Après les dénonciations de détournements de fonds dont la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) fait l’objet, le gouverneur de cette institution, Philibert Andzembé, a confirmé la disparition de 15 milliards de FCFA dans les caisses du bureau parisien de la banque. Lors d’un entretien accordé au quotidien camerounais Cameroon Tribune, le patron de la BEAC dit avoir pris des mesures pour gérer cette nouvelle crise.
Le gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), Philibert Andzembé, vient de confirmer «un écart de trésorerie» de l’ordre de 15 milliards FCFA environ, découvert au 31 décembre 2007 entre les écritures inscrites dans les livres du Bureau extérieur de l’institution à Paris et le relevé bancaire fourni par la banque française Société générale.
Dans un entretien accordé au quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, il affirme avoir pris des mesures conservatoires, qui vont de la saisine des organes de contrôle interne de la Banque centrale à la commission d’un cabinet d’audit français, en passant par des plaintes pénales, des oppositions diverses ou encore le limogeage du responsable du Bureau de Paris.
L’auditeur commis par la BEAC, a découvert «un vaste réseau de détournements de fonds au préjudice de la BEAC utilisant plusieurs procédés, y compris la falsification de relevés bancaires et de chèques», selon M. Andzembé.
Sur le plan pénal, le gouverneur révèle avoir déposé deux plaintes pour détournements et prélèvements frauduleux au préjudice de son institution sur les comptes de la Société générale et de BNP-Paribas.
De même, une enquête préalable est actuellement centralisée auprès de la Brigade de la fraude aux moyens de paiement à la Police judiciaire de Paris, qui a lancé un avis de recherche par Interpol aux fins de procéder à l’audition des principaux mis en cause qui, à en croire le gouverneur de la BEAC, seraient actuellement au Gabon et au Maroc.
La réaction de Philibert Andzembé intervient au lendemain de révélations faites par le journal Jeune Afrique, qui a récemment fait état d’un vaste réseau de détournements de fonds au Bureau extérieur de la BEAC dans la capitale française, au sein duquel celui qui est à la tête de l’institution monétaire depuis juillet 2007 serait au moins un acteur passif.
L’intéressé se défend toutefois de vouloir engager la polémique avec cette publication, préférant se cantonner à un rôle de «transparence dans la gestion de la BEAC».
Cette nouvelle crise jette un discrédit sur la bonne gouvernance de la banque, Philibert Andzembé pourra-t-il dissiper le malaise qui se fait de plus en plus vif au sein des Etats membres?
Le 30 janvier dernier, un sommet extraordinaire des chefs d’Etats de la CEMAC avait été organisé à Libreville, pour statuer sur les placements à risques du gouverneur de la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC), Philibert Andzembé, qui avaient fait perdre plus de 300 milliards de francs CFA à la banque.
Voici le chef de gang de ce détournement, curieusement c’est l’ami intime d’ALI OBI UCHE BONGO présentation: »
Armand Brice Ndzamba, 43 ans, gabonais, comptable du bureau extérieur de Paris de février 1994 à début 2009. Aujourd’hui suspendu, il a discrètement quitté la France en mai 2009 et vit depuis à Libreville. Selon les rapports d’enquête, il serait l’homme clé de l’affaire. Très actif au sein de la section parisienne du Parti démocratique gabonais (PDG) au pouvoir et se présentant comme proche d’Ali Bongo Ondimba, ce Punu marié à une Française était considéré comme un intouchable. Lui seul maîtrisait la comptabilité (et le logiciel comptable) du BEP. L’unité centrale de son ordinateur a d’ailleurs disparu.
Les différents rapports d’enquête l’accusent d’avoir émis près de trois cents chèques frauduleux à la signature contrefaite entre 2004 et 2008 à partir du compte du BEP auprès de l’agence Champs-Élysées de la Société générale, pour un montant global d’un peu plus de 6 millions d’euros. Ces chèques étaient libellés à son nom propre, à celui de son épouse ou au nom de l’une des sociétés dont il était le gérant. En violation des statuts de la Beac qui interdisent à ses agents toute activité commerciale, Ndzamba contrôlait en effet une demi-douzaine de sociétés (Ruby Car, Ruby Export, Ruby Phone, Ruby Gestion, etc.) qui étaient devenues peu à peu des fournisseurs prioritaires de la Beac.
Une activité qui lui a permis d’investir au Gabon dans un projet immobilier
Dites encore que le coup n’a pas été préparé longtemps avant la mort du patriarche.
Conclusion: le clan » bongo et pédé-gistes » vole l’argent de la BEAC pour percher un » NDJOU NDJOU KALABA » au pouvoir et c’est les pauvres contribuables Gabonais qui vont supporter le reboursemment de cette dette.
Et le gars comptait aller se pointer à la tribune de l’ONU pour présenter ses lock’s: A dire vrai le gabon va mal.
Voici les preuves qui accablent la mafia gabonaise du clan » bongo et pédé-gistes « qui vient de piller la BEAC pour préparer et tricher aux elections du 30 août derniers:
Philibert Andzembé a intégré la BEAC en 1999 –, il a eu la lourde tâche de succéder à son compatriote Jean-Félix Mamalepot, homme fort de l’institution pendant dix-sept ans. Comme lui, il est né à Lekei dans la province du Haut-Ogooué, d’où est natif le président de la République Omar Bongo Ondimba…
dés son arrivé au sein de l’institution, les actionnaires majoritaires ont présentis une frappe de la mafia « bongoiste » d’où cette réaction:Le gouverneur, élu à l’unanimité pour un mandat de cinq ans, est également confronté à l’hostilité du Tchad et de la Guinée équatoriale. Dès le départ, la délégation tchadienne pointe son manque d’expérience, rejointe par la Guinée équatoriale, qui avait déjà mené campagne pour faire tomber Jean-Félix Mamalepot. Ambitieuse, regorgeant de dollars, la nouvelle puissance pétrolière de la sous-région demande que le poste de gouverneur, réservé à un Gabonais, tourne entre les six États de la Cemac. Une revendication que le pays juge légitime puisqu’il alimente 50 % des avoirs en devises centralisés par la BEAC et considère que son argent est très mal géré aujourd’hui. Sans chance de succès, la Guinée équatoriale et le Tchad ont demandé au Gabon de rembourser à la BEAC les pertes du placement auprès de la Société générale. Histoire de maintenir la pression…
Tout ceux qui détournent de fond publique mérite la corde au coût,je suis de coeur avec le gouvernement chinois qui exécute publiquement qui conque détourne l’argent du pays. on ne parlerai pas de la barbarie si tous ces voleurs passés a la corde. Nous avons une cinquantaines d’individus qui sont passible a la peine capitale pour avoir détourner l’argent du pays et a appauvris tout une population qui meure nuit et jour a cause de manque des vraies structure sanitaire et par manque de quoi se nourrir. Le mariage n’est plus une institution sainte et respectable puis ce que certain couple font de compromis pour joindre le deux bout du moi en ces livrant a la prostitution,homme et femme marié légalement,la liste d’exemple est longue,a cause des ces salopards sans vergogne et sans coeur qui dilapide l’argent de contribuable.