spot_imgspot_img

Gabon : Jean-Félix Mouloungui : De L’ANPE au ministère des PME-PMI

Jean-Félix Mouloungui, actuel Ministre des PME-PMI du gouvernement de l’émergence deux (2), qui quelques mois avant qu’il ne soit appelé par Ali Bongo était régulièrement inscrit à L’Agence Nationale Pour l’Emploi en tant que demandeur, a semble t-il perdu la mémoire sur un bon nombre des dettes qu’il a contractées en France auprès de plusieurs compatriotes.

Jean-Félix Mouloungui, actuel Ministre des PME-PMI du gouvernement d’Ali Bongo, est depuis un certain temps sommé de rembourser les différentes sommes d’argent qu’il a tout bonnement empruntées auprès de certains compatriotes de la diaspora gabonaise de France.
Alors que monsieur le ministre faisait des aller et venues à l’ANPE dans l’espoir de décrocher un emploi, certains compatriotes de bonnes volonté lui avaient par solidarité, en ce temps prêté nombre de fois des sommes d’argent qu’il semble ne plus vouloir rembourser compte tenu du silence observé malgré les multiples messages de relance.

C’est donc un ministre devenu totalement sourd et également muet sur la question du remboursement des nombreuses dettes laissées derrière lui après son départ pour le Gabon que certains gabonais de la diaspora ont tenté de contacter sans succès afin de rentrer dans leur fonds.
Face à cette attitude arrogante et méprisante de la part du ministre Mouloungui, qu’il est pour la première fois, par voie de presse internet, attiré l’attention de ce dernier afin qu’il se souvienne de son passé récent.
Etant Directeur de la publication et Directeur de la Rédaction du média en ligne « Nouvelle Afrique » Je publie ci-dessous la toute première correspondance que j’ai eu à adresser à mon ainé le ministre Mouloungui afin de rentrer dans mes fonds. Ce dernier ne m’a en retour pas adressé le moindre mot.


«Cher Jean-Félix, bonjour;

Je m’excuserais dans un premier temps de la gêne que ma démarche viendrait à te causer.
Comme tu le sais, j’ai fait ta connaissance par notre frère commun Kassa M’FOUBOU, arrivant du Burkina-Faso. Des évènements qui se sont déroulés durant toutes ces années jusqu’aujourd’hui, tu sais quels sont les actes que tu as posés vis à vis de moi, depuis mon appartenance à l’UPG au temps de sa création jusqu’à ces jours. De nombreux gabonais – dont nos proches – en sont au courant.. Je ne voudrais pas m’étendre là dessus afin que nous évitions des déchirements qui, demain, pourraient nous être néfastes et préjudiciables.

Quand j’ai sollicité ton épouse afin que tu me rejoigne dans mon aventure de relance du magazine « Nouvelle Afrique » dont je suis le fondateur; j’avais pensé que ton expérience et tes valeurs me rejoignaient et pourraient m’être utiles. Au final, tu as excellé dans des comportements dont tu connais les contenus. Bref, de la mission qui t’a été confiée, ne sont nés que des mensonges, et j’y ai des preuves suffisantes.
Afin d’éviter que nous allions loin, très loin; je souhaiterais que dans les délais les meilleures, tu puisses me faire parvenir la somme de 600,00 euros que tu restes à devoir à ASSEKO MINKO et à moi-même.

Si tu ne le fais pas avant le 5 janvier 2011, je lance une grande campagne d’informations sur ton comportement qui ne rejoint la moralité de ce que les gens pensent aujourd’hui que tu sois. T’en fais pas, je suis au courant des plaintes d’autres personnes à l’exemple de Jean Aimé MOUKETOU qui se sont plains de tes turpitudes financières qui se joindront à moi dans cette démarche pour apporter des témoignages.

Pour ton bénéfice, je te rappelle mes noms et prénoms, ainsi que mon adresse:
Placide IBOUANGA MOUSSOUNDA
12, rue Bessières – 75017 Paris (France)

NB: si dans les délais donnés, je ne reçois pas cet argent, j’adresserai non seulement une lettre ouverte à Monsieur Ali Bongo Ondimba, mais également un courrier postal au Palais de la République par lettre recommandée avec Accusé de réception et également par DHL. pour ampliation.
Avec tout le respect que je te dois, reçois, cher grand frère, mes salutations les meilleures à la porte du nouvel an. Que 2011 t’apporte bonheur, prospérité et sérénité.

Placide IBOUANGA MOUSSOUNDA
Directeur de la Publication Nouvelle Afrique
Directeur de la rédaction »


Malgré cette mise en garde, comme je le disais plus haut, je n’ai eu mot en retour du ministre Mouloungui, mais qu’il sache que toutes les reconnaissances de dettes et les bordereaux d’envoi des différents mandats existent et peuvent être mis en ligne si besoin il y a.
Pour la défense de mes intérêts, je tiens à prévenir le Ministre Mouloungui qu’au niveau de Libreville, cette affaire est depuis un mois déjà entre les mains d’un avocat :

Maître Erangah Gilbert.
CABINET ERANGAH GILBERT
B.P. 6677 Libreville (Gabon)

Source: Placide Moussounda

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES