Un atelier sur la lutte contre le blanchiment des capitaux et la lutte contre la corruption se tient dès mercredi prochain à Libreville, dans le but de peaufiner la stratégie du Gabon contre ces deux phénomènes considérés comme des crimes financiers.
Cet atelier, qui se tient sur deux jours va regrouper les agents de l’administration gabonaise concernés par la lutte contre ces deux phénomènes.
Organisé conjointement par la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI) et l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), cet atelier a pour objectif de favoriser la collecte des données utiles à l’amélioration de la gouvernance publique de l’Etat.
Selon, le consultant international, chef de l’équipe technique chargée de la conduite du projet, Raymond Onana, ’’l’exercice ne vise pas à stigmatiser qui que ce soit, mais de se demander comment arriver à combattre le phénomène’’.
De source proche du dossier, la stratégie en gestation, aura pour effet d’actualiser les cadre juridique, technique et institutionnel existant et, dévaluer périodiquement le niveau d’atteinte des résultats prévus dans la croisade contre les comportements déviants en matière de gouvernance des finances publiques et de ’’l’argent sale’’.
Créée le 7 mai 2003, la CNLCEI a notamment pour mandat de prévenir les malversations financières, de lutter contre l’enrichissement illicite et de sanctionner les auteurs de détournement des deniers publics.
Quant à l’ANIF, il a été créée le 1er juin 2006 suite à l’adoption du Règlement commun de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) et de l’Union Monétaire de l’Afrique Centrale (UMAC) portant prévention et répression du blanchiment des capitaux (l’une des conséquences de l’enrichissement) et du financement du terrorisme en Afrique Centrale.
Cet atelier, qui se tient sur deux jours va regrouper les agents de l’administration gabonaise concernés par la lutte contre ces deux phénomènes.
Organisé conjointement par la Commission nationale de lutte contre l’enrichissement illicite (CNLCEI) et l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), cet atelier a pour objectif de favoriser la collecte des données utiles à l’amélioration de la gouvernance publique de l’Etat.
Selon, le consultant international, chef de l’équipe technique chargée de la conduite du projet, Raymond Onana, ’’l’exercice ne vise pas à stigmatiser qui que ce soit, mais de se demander comment arriver à combattre le phénomène’’.
De source proche du dossier, la stratégie en gestation, aura pour effet d’actualiser les cadre juridique, technique et institutionnel existant et, dévaluer périodiquement le niveau d’atteinte des résultats prévus dans la croisade contre les comportements déviants en matière de gouvernance des finances publiques et de ’’l’argent sale’’.
Créée le 7 mai 2003, la CNLCEI a notamment pour mandat de prévenir les malversations financières, de lutter contre l’enrichissement illicite et de sanctionner les auteurs de détournement des deniers publics.
Quant à l’ANIF, il a été créée le 1er juin 2006 suite à l’adoption du Règlement commun de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) et de l’Union Monétaire de l’Afrique Centrale (UMAC) portant prévention et répression du blanchiment des capitaux (l’une des conséquences de l’enrichissement) et du financement du terrorisme en Afrique Centrale.