Gros coup de filet pour la marine gabonaise qui a arraisonné dans la soirée du 17 octobre dernier au Cap Estérias un bateau transportant plus de 200 immigrés clandestins qui tentaient de rallier Libreville nuitamment. En attendant la fin du contrôle des papiers des passagers, le bateau a été immobilisé au large et sera reconduit à la frontière des eaux territoriales gabonaises avec ceux dont la clandestinité aura été avérée.
Au large du Cap Estérias, à une quarantaine de kilomètres au Nord de Libreville, la marine gabonaise a intercepté dans la soirée du 17 octobre dernier un bateau en provenance d’Afrique de l’Ouest transportant plus de 200 passagers, qui seraient vraisemblablement des clandestins cherchant à rallier la capitale gabonaise.
En provenance présumée du Bénin, le bateau s’est révélé en situation irrégulière au terme du contrôle effectué par la marine gabonaise. «Les papiers du bateau ne sont pas en règle. Son propriétaire a affirmé être affrété par une tierce personne et ne pas connaître les gens à bord», explique le porte-parole du ministère de la Défense nationale, affirmant que les passagers seraient majoritairement des Béninois, des Togolais et des Ghanéens.
«C’est très grave. On ne peut pas transporter plus de 200 personnes comme cela, sans rien, sans papiers. Une enquête est en cours. C’est un réseau de trafic de clandestins qu’il faut démanteler. L’affréteur ne voyage pas avec le bateau», a-t-il ajouté.
L’embarcation a été immobilisée en mer sous le contrôle des forces de l’ordre gabonaises, le temps que la Police de l’Air et des Frontières (PAF) achève l’identification des passagers, afin que ceux qui disposent de papiers en règle puissent débarquer sans ennuis.
Ceux dont la clandestinité sera avérée devront rester à bord et le bateau devrait ensuite être reconduit à la limite des eaux territoriales gabonaises et refoulé du territoire national.
De nombreux personnes d’Afrique de l’Ouest tente de rejoindre le Gabon, réputée comme un Eldorado pétrolier dans la sous région d’Afrique centrale, pour venir y travailler. Chaque année, la Direction de la documentation et de l’immigration (DGDI) organise d’importantes campagnes de contrôles pour identifier les clandestins et les raccompagner à la frontière.
il y as de la misere autour de chacun , encore faut il ouvrir les yeux , les gabonnais ne savent que chercher l’argent facile , mendier , et dire c’est pas de leurs faute , feignants , betes et lache toujours pret a vendre leurs filles pour rester le cul sur la chaise a siroter la regab!!
voilà d’autres ali bongo qui viennent chaque jour tenter de prendre les miettes que la famille bongo a laissé et demain ce qui réussiront à obtenir des faux papiers voteront leurs fréres qui feront la politique. la vache !
Et demain ces immigrés clandestins diront qu’ils sont venus au Gabon porter secours au peuple gabonais parce que les gabonais sont fainéants. Aucun étranger ne vient au Gabon pour chercher fortune, il ne vient que pour assister les GABONAIS même lorqu’il vient en « clando ». Pauvre gabonais!!!