Au regard d’un bilan pas toujours à la hauteur des espoirs des uns et des autres, le président de la République est confronté à la sourde réprobation des forces avec lesquelles il a pris le pouvoir.
De prime abord, la majorité demeure fidèle au président de la République. Elle lui est même toute entière dévouée, totalement soudée derrière lui et prête à en découdre. Officiellement, elle fait bloc et prépare les échéances futures. A y regarder de près, la réalité est toute autre. La campagne de communication conçue en réponse au brûlot de Pierre Péan «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pillages au Gabon» a tourné court. Pire, elle s’est révélée contreproductive. La dégradation des conditions de vie des populations, les tensions de trésorerie, les dépenses somptuaires et errements du premier cercle présidentiel crachent leur venin tout et chaque jour. Ali Bongo est désormais confronté à une équation nouvelle, à inconnus multiples.
Les péripéties inhérentes à l’organisation de la marche de soutien de Franceville, notamment la débauche de moyens financiers et logistiques qu’elle a nécessité, ont mis en lumière des dissensions au sein de ce qui apparaissait jusque-là comme son bastion naturel, un donjon politique, une citadelle imprenable. Bien qu’elle ait finalement eu lieu, son annulation il y a deux semaines et surtout l’absence de ténors tels que Marcel Sandoungout, Idriss Ngari, Jean-Pierre Lemboumba, Pascaline Bongo et Paul Toungui laissent croire à une manifestation organisée aux forceps, à un refus d’entretenir des particularismes. Certes, le Haut-Ogooué n’a pas rejeté ou tourné le dos à celui qui fut, pendant près de 20 ans, député de la Djouori-Agnili. N’empêche, cette province envoie des signes d’une volonté de définir de nouvelles règles du jeu dans sa relation avec ce dernier. Autrement dit, elle entend imposer une nouvelle pratique politique. Certains de ses cadres sont même ouvertement entrés en dissidence alors que d’autres se complaisent dans une abstinence médiatique et politique qui laisse croire qu’une lame de fond est en passe de se lever.
Les incessantes jérémiades des puissances d’argent, notamment les communautés corse et libanaise ou les filiales de groupes français, témoignent aussi de ce que les relations entre le président de la République et les forces qui l’ont aidé à conquérir le pouvoir d’Etat s’écrivent de plus en plus en pointillés. Pour beaucoup d’entre elles, «l’avenir en confiance» n’est plus de saison. La peur du lendemain et une certaine lassitude les habitent désormais. Dans ce contexte, les incertitudes sur la situation des finances publiques et l’encours de la dette intérieure participent à couper Ali Bongo de sa base arrière.
Le lâchage en rase campagne de Serge Williams Akassaga Okinda n’est pas pour rassurer les institutions. Certes, le président de la République ne s’est toujours pas exprimé sur cette question. Mais, les déclarations tonitruantes du porte-parole de la présidence de la République sur le rôle et la responsabilité de l’ancien maire du 3ème arrondissement de Libreville dans la confection de l’acte de naissance querellé ont de quoi faire réfléchir voire doucher l’enthousiasme des fonctionnaires ou responsables d’administrations qui pourraient être invités à s’engager au-delà des limites légales. Jusque-là, ceux qui consentaient à user de leurs positions administratives ou institutionnelles pour soutenir la majorité se sentaient protégés. Maintenant, chacun sait qu’il n’est à l’abri de rien, qu’il peut être amené à répondre de ses actes voire à y être contraint par ceux au bénéfice de qui il a agi. «Quand on égorge le coq, le canard regarde», dit un adage populaire bien connu.
Bilan
Dans la mésaventure de Serge Williams Akassaga Okinda, il y a comme un message sous-jacent pour les forces de défense et sécurité. S’il avait toujours été éludé, le débat sur la responsabilité des actes commis dans l’exercice des fonctions fait maintenant rage dans les chaumières. Bien que le maintien de l’ordre soit une prérogative et une obligation régaliennes, il ne doit pas pour autant être confondu avec la répression. Les télévisions satellitaires nous abreuvent d’images de ces forces prétoriennes qui refusent de mater les populations voire organisent le départ de celui qu’elles sont censées servir quand elles ne tournent carrément pas casaque. De Tunis à Ouagadougou en passant par Le Caire, les gardes rapprochées ont soupé de ces ordres de fermeté qui les transforment en cerbères au service d’un clan, d’un camp et non d’une nation et d’une République. Ces exemples-là alimentent encore les débats, autant qu’ils défraient la chronique. Les idées qu’ils véhiculent ont, depuis, fait leur chemin. Ont-elles eu impact sous nos latitudes ? Dans un sens comme dans l’autre, rien n’est certain…
L’engagement résolu de ses soutiens traditionnels n’est pas la seule chose sur laquelle le président de la république peut désormais nourrir des doutes. Il peut aussi se poser des questions sur un bilan pas toujours à son avantage. Alors que ses proches et laudateurs n’ont, jusque-là, eu de cesse de se prévaloir d’un projet, accusant systématiquement l’opposition d’en manquer, ils pourraient bientôt être interrogés sur leurs réalisations. Déjà, le débat sur l’introduction, dans la charte de l’Union Africaine, d’une clause sur la limitation des mandats présidentiels indique que la réforme constitutionnelle de janvier 2011 fut un rendez-vous manqué, une opportunité gâchée. Et les retards de salaires accumulés dans de nombreux établissements publics créés à la va-vite, au mépris de l’esprit de nos institutions et de la loi dédiée, pourraient lui aliéner le soutien d’une partie de la classe moyenne. Si les déclarations d’Ali Bongo lors du Conseil national du PDG d’avril dernier ont laissé l’impression que les statistiques lui importent davantage que la réalité de terrain, son mutisme sur la question de son état-civil tend à accréditer l’idée d’un mépris pour les règles, les institutions et le peuple. L’opposition, particulièrement le Front de l’opposition pour l’alternance, n’a plus qu’à entretenir la veille. Une à une, les certitudes de la majorité se dessèchent et s’envolent sous l’effet de la météo politique. Progressivement, les soutiens du président de la République, expriment leurs doutes et craintes, s’éloignent ou baissent pavillon. Il est, peut-être, encore temps de se reprendre…
Le problème posé par « lefilsdupauvre » est une vérité à laquelle en ce début du millénaire, l’Afrique tout entière et le Gabon en particulier doivent trouver en langage simple une réponse. Ayant pour ma part, eu la chance de fréquenter les grands maîtres maçons qui ont introduit cette fraternité au Gabon à l’aurore de leurs existences sur terre. Ces grands maîtres gabonais conclus: « Nous nous sommes trompés et nous avons fait du Mal à Notre Pays » et à l’Afrique. Tous nos enfants sont incapables de sortir le Gabon et l’Afrique de la situation où nous l’avons mis, car tous formater pour perpétuer l’ordre, esclave, coloniale, néocoloniale et l’auto colonisation (le chaos). La francophonie et les APE font parties des instruments modernes, subtiles pour la perpétuation de l’esclavage de l’Afrique et du Gabon.
D’où la difficulté pour les leaders actuels de poser des actes contre le pouvoir inique actuel pas simple obéissance au serment (matière) de la fraternité maçonnique ou de la rose croix.
Cher « lefilsdupauvre » Dieu ne se trompe jamais. C’est pourquoi, il t’a projeté au Gabon en non en France. Il s’agit pour toi de comprendre, d’apprendre et de perpétuer ton Gabon. Ses Us et ses Coutumes. La Japon et la Chine l’ont compris. Ils ont inventés le Quartz et le semi conducteur qui ont révolutionnés les technologies actuelles.
Ne dit jamais comme certain : que « Dieu s’est trompé à mon sujet ». Que ce qui l’a donné à l’autre est meilleur que ce qu’il t’a donné. Confirmant ainsi, que Dieu se trompe.
C’est pourquoi Bwete Conseil à chacun des enfants (Melane, Mbieri, Abandji, Elombo, Ibwouiri, Mbiri, Fouanganga, Djobi, Djobi Lumbu, Disumba, Missoko, Sengedia, Ngondet, Miyobè, Ndeya, Tao tao, Mboumba yi yano, Djembe, Gnembe, Ivanga, Okoukoue, Mouiri, Mangumba) et tout bandji (initié au bois sacré) qui a reçu une parcelle de sa divine conscience un Kombo (attribut Divin), une meilleur réorganisation et une participation sans complexes aux enjeux stratégiques et géostratégiques du troisième millénaire.
Nous avons tout récupéré : les sciences et les technologies. Nous avons renforcé la compréhension et le partage spirituel de notre interaction avec la Divinité.
Le « PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLÉNAIRE » est au dessus des enjeux et de la distraction de la politique politicienne voulu et entretenu à dessein exclusif, pour la satisfaction des besoins de la chaire et au bénéfice unique de l’occident.
Ne nous laissons plus distraire par ses soient disant leaders « blancs à la peau noire », représentants (sujets) de l’occident.
Maintenons nous dès aujourd’hui au travail.
Il nous est interdit de rater ce millénaire au profit de l’occident et de l’orient.
N’ayons plus peur. C’est fini, la tortue qui se replie dans sa carapace.
L’Afrique est « LE BERCEAU DE L’HUMANITE, LE FLAMBEAU DES NATIONS ET LA LUMIERE DES CIVILISATIONS ».
Ce millénaire est simplement Africain. L’occident et l’orient ont eu deux mille ans d’expression. Échec total sur tous les plants (rien qu’illusions).
Le mouvement ‘’LES GARDIENS DU TEMPLE’’ vous invite à participer à l’établissement du « PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLENAIRE ».
Rien ne se fera plus dans notre Pays sans la participation de ses véritables enfants.
Dans nos proverbes gabonais nous disons ‘’C’est celui qui a attaché, qui sait détacher’’. C’est pourquoi, nous soutenons avec réserves, toutes les actions du Front uni de l’opposition ou tous autres mouvements allant dans le sens de sortir le Pays de la situation qu’ils l’ont mis.
« lefilsdupauvre » n’ais plus d’inquiétudes. Plus personne ne nuira à ton existence et ne t’empêchera de bien te porter.
Désormais, Le seul Coq qui chantera dans notre basse-cour est « BWETE » lui Seul. Ses enfants « BWITI » (Melane, Mbieri, Abandji, Elombo, Ibwouiri, Mbiri, Fouanganga, Djobi, Djobi Lumbu, Disumba, Missoko, Sengedia, Ngondet, Miyoba, Ndeya, Tao tao, Mboumba yi yano, Djembe, Gnembe, Ivanga, Okoukoue, Mouiri, Mangumba) auront la charge d’interpréter et de matérialiser son chant quotidien: « Le PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLÉNAIRE ».
Je t’invite à rejoindre, dès aujourd’hui avec d’autres initiés à la première initiation masculine la « Circoncision », le mouvement politique charger d’établir « Le PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLENAIRE » ‘’LES GARDIENS DU TEMPLE’’.
Fraternellement