En milieu de journée, étudiants et forces de l’ordre ont échangé jets de pierres et grenades détonantes ou lacrymogènes à l’intérieur du campus. Des incidents similaires s’étaient déjà produits au cours de cette semaine à Franceville. Dans un communiqué, le gouvernement a promis l’ouverture d’un dialogue avec des représentants des étudiants et des enseignants, dès ce vendredi 25 mai.
Un représentant des étudiants, Anonyme: « Nous disons nous, étudiants, que nous ne pouvons pas accepter la manière forte. Il y a des problèmes qui sont sur la table. Nous voulons que le dialogue soit sain entre le pouvoir et nous. Nous réclamons le paiement de nos bourses ! (…) Sans ce paiement, on ne peut pas lâcher notre mouvement. »