Les activités du Réseau internationale des Jeunes volontaires francophones (RIJVF) du Gabon pour l’année 2013-2014 ont été lancées, vendredi à Libreville, avec l’installation du nouveau bureau national du RIJVF dirigé par Dorian Ondo Ellassoumou.
Le principal acteur dans la matérialisation de la coopération entre le Gabon et l’organisation internationale de la francophonie (OIF), le directeur ambassadeur de la francophone, Charles Lembouma a rappelé ‘’l’intérêt d’instaurer un cadre adéquat devant permettre aux jeunes gabonais de s’épanouir et de développer leur potentiel’’.
‘’Pour que ce cadre soit effectif, il est impérativement que les jeunes s’impliquent dans cette démarche afin de mieux prendre en compte leur besoin multiples et divers’’, a souligné M. Lembouma, rassurant, par ailleurs, que ‘’des actions concrètes seront entreprises par la mise en œuvre au Gabon des programmes internationaux de la francophonie en direction des jeunes’’.
L’ambassadeur des Jeunes Leaders des Nation unies, Andy Roland Nziengui a interpellé les jeunes volontaires en indiquant l’importance de leur engagement dans la bonne marche du RIJVF du Gabon. ‘’Ne faites pas du volontariat de salon, mais d’action’’, a conseillé Nziengui, après avoir souligné la disponibilité que le volontariat exige de la part des membres.
Après l’installation du nouveau bureau national du RIJVF, son président Dorian Ondo Ellassoumou a présenté son programme d’action comprenant des projets de valorisation de la francophonie et son extension dans toutes les provinces du Gabon tout en mettant l’accent sur la promotion de l’esprit de volontariat auprès des jeunes.
Le RIJVF a été fondé en mars 2002, à Lyon (France). Au Gabon, il existe depuis près de dix ans. A vocation socioculturelle et humanitaire, il travaille à la mutualisation des initiatives des jeunes dans l’espace francophone, à travers la mise en œuvre des projets communs de solidarité internationale.
les actions de développement de proximité auxquelles contribuent les Jeunes volontaires francophones visent à renforcer les population des pays d’accueil dans leurs capacités à mieux maitriser leur environnement économique, social, culturel, écologique et politique.