Une délégation de la Société d’eau et d’électricité du Gabon (SEEG) a été reçue le 20 novembre dernier à Port-Gentil par le maire, André Jules Ndjambé, qui leur a exposé ses doléances quant à l’amélioration des services de la société dans la capitale économique. Le maire de Port-Gentil a notamment évoqué les fréquents délestages, le nombre insuffisant de points de vente, ou encore les capacités de la SEEG face aux perspectives de développement de la cité pétrolière.
La Société d’eau et d’électricité du Gabon (SEEG) pourra-t-elle supporter les nouveaux besoins de la capitale économique, alors qu’elle ne parvient toujours pas a assurer un service stable à Port-Gentil ? Face à cette situation, l’édile de la cité pétrolière, André Jules Ndjambé, a reçu le 20 novembre dernier une délégation de la SEEG, conduite par son président directeur général, François Ombanda, pour faire le point sur les insuffisances constatées de l’offre de services de cette société.
Le maire a évoqué les nombreuses coupures d’électricité dans la ville, qui s’accompagnent la plupart du temps des coupures d’eau. Ce problème récurrent à Port-Gentil et dans d’autres villes du pays entravent le bon déroulement de l’activité socio économique, et donc la création de richesses.
Le maire de Port-Gentil a également évoqué les longues files d’attente que l’on constate notamment pour l’achat des unités des compteurs EDAN. A cet effet, l’édile a recommandé la sensibilisation des populations à l’évaluation et la gestion de la consommation électrique afin que ceux-ci puissent se rendre dans les points de vente qu’une fois par mois.
André Jules Ndjambé a aussi abordé le problème de la salinité de l’eau de la SEEG qui augmente singulièrement au cours des mois d’août, septembre et octobre.
Le maire de la commune a enfin demandé à son hôte si la SEEG pourra répondre aux nouvelles demandes qui interviendront dans le cadre du développement de la cité pétrolière, notamment le réaménagement de certains quartiers, l’ouverture prochaine de la zone franche de l’Île Mandji, ou encore la mise en place d’un pôle universitaire.
Ces préoccupations n’ont pas semblé troubler monsieur Ombanda, qui a notamment assuré que la SEEG était en train d’améliorer son approvisionnement en gaz afin de remédier aux manquements constatés. L’entreprise a prévu un investissement de 600 milliards de francs CFA sur trois ans pour moderniser ses installations et répondre efficacement à la demande d’énergie au Gabon, en hausse de 8% par an.
Concernant la disponibilité des points de vente, le directeur général de la SEEG a expliqué que suite à la réussite du programme de multiplication des points de vente à Libreville, la même opération serait mise en oeuvre à Port-Gentil dès décembre prochain, avec l’installation de deux points de revente aux quartiers «Banco» et «La Balise».
La délégation de la SEEG a enfin expliqué qu’elle prospectait dans d’autres procédés, notamment des forages, pour améliorer l’offre en eau pendant les périodes de la remontée des eaux salées qui perturbe la qualité des eaux pompées dans la zone de «Mandorové».
LA SEEG EST L UNE DES SOCIETE QUI TUE A PETIT FEUX LES GABONAIS COMMENT COMPRENDRE QU AU GABON IL SOIT IMPOSSIBLE D AVOIR DEUX SOCIETE COMME LA SEEG OU ENCORE DONNER LA GESTION DE L EAUX A UNE AUTRE ET COURENT AUSSI A UNE AUTRE SOCIETE LA POLITIQUE EN AFRIQUE NE FAIT QUE DU DEGAT ET LA FRANCE DANS TOUT CECI NE FAIT QUE CONTINUER SONT PILLAGE DES PAYS AFRICAIN EN COMPLICITE AVEC LES HOMME QUIL MES A LA TETE DE NOS PAUVRE PAYS J AI HONTE D ETRE GABONAIS