Comme, dans la plupart des familles, quand sonne l’heure du partage, on essuie les larmes, et chacun se bat pour lui et ses enfants.
Les successions sont toujours des moments délicats où les bonnes unions familiales se disloquent, se lézardent, où les divisions font jour, où certaines vérités, jusqu’à là évacuées font jour.
La famille du défunt président du Gabon n’y déroge pas à cette règle.
Le partage du pactole paternel entre les descendants et les petits enfants ne fait pas l’unanimité. Les descendants d’Omar Bongo Ondimba, d’après, les indiscrétions ne sont pas tous logés à la même enseigne.
– Il y a d’abord, ceux, dont l’héritage ne peut échapper, ils sont tranquilles ;
– Il y a ceux dont les Mères ont participés au forceps à l’élection du nouveau président, (cours constitutionnelle, communication etc.…)
– Il y a ceux nés des unions connues de l’entourage et qui attestent sans aucuns doutes de leurs filiations.
La grosse troupe des perdant se trouvent plutôt, au niveau des enfants de derniers, derniers rangs.
– ceux dont les mères leur ont informés du fait qu’Omar Bongo était leur père bien tardivement ;
– ceux dont les grossesses ont été douteuses ;
– Des jeunes adultes, devenus fils ou filles d’Omar Bongo par miracle.
–
Omar Bongo acceptait touts les enfants qu’on lui attribuait. Tout ce beau monde, du vivant du père bénéficiait des avantage divers (postes, argents, orgueil d’être le fils ou la fille d’un président).
Patraque, le père est rappelé à Dieu, Le grand frère, lui, ne compte nullement gaver ces bouches inutiles d’une quelconque pièce.
Les esprits s’échauffent, les lésés font savoir à qui veut bien les entendre, que l’argent du père, c’est-à-dire le pactole est pour tous, ils ne se laisseront pas dépouiller. Ces derniers oublient que les actes de naissances de complaisances que l’on achète à la mairie de Libreville auprès des agents véreux ne pèsent pas bien lourds devant les tribunaux.
Il faut dire que le gâteau est gros et colossale et ce chiffre en centaine de millions d’euros ou dollars (immobiliers, comptes bancaires, les investissements divers dans les entreprises privés) au Gabon, en Europe, en Amérique et même en Asie.
La gueule de bois pour les perdants est dure, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Des héritiers qui se retrouvent sur le carreau.
S’être fait appelé Bongo Ondimba ne suffit pas pour prétendre compter au nombre des ayants droits.
A.M. Dworaczek-Bendome
Ali BONGO a toujours rêvé d’être président du Gabon du vivant de son père et; Dieu seul sait s’il n’ a pas souhaité la mort de ce dernier à plusieurs reprises.
Le Gabon va être plongé dans une agonie lente et interminable par Ali BONGO, à cause de son mépris pour les Gabonais et tous ceux qui n’ont pas voulu se battre pour la démocratie dans notre pays vont mordre la poussière. ils n’auront plus que leurs larmes pour pleurer. J’ai tours soutenu le Dr MENGARA, mais j’apprends malheureusement aujourd’hui qu’il a rencontré MBA OBAME et EYEGUE NDONG pendant les élections au Gabon. Des gens qui ont toujours soutenu Bongo Mordicus.Pourquoi ne pas avoir aussi rencontré Zacharie Myboto ? Le destin du Gabon est entre les mains de Dieu; lui seul sait qui pourra changer notre pays. Un vrai leader politique doit savoir s’adresser à tous ces compatriotes dans leur diversité ethnique. Et c’est ce que doit apprendre à faire le Dr MENGARA s’il veut devenir notre prochain président de la République. Que dieu bénisse le Gabon.