Certains espaces commerciaux à Libreville affichent sur des enseignes, les produits et services en vente dans leurs locaux, sans, vraisemblablement, s’embarrasser du respect des règles de la langue française.
On trouve donc sur ces pancartes des messages mal écrits comme « des jeus » au lieu de « des jeux », « maison à loué » à la place de « maison à louer » ou encore « totouyages » au lieu de « tatouages ». Toute chose qui donne une image pas très crédible à ces structures.
Qui est donc à l’origine de ces grossières erreurs qui choquent les populations ou, dans le meilleur des cas, les amusent ? Les sérigraphes ou les propriétaires de ces magasins ?
Par souci de l’image de la capitale gabonaise véhiculée au travers de ces enseignes, la mairie de Libreville ne devrait-elle pas intervenir afin d’exiger le respect des règles élémentaires d’orthographe et de grammaire sur ces enseignes installées sur la voie publique ?