Cher(e) « Critique SUBJECTIVE »,, ho ! pardon! Critique Objective (soi-disant).
Je pense, et il n’y a aucun doute dessus, que vous n’avez pas véritablement compris le fond de l’intervention de Mr Ndjimba José ; ce qui n’est pas étonnant du reste, vous êtes assurément étranger(e) vous-même.
Sans vouloir revenir sur ce qui a été clairement exprimé par NJ, je vous renvoie à une relecture plus intelligente de son post, si tant est que vous en ayez la capacité.
La question de la déviance ou de la dégradation des mœurs dénoncée n’est pas propre au Gabon. Nul ne prétend non plus qu’elle n’engage que des étrangers. Elle est présente sous tous les cieux; pas plus au Gabon qu’ailleurs; cependant, ce qu’on dénonce ici, c’est le fait que la dégradation des mœurs ainsi que tous les phénomènes qui l’accompagne (viol, grossesses précoces, prostitution…) aient très curieusement émergé et pris de l’ampleur à des proportions gravissimes avec l’arrivée des ouest africains, des congolais et autres immigrés sur le sol gabonais.
Avant votre arrivée, nos villages, villes et quartiers étaient plutôt des havres de paix où il faisait bon vivre. On pouvait aller où l’on veut à n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit. Nous vaquions paisiblement à nos différentes occupations. Puis vint l’époque des terribles cool mondjers, des viols, des braquages à la sauvette ou à main armée. Qui peut exonérer les étrangers de ces phénomènes sociaux ?
Sur le problème spécifique des mœurs, je sais par expérience que vous pouvez séjourner facilement 1 an au Mali, au Niger ou au Sénégal sans voir, même de loin, a fortiori de près, la cuisse d’une femme; mais au Gabon, on n’a pas besoin d’avoir fait. Pourtant ce n’était pas cela avant que bongomar ne fasse venir des contingents d’étrangers chez nous. Ce n’est pas non plus le seul fait de la misère ; autrement, c’est nous l’immigration aurait pris un axe contraire ; c-à-d, c’est qui nous serions déplacés vers vos pays.
Il ne fait aucun doute qu’il y a eu et il y a encore ceux qu’on pourrait qualifier de « bons étrangers ». Ceux qui respectent nos valeurs, nos us et coutumes, notre culture, tout en faisant preuve de respect, de retenue et de responsabilité. Ceux là malheureusement ne sont pas bien nombreux et sont noyés par la masse de crapules, corrupteurs et autres intrigants.
Si pour des raisons évoquées plus haut, vous voulez fermer les yeux dessus et rejeter toute la responsabilité sur l’incapacité supposée, donc non avérée des gabonais, vous n’y êtes pas du tout. Faites un tour à la mairie pour assister à la procédure de délivrance des n° de taxi, vous serez édifiés. Ce sont des togolais et béninois qui servent d’intermédiaires pour obtenir le fameux sésame. De même, allez au Trésor public, vous trouverez toujours soit un sénégalais soit un béninois qui puisse vous avoir en quelques heures, moyennant de fortes sommes d’argent, les visas tant convoités auprès des différentes directions et même faire aboutir très rapidement votre dossier, quel qu’il soit. Allez-y au port ou à l’aéroport pour sortir votre marchandise de la douane, c’est encore des camerounais, congolais et autres. Vous voulez acheter du sable, ce sont toujours des sénégalais incapables de placer deux mots français qui vous le fournissent. Ne parlons même pas des marchés ou du secteur de la vente, ce sont encore des béninoises, des camerounaises, togolaises sénégalais nigérians qui vous vendent avec arrogance des produits de contrefaçon et de la pacotille. Tiens à la gare routière par exemple combien de gabonais trouve-t-on propriétaires d’un comptoir de vente de livres d’occasion (dont ceux issus du vol ou de l’incitation au vol)? Que nenni! Partout où vous irez, c’est la même réalité. Avec la bénédiction du ventripotent biaffrais aliben, un malien a même eu l’audace de s’arroger tout un quartier et une voie dite publique de la campagne, reléguant les riverains dans les bas-fonds. En face de l’ancien hôtel Dialogue, c’est le fils d’obiang nguema qui a construit des immeubles ; le grand pavé de bâtiment laid, du reste inachevé, en face des box de St Michel appartient encore à un ouest africain. Mais bref, je ne vous apprends rien puisque comme je l’ai dit plus haut, vous êtes vous-même incontestablement un maillon fort de ce système.
Aujourd’hui, il n’y a pas de honte ni de gêne à dire et dénoncer haut et fort que le gabonais n’a plus de place nulle part chez lui ! Ce n’est pas l’expression d’un mépris pour les autres, ni de la xénophobie et moins encore une quelconque forme malsaine de chauvinisme. C’est tout simplement l’expression d’un malaise, un étouffement ressenti de plus en plus fort par la majorité des gabonais VRAIS. Nous sommes véritablement envahis par vous; pourtant autant lorsqu’on analyse et on observe le fond des choses, le niveau d’intelligence du gabonais est un cran au dessus de celui de ses voisins. Dans quel autre pays d’Afrique et même du monde a-t-on vu ça?
Hé bien parlons-en des petits métiers que l’on prétend à tort que les gabonais rechignent. La cordonnerie, la maçonnerie, le travail du bois comme la vulcanisation, là encore, il se trouve que ce sont des secteurs saturés par les mêmes parasites. Pourtant ce n’est pas faute d’essayer. Pour illustration, le LTNOB forme des jeunes à ces petits métiers. De même il y a ceux nombreux volontaires qui apprennent dans le tas mais très souvent ne trouvent d’opportunités parce que vous autres avez déjà tout pris tout envahi comme des bandes de mange-mil, des sauterelles ou des vautours, des PARASITES !
Vous avez ourdi un VERITABLE COMPLOT CONTRE ET AUTOUR DE NOUS autres et le peu que nous pouvons gagner dans l’administration, vous venez encore nous le soutirer avec mille et un subterfuges. Il n’est qu’à voir le long des rues et les abords des feux rouges, si ce n’est pas un vieux gourou d’apparence famélique à la longue barbe blanche qui mendie (on se demande d’ailleurs comment des individus pareil ont pu survivre au voyage, que l’on dit long et terrible), c’est des de bons gaillards et gaillardes qui viennent vous proposer à l’informel des produit dont on ne sait comment ils sont sortis du port douanier. Devant les CKDO, à Mbolo, à l’aéroport, les box, galeries, étales et même les stations service sont tous aux mains des ouest africains. Comment ont-ils réussi à s’installer de cette façon sans la complicités des salopards comme les bongo ? C’est chose impossible !
Partez volontairement chez vous! Allez y vivre et on verra comment les secteurs que vous aurez délaissés vont tomber sans plus se relever. A la vérité, c’est une utopie une chose quasi irréaliste SAUF… puisque vous ne pouvez plus vous passer de notre pays et plus on aura des salauds comme ali bongo le biaffrais à la tête de ce pays, plus il y aura du bordel, du marasme et plus ça arrangera vos affaires pas vrai?
Alors si vous voulez vous voiler la face pour avoir bonne conscience et tenter de tromper voir distraire le monde par vos arguties ou propos volontairement spécieux, je confirme moi aussi QU’IL Y A EU EFFECTIVEMENT DES DRAMES (pas sûr que vous compreniez le sens de ce mot) et NON DES MOINDRES, VECUES AVEC LA DOULEUR QU’ON PEUT IMAGINER, PAR LA FAUTE DES OUEST AFRICAINS, DES CONGOLAIS NIGERIANS, GHANEENS DANS DES MILLIERS DE FAMILLES GABONAISES. Ce qui en aucun cas n’exclut l’implication des gabonais de souche. Alors, avant de vous exprimer dans des forums, VOUS FEREZ MIEUX, PRENDREZ SOIN DE BIEN COMPRENDRE LE FOND DES CHOSES. MAIS JE DOUTE QU’UN ETRANGER DE VOTRE ESPECE SOIT AUJOURD’HUI CAPABLE DE RECONNAITRE LE TORT QUE SA PRESENCE A CAUSE ET CAUSE ENCORE AU GABON. Parce que C’EST FRANCHEMENT AHURISSANT QU’UN INDIVIDU ENTRE FRAUDULEUSEMENT SUR NOTRE TERRITOIRE PARVIENNE A NOUS REVENDRE QUELQUES MOIS APRES NOTRE PROPRE SABLE; UN PRODUIT NATUREL DE NOTRE PAYS. Comment a-t-il fait pour s’en approprier? Qu’une togolaise ou une béninoise vienne nous revendre la banane et l’arachide plantées dans nos villages. Le comble est que non seulement vous nous revendez à des prix fous nos propres produits obtenus pourtant avec des miettes, mais encore, vous prenez notre argent et VOUS NOUS MEPRISEZ EN DISANT A QUI VEUT L’ENTENDRE QUE NOUS NE SAVONS RIEN FAIRE ! Langage tenu aussi en coulisse par la majorité des blancs, en tête desquels les français, alors qu’ils pillent nos ressources industrielles depuis des siècles pour développer et faire le bonheur de leurs pays respectifs ; les chinois compris.
J’ai eu l’opportunité de faire mes études avec des ouest africains et des congolais, jamais aucun n’a été devant moi et je sais que mon cas n’est pas isolé. J’ai été intervenir dans nombre de ces pays, et j’ai vu en direct la bêtise et l’abrutissement au naturel. Quelle alchimie peut donc expliquer qu’on en vienne à nous berner, flouer et narguer de la sorte dans notre propre pays??? LA REPONSE EST SIMPLE. DES CONNARDS COMME ALIBEN LE BIAFFRIAIS OU SONT DEFUNT PERE ADOPTIF BONGOMAR AVEC L’APPUI DE LA FRANCE ONT OURDI UN VERITABLE COMPLOT MACHIAVELIQUE CONTRE LE PEUPLE GABONAIS. Mais cela va s’arrêter car nous vouons une haine féroce et éternelle à ces gens là. Les étrangers n’ont donc qu’à bien se tenir en attendant le vent dévastateur du changement.
Trêve donc d’arrogance cher « machin subjectif »!
source : Ali7
Si vous le permettez, je souhaiterai ajouter que l’on a pas besoin d’injurier quiconque pour manifester notre mécontentement.Je pense que ce sentiment de révolte et de déception est largement partagé par les gabonais mais il ne sert à rien de nous lancer dans des propos ambigues que nous ne pouvons assumer (car on se cache derrière l’anonymat). L’injure n’étant pas constructive, ne traitons pas non plus les étrangers de parasites car je ne vois pas en quoi le gabonais vaut mieux qu’un autre être humain. Nous qui sommes à l’étranger, nous voyons combien il est difficile d’être dans le pays d’autrui (loin de nos familles, de notre culture) parce que nous venons chercher le savoir que notre pays est incapable de nous fournir. Celui qui vient au Gabon chercher de quoi nourrir sa famille (surtout les ouest af) n’est pas à traiter comme ça, désolée. Vous ne méritez vraiment pas d’être gabonais.Et si je vous disais que vous êtes vous même des enfants d’étrangers? Réfléchissez plutôt sur une politique d’immigration au lieu de faire tourner vos cerveaux au ralenti et raconter n’importe quoi. Heureusement que tous les gabonais ne sont pas si limités.
Bon article certes mais un peu limité.Mon ami et frère Le Patriote, il n’y a pas que les ouest af qui travaillent chez nous et investissent dans leur pays d’origine! Que faites-vous des français, ou pire encore, des libanais qui portent jusqu’à nos noms de familles pour faciliter l’ouverture de leurs commerces. Ceux-ci ne sont pas adoptés par des makaya mais par des personnes qui, rien que par leurs noms, leur confère l’immunité? Le pb est entier et mérite effectivement que l’on se penche là-dessus. A nos cerveaux!
Un beau ramassis de haine et de merde que cet article !
RIEN A AJOUTER…
TOUT GABONAIS SOUCIEUX DE L’AVENIR DE CE PAYS DOIT LIRE CET ARTICLE TRES EDIFIANT ET L’IMPRIMER, LE FAIRE LIRE A SON ENTOURAGE, CAR TOUT LE MAL QUI MINE CE PAYS EST FORTEMENT DECRIT: UN PAYS ENVAHIT PAR DES PARASITES ET AUTRES ESPECES…DU JAMAIS VU!!!
BRAVO CHER COMPATRIOTE…
Cet article en dit dout sur le mal qui gangraine notre pays.
Notre pays est tenu est tenu par les étrangers, et il n’y qu’au
GABON et nulle part au monde pour voir cette malheureuse réalité.
La question que nous gabonais devrions nous poser est:
QUE DEVRIONS NOUS FAIRE POUR ARRETER CETTE EVASION ????
Si nous ne réagissons pas rapidement, j’ai peur qu’un jour nous
soyons expulsé de notre propre pays.
Tous ces ouest africains qui ramassent l’argent chez nous n’investissent que dans leurs pays ou ils possèdent de véritables richesses.
Ilest temps que nous réagissons rapidement, les politiques gabonais s’ils en existent ne le feront jamais.
On trouve ces memes étrangers à la tete et eux hautes fonctions de l’état.
Combien de temps alons nous faire sodo……é encore???
Trop c trop merde.
Très pertinent, cet article! Bravo!