Quelque 48 prisonniers ont recouvré la liberté le 29 décembre dernier à la faveur d’une grâce présidentielle, en présence du gouverneur de la province de la Ngounié (sud), Benjamin Nzigou et du premier président de la Cour judiciaire de Mouila, Patrice Kikson Kiki.
Sur les 48 graciés, 31 dont 28 gabonais, 1 congolais, un burkinabé et un congolais de la République démocratique gabonais (RDC). En revanche, 17 ont bénéficié d’une remise partielle de peine.
Cette remise en liberté émane de l’article 23 de la constitution qui confère au chef de l’Etat le pouvoir de gracier des détenus selon les limites fixées par la même loi fondamentale.