Après que le président Ali Bongo Ondimba a fustigé le racket orchestré par les policiers et gendarmes contre les chauffeurs de taxi, lors du conseil de ministres du jeudi 16 novembre 2011. Que nombreux des gabonais se demandaient « Est-il possible d’éradiquer le phénomène enraciné dans les rangs des forces de l’ordre depuis des années ? ».
Malgré cette sonnette d’alarme faite par le premier des gabonais ‘’Ali Bongo Ondimba’’ chef de l’Etat, le racket continues, situation alarmante qui à emmener le ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou à prendre la décision de révoquer les agents surpris en flagrant délit de racket.
Décision encourager par les populations qui subissent les répercutions du racketage par certains agents véreux auprès des transports routiers notamment les taximen pour répondre aux agissements rétrograde des agents, ont décidé de s’en prendre aux populations en augmentant le prix du trajet qui coute 100 francs CFA à 3000 francs exemple afin de supporter les charges du racket.
Ali Bongo Ondimba a mis le doigt là où ça fait très mal : « Plus question de donner de l’argent dans la main des policiers ou des gendarmes ». déclare un transporteur l’as de cette situation dénigrant le Gabon.