En juillet dernier, l’ancien ministre gabonais de l’Intérieur avait déclaré à Paris que « treize mois après mon départ du Gabon, d’où je suis parti en chaise roulante, je rentrerai très prochainement sur mes deux jambes. Que ceux qui m’ont annoncé comme mort se préparent à lutter contre mon fantôme ».
Condamné par la justice gabonaise pour haute trahison de l’Etat, il avait quitté Libreville pour l’Afrique du Sud pour des raisons médicales en juin 2011 avant de rallier Paris.