Les débats de haut niveau qui se poursuivent au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU) à New York (Etats-Unis d’Amérique –USA-) depuis l’ouverture de la session de l’Assemblée générale de cette Institution le 19 septembre denier, ont permis au chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba de former le vœu de voir bientôt un Etat palestinien.
La question palestinienne s’est invitée aux assises de l’Assemblée générale des Nations Unies avec la demande d’une place de membre que faites par les responsables de ce territoire à l’ONU.
En effet, avec d’autres chefs d’Etat à l’instar de Barack Obama des USA, Jakaya Kikwété de Tanzanie, Allassane D. Ouattara de Côte d’Ivoire ou Nicolas Sarkozy de France, Ali Bongo Ondimba, le président de la République gabonaise, a exprimé la voie du Gabon en se positionnant pour un Etat palestinien vivant en paix côte à côte avec l’Israël.
A New York, le balai diplomatique bat son plein et d’aucuns ne sont pas prêts de voir siéger aux Nations unies un Etat Palestinien reconnu. C’est notamment le cas des Américains et des Israéliens alors que les Français, eux, ont proposé un poste d’observateur.
Le président gabonais, constant dans ses positions quant à lui, a déclaré: « sur cette question, comme je l’ai fait l’an dernier, ici même, mais cette fois ci avec une espérance accrue, je forme le vœu de voir bientôt un Etat palestinien, vivant en paix côte à côte avec Israël dans des frontières sûres et reconnues. »
Dans ce cas, estime Ali Bongo Ondimba, « les deux peuples, israélien et palestinien, amis du Gabon, aspirent à vivre et à coexister en paix et dans la sécurité. Le destin de ces deux peuple est essentiel pour l’avenir du Moyen – Orient et de la paix dans le monde ».
C’est donc une constance, mieux, une position axée sur une recherche efficace de voies et des moyens pour une paix durable, la sécurité, facteurs inébranlables de démocratie et de développement.