite faite evoluer votre imagination sociologique en depassant la suceptibilite ethnique. On doit pouvoir discuter au 21 siecle librement sur l’ethnicité sans forcement reagir par actes de barberies, qu’ on dise que les punu sont complices de BOngo, moi qui suis punu je ne reagirais pas de la meme maniere que vous, parce que le monde evolue et nous devons evoluer,.

    Je vous le repete vous pourriez insultez les punu cela ne fera pas de moi un taliban ou que je vous déteste,quand on est grand on doit savoir relativiser et se decomplexer par rapport a son ethnie, je ne suis pas allé l’ecole, Mr ZALANG pour rien.

    Je n’ai pas peur de parler de l’ethnie, si cela doit vous soigner une fois pour toute, eh bien je le ferais encore. Je suis punu mais j’ai beaucoup d’amis fangs, parler des fangs ne veut pas dire connait contre eux.

    Vous n’etes qu’un novice.

    Excusez me french is not my french language.

  10. Quand je lis ce qui précède je crois qu’il faut vraiment plaindre les Gabonais.
    Vous allez maintenant droit dans le mur et je plains vos enfants.
    Pays pillé, ruiné, ressources naturelles pratiquement épuisées, aucun plan alternatif. Et vous allez encore élire un Bongo ou un des sbires de Omar. Triste triste !!

  11. Je me demande où ces zouaves de l’UPG voient que Mengara appelle à soutenir Mba Obame? Cette lettre demande aux deux candidats de s’entendre sur la victoire pour barrer la route à Ali. Mengara n’est pas candidat. Qu’est-ce que son soutien peut changer? C’est aux deux candidats de rejeter leurs égos pour prendre la victoire.

  12. bonjour à tous

    je vait commencer par respectons nous,si vous avez des reproches à faire à un gabonais qu ‘il soit fang ou pas faite le sur la persone, et si vous continuer à manquez de respect à tout les fang vous allez assumez les concequances

    c’est un fang qui a gerer le gabon pendant 41ans? c’est un fang qui est president par interrim et qui n’arrive pas à dir merde à
    ali bongo?

    apprenons a nous respectez en cette pariode,ou tout le monde a les nerfs qui montent, de tout façons vous connaissez les reactions des fangs

    pourquoi quand on vote Mr PM à port-gentil,mayouba,tchibanga et dans d eutres province les fangs ne parlent pas de repli identitaire?

    c’est soit vous voulez le changement pour tout les gabonais ou vous voulez autre chose,bande d’inconcient!!!!!

  13. A Roger,
    C’est étrange que les complices du systèmes ne sont que chez les Fang, c’est surement la seule ethnie qui est complice du PDG …. Je pense qu’il faut arrêter avec çà sinon vous pouvez le payer de votre vie surtout en cette periode. Je sais que tu ne peux tenir de telle langage qu’au net car si tu utilises les mêmes propos dans certains endroits du pays, ta vie ne faudra pas chère.
    Tu dois écouter le discour de Eyeghe à la mort de bongo, pour l’instant, on s’occupe du PDG, son départ du pouvoir et pour longtemps après on verra coment répondre aux antifang et de manière proportionnée. C’est un grand signe, le peuple regarde à la même direction.
    A propos du soutien que tu souhaites que Mangara accorde à Manboumdou, tu peux me dire qui Manboundou a déjà soutenu à part lui même, il n’est même pas allé rendre visite à son petit frère qui faisait une grève de la faim. Vous voulez que des gens soient toujours derrière lui comme des jouets.
    Un Fang

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