Ce dimanche 16 novembre 2014, le Dr. Daniel Mengara, président du mouvement « Bongo Doit Partir-Modwoam », était au micro de Bill Emile Davolk de Radio FM Liberté, une radio panafricaine implantée à Chicago dans l’Etat d’Illinois aux Etats-Unis.
https://youtube.com/watch?v=DT1OmCMgLQE%3Fhl%3Dfr_FR
L’Affaire Péan était, bien évidemment, au centre du débat. A cet effet, le Dr. Daniel Mengara a, lors de cet entretien, renouvelé son appel pour une enquête parlementaire et l’obligation qui doit être celle d’Ali Bongo et de sa famille de se soumettre à un test de ADN pour évacuer le débat sur la gabonité d’Ali Bongo, et dans le cas contraire, subir la destitution immédiate.
Pour Daniel Mengara, la preuve par l’acte de naissance ne suffit plus et les Gabonais ne l’accepteront plus car un acte de naissance est facilement falsifiable. La seule chose que les Gabonais accepteront désormais sera un test d’ADN en bonne et due forme.
Source: BDP-Modwoam (https://www.bdpmodwoam.org)
Bongo Doit Partir – Modwoam
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Moi je pense que ce qui est plus important maintenant est que Alain Bongo parte. Tout le clan Bongo doit quitter le gabon et le pouvoir. Les gabonais doiventexiger qu »ils rendent au moins une partie de la firtune volée au gabonais. Ce argent servira à construire le pays. On en a marre, sans ça il faut commencer a rendre la vie difficile au français qii vivent au gabon et qui soutiennent les bongos et qui ont aussi placé ali en 2009 au pouvoir. Celui n’a jamais gagné les élections.
Chassons Ali le biafrais et sa légion de mafieux apatrides. Un point, c’est trait. Il n’y a plus de 2016. Le vide constitutionnel est constaté depuis mercredi 29 octobre 2014 date de la publication en France du livre « Les nouvelles affaires africaines », du journaliste d’investigation français Pierre Péan. Les institutions chargées de faire appliquer l’Article 13 de la constitution en sont incapables et complices du biafrais et sa légion de mafieux apatrides. Allez jusqu’en 2016 revient à dire qu’Ali Bongo a été légalement élu en 2009 et que les dispositions de l’Article 10 ne s’appliquent pas au faussaire Ali Bongo.
Nous considérons comme complice de haute trahison toute personnalité politique qui envisage encore l’élection de 2016. Le Gabon ne plus souffrir d’être un pays « hors la lois » et présenter à l’international l’image d’un peuple complice d’un parjure. Les différents meeting organisée ça et là n’ont qu’une valeur égocentrique. Ils ne conduisent pas à l’essentiel: faire partir Ali ou le chasser du pouvoir.
Mesdames et messieurs les leader politiques, la comédie à assez durer. Si Ali le biafrais et sa légion de mafieux apatrides ne sont pas chassés avant la Noel, c’est à dire le 24 décembre 2014, alors le Mouvement « Les Patriotes » retirera toutes les réserves qu’il accorde aux actions du Front uni de l’opposition et a tout autre mouvement politique de l’opposition.
« C’est fini, les combines politico-politiciennes ».
Le meeting du 20 décembre doit être celui du départ sans conditions d’Ali le biafrais et de sa légion de mafieux apatrides.
A bon entendeur…