Le secrétaire d’État à la Coopération a été, vendredi, le premier représentant étranger reçu par le nouveau président du Gabon, Ali Bongo, dans l’ancien bureau de son père. «Tu me vois dans le bureau qu’occupait mon père. Je me sens impressionné par l’importance de mes responsabilités», lui a dit Ali, la larme à l’œil. «Il n’y a pas de fatalité. Tu es le fils de ton père, mais tu peux aussi être plus juste, et résoudre le problème de redistribution des richesses qu’il y a dans ce pays», lui a répondu Joyandet.
Dommage que la France marque nettement sa préférence pour un cancre! Son candidat, Ali, n’a aucune référence universitaire, aucun mérite académique, contriarement au titre de docteur qu’on veut lui affubler. C’est juste parce qu’il est supposément le fils à son père. Pour garantir ses intérêt, donc sa main mise sur le Gabon, la France a besoin de cet »ami de Giscard » comme Ali lui-même l’a si bien chanté dans les années 1977-1978.
si joyandet a tenu ces propos, c’est de l’antiphrase pure et simple ils ne peuvent pas l’avoir soutenu pour qu’il redistribue les richesses au gabonais, si tel était le cas, d’autres candidats pouvais le faire. en lisant entre les lignes vous découvrirez la subtilité avec laquelle il enjoint le nouveau président de continuer l’oeuvre de son père ,pillé de manière insidueux « ce pays ». « tu es le fils de ton père.mais tu peux aussi etre plus juste (…) qu’il ya dans ce pays » dédain,avidité et condescendance vernis par le tact de son discours
c’est le pouvoir qu’il est aller remettre à ali en lui sodomisant.maintenant la france est sûr de diriger le gabon à nouveau. la vache.