Le collectif des candidats malheureux à la présidentielle, mené par l’ex-ministre gabonais de l’intérieur André Mba Obame, a annoncé jeudi à Libreville qu’il allait saisir Human Rigths Watch (HRW) et Amnesty International pour faire la lumière sur la mort des personnes survenue à Port-Gentil, la capitale économique du Gabon au lendemain des troubles ayant suivi la proclamation du scrutin présidentiel.
’Devant la gravité des faits signalés à Port-Gentil (…), il est vérifié que le gouvernement ne dit pas la vérité, nous allons saisir les ONG internationales telles que Human Rigths Watch, Amnesty international, ainsi que la Cour pénale internationale pour que les coupables et leurs commanditaires répondent de leur crime’’, a déclaré ce collectif dans une déclaration lue par son porte-parole, Jean Eyéghé Ndong, ancien Premier ministre.
Dans un rapport rendu public jeudi, les opposants dénoncent de nombreuses ’’tueries’’et des ’’exactions’’, commises, selon elle, sur les populations dans la cité pétrolière du pays par les forces de sécurité et de défense.
Le rapport d’une dizaine de pages dénonce aussi l’usage des balles réelles utilisées par des militaires et policiers.
Mi-septembre, Pierre André Kombila, un opposant ayant soutenu la candidature de Pierre Mamboundou, par ailleurs médecin de formation, avait avancé le chiffre de 15 morts.
Un bilan établi, selon lui, sur la base des informations recueillies auprès des personnels soignants des hôpitaux de Port-Gentil.
Officiellement, selon le gouvernement, les émeutes dans cette deuxième ville du pays ont fait trois morts. Le ministre de l’Intérieur, chargé de la Défense Jean François Ndongou avait affirmé qu’aucune de ces trois personnes n’avait été tuée par balle tirée d’une arme militaire.
Le gouvernement s’était dit favorable à une enquête internationale afin d’établir les responsabilités dans ces violences.
Au total, 311 personnes avaient été arrêtées dans le cadre des violences post-électorales dans la capitale pétrolière du Gabon. Près de 60 personnes ont comparu la semaine dernière devant le tribunal de Port-Gentil, et 42 ont été relaxées.
ali bongo est un criminel pire que sont pere,après son coup d’état electoral il a assassiné des gabonais a port gentil mais rien n’est fini il sera poursuivi en justice international,nous savons qu’il est soutenu par la france c’est elle qui lui dit de tuer les gabonais pour qu’elle s’empare de son petrol,mais le DIEU tout puisssant va bientot rendre justice et ali sera decapité par les vrais Gabonais,nous savons qu’il est biafrai du nigeria,et que p dabany est stérile,nous voulons que DIEU ecarte ali du gabon,la france ne va pas accepté que la justice international face sont travail