spot_imgspot_img

Condamner AREVA pour sa responsabilité professionnelle dans la pollution des espaces et des ‘biens’ naturels à Mounana par bhenen

Il est impensable que les dérapages de Mounana soient traités sérieusement. Le pouvoir destructeur gabonais joue avec le temps, comme toujours, pour endormir le Peuple quant aux révélations qui on été faites sur les dégâts suites à l’exploitation de l’uranium dans cette ville. Pour soulager ces populations endeuillées et malades, il faut engager immédiatement des actes sur le plan sanitaire ET sur le plan administratif et judiciaire:

Pour ce qui concerne l’urgence sanitaire:

* Suivi médical : Prise en charge immédiate des malades aux frais d’AREVA et/ou de l’Etat (la maladie n’attend pas d’hypothétiques dénouements et les malades souffrent présentement le martyr).

* Suivi hygiénique : Trouver impérativement une solution pour les femmes de Mounana ( et leur famille ) qui disent, selon leurs mots, être dans ‘l’accablance’ par rapport aux rivières contaminées ou ‘séjournent leurs tubercules de manioc. Car, il faut bien que ces personnes aussi mangent des aliments sains.

* Suivi urbaniste : Evacuer les populations concernées des habitations radiotoxiques et détruire ces maisons tout en Scellant les espaces contaminés.

* dépollution des rivières en retirant les déchets qui s’y trouvent ou en déviant les cours d’eau depuis les niveaux non contaminés de leurs sources.

Pour ce qui concerne l’urgence administrative et judiciaire:

* Condamner AREVA pour sa responsabilité professionnelle dans la pollution des espaces et des ‘biens’ naturels à Mounana (EAUX, FORETS, SOL…) : c’est à dire les préjudices ECOLOGIQUES graves recensés dans cette commune.

* Frapper AREVA d’une indemnisation financière à verser aux victimes, et familles des victimes décédées, suite à leurs expositions entretenues et prolongées à la toxicité de l’uranium.

Il y’a urgence pour les malades. Il faut des actes et non d’éternelles préoccupations qui durent plus de trente ans. A Mounana, Areva a commis des délits graves et des crimes. Il n’appartient pas aux associations de traiter ces méfaits qui tombent explicitement dans le domaine du judiciaire. Car il y’a mort d’hommes et empoisonnement de l’espace vital en connaissance de cause. L’écologie ne doit pas rester, non plus, un terme à la mode…

              source: bhenen

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES