La Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, a réitéré son soutien total en faveur de la femme Africaine, et se réjouit des thématiques abordées pendant la journée consacrée au Dialogue For Action Africa, qui touche essentiellement le quotidien de la gente féminine avec un accent sur la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
Organisée ce lundi par la Fondation Cécilia Attias for women, en faveur des Premières Dames d’Afrique, la journée consacrée au Dialogue For Action Africa, qui s’est tenue au lendemains du Forum New York Africa, a permis aux premières Dames de se mobiliser pour des lendemains meilleurs.
En présence d’autres premières dames d’Afrique et d’Irina Bokova, Directrice Générale de l’UNESCO, Sylvia Bongo Ondimba, s’est engagée à ne ménager aucun effort pour œuvrer en faveur de l’amélioration des conditions sociales de la femme gabonaise en particulier et de la femme Africaine en générale.
« Il est de notre devoir de protéger les femmes, de notre continent et surtout celles qui sont les plus vulnérables et vivent dans la précarité. Nous devons tout faire pour améliorer leurs conditions sociales », a déclaré Mme Bongo Ondimba.
Pour la Première Dame du Gabon, certains facteurs bien spécifiés tels que : l’échec scolaire des jeunes filles, les grossesses précoces, l’absence de protection juridique visant leur protection sociale, participent énormément à cet état de chose, qui conduit à cette précarité dans laquelle croupissent aujourd’hui de nombreuses femmes africaines.
« Pour renverser cette tendance en faveur de nos sœurs, nos filles, nous devons partager les expériences, réfléchir ensemble à des approches novatrices et identifier des solutions concrètes. C’est l’objectif que je me suis fixé en participant aujourd’hui à ce Forum, pour convaincre nos sœurs qu’elles peuvent envisager le futur sereinement, apporter des solutions concrètes à leurs préoccupations, garantir des résultats au plus près de leurs besoins. Je me réjouis que les thématiques présentées aujourd’hui nous donnent l’occasion d’échanger sur des sujets qui me tiennent à cœur, et je ne doute pas un seul instant que nous trouveront ensemble, des solutions qui soient favorables pour toutes », a –t- elle souligné.
Cette rencontre enregistre la participation de 400 experts mondiaux réunis à Libreville pour tenter de développer des solutions durables sur les plans sociaux et économiques pour les femmes africaines.