Pétro Gabon, leader national de la distribution du gaz butane et second de la distribution des produits pétroliers, devrait faire son entrée sur le marché boursier sous régional dès le 31 janvier prochain, avec un emprunt obligataire de 7 milliards de francs CFA à 6% et 6,5% sur 7 ans. Cette opération doit permettre à la société de financer les investissements de sa politique d’expansion.
La troisième entrée privée à la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) devrait concerner le distributeur gabonais de produits pétroliers, Pétro Gabon, avec un emprunt obligataire de 7 milliards de francs CFA aux taux de 6% et 6,5% sur 7 ans.
Cet emprunt devrait être lancé dès le 31 janvier prochain, en partenariat avec la BGFI Bourse qui s’occupera de la structuration de l’opération en qualité d’intermédiaire souscripteur.
La mission de préparation a d’ores et déjà été réalisée au sein de la société gabonaise, dont le rapport de synthèse a été remis la semaine dernière par l’administrateur délégué de la BVMAC, Claude Ayo Iguendha, au président directeur général de Pétro Gabon, Jean Baptiste Bikalou. Ce dernier l’a transmis au directeur général de la BGFI Bourse pour la structuration avant le lancement de l’opération.
Cet emprunt obligataire doit permettre au leader national de la distribution de gaz butane et second distributeur de produits pétroliers dans le pays, de disposer des liquidités suffisantes pour financer les investissements relatifs à sa politique d’expansion.
La BVMAC réalisera donc ainsi sa troisième entrée privée sur le marché boursier sous régional. Après l’emprunt obligataire de 100 milliards de FCFA lancé par l’Etat gabonais en août 2008 pour le lancement de la BVMAC, le distributeur Prix Import, puis la Société financière internationale (SFI) étaient entrés sur le marché boursier sous régional avec des emprunts obligataires de respectivement 400 millions de FCFA et 20 milliards de FCFA.
L’arrivée de ces sociétés privées sur le marché sous régional devrait permettre de booster leur politique de développement et donc de constituer un effet de levier sur la croissance socio économique dans la sous région d’Afrique centrale.
voila du copinage en col blancs!!