Les patrons des deux journaux gabonais suspendus pour six mois par le Conseil national de la communication (CNC), l’organe de régulation, ont publiquement dénoncé ces sanctions. C’était au cours d’une conférence de presse, à l’issue de laquelle ils ont dit qu’ils vont ignorer ces sanctions et continuer à publier leurs journaux. Les directeurs sont accusés d’avoir appeler à la désobéissance civile des militaires.
Les directeurs des publications s’insurgent contre les sentences: « J’ai appelé à la prise de conscience de l’armée, pour que l’armée puisse savoir qu’elle est au service de la nation »