Le président de l’Union Nationale (UN, opposition), Zacharie Myboto, au sortir de la rencontre qui a réuni mercredi, dans un hôtel de Libreville, le Chef de l’Etat Français, Nicolas Sarkozy, et les formations politiques de l’opposition, a déclaré à GABONEWS que « la pratique démocratique » au Gabon a figuré en bonne place dans leurs échanges.
« Cela a été des échanges très fructueux et nous en sortons absolument ravis. Nous nous sommes parlés très franchement, et cela a été une très bonne rencontre», a déclaré M. Myboto en compagnie notamment de Jean Eyeghé Ndong, ancien premier ministre, autre membre de l’UN.
Synthétisant le contenu de cette entrevue avec le numéro un français, le président de l’UN rapporte qu’elle a porté « sur un certain nombre de situations, de problèmes, de la transparence électorale, et les libertés publiques notamment ».
A la question de savoir si la création récente de l’UN, présentée par ses fondateurs comme le « grand parti de l’opposition », avait bénéficié d’une tribune particulière, Zacharie Myboto de déclarer : « Je pense que ce parti ne peut avoir que l’assentiment des uns et des autres. Mais nous n’avons pas parlé de cela particulièrement ».
« Nous avons parlé plutôt des problèmes globaux qui concernent évidemment la pratique démocratique et tout cela », a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, cette rencontre a donné l’occasion aux membres de l’opposition gabonaise de remettre au Président Français un mémorandum signé entre autre par Zacharie Myboto et André Mba Obame pour l’UN, Louis Gaston Mayila, leader de l’Union Pour la Nouvelle République (UPNR) et Jules Aristide Bourdes Ogouliguendé, du Congrès pour le Développement et la Justice (CDJ).
Dans le mémorandum rendu public à l’issue de cette rencontre, l’opposition « réaffirme qu’il est urgent d’engager, de manière responsable, des réformes, en vue du renforcement de la démocratie et de l’Etat de droit, gage de stabilité et de paix durable ».
A ce niveau, l’opposition gabonaise rappelle que les réformes exigées concernent:
«La transparence électorale de même que les libertés publiques, notamment en ce qui concernent:
– Le recentrage des compétences de la Cour constitutionnelle en matière électorale
– Le retour au scrutin à deux tours pour les élections uninominales
– La mise à plat du fichier électoral
– L’introduction de la biométrie dans le fichier électoral,
– La Réforme de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP)
– Le statut des dirigeants des syndicats et des dirigeants des partis politiques
– L’accès égal des partis politiques dans les médias», entre autres.
La même opposition qui n’a toujours d’ailleurs pas reconnu l’élection d’Ali Bongo Ondimba a profité de la visite de Sarkozy pour noter que «la situation actuelle, la visite officielle de l’Etat français au Gabon » a qui fait suite à « plusieurs rencontres à Paris avec le président gabonais au cours de ces six derniers mois, pourrait uniquement ressembler à un adoubement officiel si elle ne participe pas à la recherche impérieuse d’une sortie de crise ».
Cet entretien, prolongé, de M. Sarkozy avec l’opposition gabonaise est intervenu peu de temps après sa rencontre avec la communauté française de Libreville.
Rencontre des (H)UN et du Grand Chef Gaulois – Retrospective
Les faits:
– les responsables de HUIT (8) partis politiques avaient DECIDES – comme nous le savons – de recontrer, dans un hotel de la place, peu de temps apres son entretien avec la communaute francaise de Libreville, le president francais, Nicolas Sarkozy, lors de son detour a Libreville, le mercredi 24 fevrier 2010.
– cettre rencontre portait selon Zacharie Myboto – president de l’UN, l’un de ces partis: « sur un certain nombre de situations, de problèmes, de la transparence électorale, et les libertés publiques notamment… » et selon lui, « cela a été des échanges très fructueux et nous en sortons absolument ravis. Nous nous sommes parlés très franchement, et cela a été une très bonne rencontre… »
– de plus, l’objectif de cette rencontre fut de remettre au numero uno francais un « memorandum » de DOLEANCES divers rendu public a l’issue de cette rencontre car selon l’UN « ’il est urgent d’engager, de manière responsable, des réformes, en vue du renforcement de la démocratie et de l’Etat de droit, gage de stabilité et de paix durable… »
– Zacharie Myboto – parlant au nom de l’UN – a alors HUE et DECRIE dans un eclatant « laudatio » (fr. PANEGYRIQUE) de HAINE et de COLERE au gros nez de Sarko « Le Nerveux », VERBALEMENT, l’INGERENCE de la France et de Sarko lui-meme en premier, dans l’INTRONISATION de sa majeste « El Babouino » de Bongoville.
– INSULTE (en public) et FOU de RAGE, le Grand Maitre Gaulois de Nagy-Bócsa aurait alors EXIGE de Zacharie Myboto – SEANCE TENANTE – « le retrait de ses propos qualifies d’INJURIEUX ».
– Frolant ainsi « l’INCIDENCE DIPLOMATIQUE », malgre les « EXPLICATIONS » et les « EXCUSES » des autres responsables de l’UN, le Grand Maitre Gaulois de Nagy-Bócsa aurait alors SUR LE CHAMPS, selon Augustin Moussavou King (PSG): envoye « paître ses interlocuteurs du jour ».
Damn!
Une simple QUESTION se pose alors:
qu’ont VRAIMENT voulu ATTEINDRE – de CONCRET – ces responsables de « partis politiques » dans leur INITIATIVE de RENCONTRER – entre deux couloirs – le president francais, qui comme TOUT le monde le SAIT, etait venu ADOUBE officiellement Ali Le Biaffre – et ce, pour lui soumettre des « DOLEANCES » que lui-meme CONNAIT DEJA, au point de se faire « FOUTRE DEHORS », tels de « simples vagabonds » par un PAUVRE CANCRE de president MAFIEUX qui REVENDIQUE sans s’en cacher des THEORIES et THESES de l’EXTREME DROITE francaise ? Une meilleure « Diplomatie » ? Un RADICALISME total ? Un incident « DIPLOMATIQUE » avec la France ? Une GUERRE contre la France (alors qu’on ne peut meme pas lutter contre Ali ?!?!) ? De la « NAIVETE » ou AMATEURISME politque ? FRUSTRATION face a une situation ou on se sent IMPUISSANT ? MANQUE d’IDEES et de VRAIE STRATEGIE ? Nul ne sait.
Mais, dans tous les cas, soit on chosit le chemin de la « POLITIQUE dite DIPLOMATIQUE » qui n’a JAMAIS RIEN apporte en 42 ans de « Bongoisme » et dorenavent n’apportera RIEN dans un CADRE ou le numero un de l’Elysee a CLAIREMENT FAIT son CHOIX sur Ali le Biaffre. Soit on chosit le chemin de la VIOLENCE et du RADICALISME TOTAL en prenant ses RESPONSABILITES, sachant le PRIX a PAYER (ruptures de salaires, attentats…) et on ELABORE alors le PLAN d’une I-N-S-U-R-R-E-C-T-I-O-N ORGANISEE (avec des LEADERS qui ASSUMENT et prennent leurs RESPONSABILITES) et GENERALISEE en bonne et due forme, qui reste l’ULTIME et l’UNIQUE ALTERNATIVE.
Soit alors on se tait et on restre TRANQUILLES !
Da zhaohu,
Wànshìtong