14 h 50. Sécurité renforcée dans les ports britanniques, drapeau en berne
Le Royaume-Uni a renforcé « par mesure de précaution » la sécurité dans les ports ainsi que les contrôles aux frontières. Londres a également envoyé dans la capitale française un membre de la police antiterroriste pour appuyer une équipe d’experts britanniques présente sur place. Le drapeau britannique a par ailleurs été mis en berne jeudi à Downing Street, résidence du Premier ministre David Cameron. « Nous nous tenons aux côtés du peuple français après les horribles meurtres survenus à Paris », a déclaré ce dernier sur Twitter.
14 h 30. Des drapeaux djihadistes et des cocktails Molotov dans la voiture abandonnée mercredi
Les enquêteurs ont retrouvé une dizaine de cocktails Molotov et deux drapeaux jihadistes dans la voiture abandonnée à Paris mercredi par les auteurs de l’attaque contre Charlie Hebdo.
« Cela démontre d’une part leur radicalisation islamiste, et qu’ils avaient peut-être prévu d’autres actions avec ces cocktails », a expliqué une source proche du dossier. Lors de leur fuite, les assaillants ont abandonné leur véhicule, une Citroën C3, près du parc des Buttes-Chaumont dans le nord-est de Paris, après avoir percuté une automobiliste.
14 h 00. Les suspects repérés près de Villers-Cotterêts, Raid et GIGN déployés
Les deux suspects recherchés pour l’attentat contre Charlie Hebdo, ont été repérés à la mi-journée près de Villers-Cotterêts (Aisne), et un déploiement du Raid et du GIGN est actuellement en cours dans cette zone, a-t-on appris de sources policières.
Les unités d’élite de la police et de la gendarmerie nationales « sont positionnées pour vérification d’objectifs dans cette zone, où a été abandonnée la voiture utilisée par les deux suspects, identifiés par un témoin », a expliqué une source policière.
A la mi-journée, la station-service Avia, nommée le Relais du Moulin, située en rase campagne, au bord de la Nationale 2 à quatre voies, était complètement bouclée par les forces de l’ordre. De nombreux gendarmes en tenue étaient déployés devant la station, et la presse tenue à distance. A la mi-journée, la station-service Avia, nommée le Relais du Moulin, située en rase campagne, au bord de la Nationale 2 à quatre voies, était complètement bouclée par les forces de l’ordre. De nombreux gendarmes en tenue étaient déployés devant la station, et la presse tenue à distance. | Photo : AFP
14 h 00. A Binic, il tente de tirer profit du drame sur le net
Scandale près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). Ce matin, un consommateur a acheté tous les stocks de « Charlie Hebdo » des librairies pour les revendre plus chers sur le net.
13 h 30. À Pontivy, l’oncle du dessinateur Riss a eu peur
Jean-Louis Guillou, l’oncle du dessinateur Riss, blessé dans l’attentat contre Charlie Hebdo, habite Pontivy (Morbihan). Il raconte « une journée de trouille ».
13 h 05. Les larmes de Patrick Pelloux
Patrick Pelloux, médecin urgentiste et collaborateur à Charlie Hebdo a livré un témoignage poignant, ce jeudi sur Itélé, après l’attentat mercredi matin, au siège du journal.
Patrick Pelloux : »le journal va continuer, ils n’ont pas gagné » – Le 08/01/2015 à 10h00
12 h 45. Les rassemblements de mercredi soir dans l’Ouest
12 h 40. Suspects jihadistes : l’impossible surveillance absolue
Les frères Kouachi, recherchés et soupçonnés d’être les tueurs qui ont attaqué l’hebdomadaire, étaient de longue date dans le viseur des services antiterroristes.
Etre connu, voire déjà condamné pour association de malfaiteurs terroriste, ne garantit pas que vous allez être placé sous surveillance policière permanente. En savoir plus.
12 h 30. Les cinq caricaturistes morts, leurs dessins
12 personnes ont été tuées lors de l’attentat de mercredi contre Charlie Hebdo. Parmi elles, cinq dessinateurs. Retour en images.
Un dessin de Charb. Un dessin de Charb. | Crédit dessin : Charb
12 h 15. Marine Le Pen rappelle son voeu d’un référendum sur la peine de mort
Marine Le Pen (FN) a rappelé qu’elle voulait proposer, si elle était élue présidente, un « référendum sur la peine de mort » à laquelle elle est « personnellement favorable », au lendemain de l’attentat meurtrier contre Charlie Hebdo.
12 h 00. Minute de silence dans toute la France en hommage aux victimes
La France a observé une minute de silence à 12h00 en hommage aux victimes de l’attentat contre le journal Charlie Hebdo, qui a fait 12 morts mercredi à Paris.
Une journée de deuil national a été décrétée ce jeudi après cet attentat, le plus meurtrier sur le sol français depuis la Guerre d’Algérie.
LIRE. La France se fige une minute pour rendre hommage
11 h 50. Charlie Hebdo va « sortir la semaine prochaine »
L’urgentiste Patrick Pelloux, chroniqueur à Charlie Hebdo, a assuré à l’AFP que l’hebdomadaire satirique, dont la rédaction a été décimée mercredi dans une attaque terroriste, paraîtrait mercredi prochain : « On va continuer, on a décidé de sortir la semaine prochaine. On est tous d’accord », a indiqué le médecin urgentiste, précisant que l’équipe du journal devait très prochainement se réunir.
11 h 40. Bernard Maris, économiste iconoclaste et vulgarisateur
Bernard Maris, économiste tué mercredi à 68 ans dans l’attentat contre Charlie Hebdo, était reconnu pour sa tolérance, la qualité de sa pensée et son art de la vulgarisation. Portrait.
11 h 35. Les imams appelés à condamner la violence vendredi, les musulmans à manifester
La plupart des grandes fédérations musulmanes ont appelé « les imams de toutes les mosquées de France » à condamner « avec la plus grande fermeté la violence et le terrorisme » lors de la grande prière de vendredi, après l’attentat visant Charlie Hebdo.
Dans un communiqué, les dirigeants du Conseil français du culte musulman (CFCM), instance représentative de l’islam de France, ainsi que l’UOIF (proche des Frères musulmans) appellent également « les citoyens de confession musulmane à rejoindre massivement la manifestation nationale » prévue ce week-end.
11 h 30. Les deux suspects localisés dans l’Aisne ce jeudi matin et armés
Les deux suspects de l’attentat de Charlie Hebdo ont été vus ce jeudi matin dans l’Aisne, alors qu’ils étaient à bord d’une Clio grise et porteurs d’armes de guerre, a-t-on appris de sources proches du dossier.
Le gérant d’une station-essence à proximité de Villers-Cotterêt (Aisne) a « formellement reconnu les deux hommes soupçonnés d’avoir participé à l’attentat de Charlie Hebdo », a expliqué une source proche du dossier. « Les deux hommes sont cagoulés, avec kalachnikov et lance-roquettes apparentes », a confirmé une autre source.
11 h 20. Minute de silence sur tous les terrains de foot ce week-end
Une minute de silence sera observée sur tous les terrains de football sur le territoire ce week-end.
11 h 00. Le tweet du pape François pour les victimes
Le pape François a fermement condamné l’attaque meurtrière à Charlie Hebdo. Il a lancé un appel à la prière pour les victimes sur Twitter.
11 h 00. Des fleurs et des bougies au siège de Charlie Hebdo
Le siège de Charlie Hebdo, lieu de pélérinage Le siège de Charlie Hebdo, lieu de pélérinage | Photo : AFP
A l’angle de la rue Nicolas Appert, où est installé l’hebdomadaire satirique, les visages de Charb, Cabu, Wolinski et Tignous sont affichés sur la façade d’un immeuble. Devant ces photos, des gerbes, des bouquets de roses et des bougies déposés par des anonymes.
10 h 50. Wolinski, roi irrévérencieux des dessinateurs de presse
Irrévérencieux et grivois, Georges Wolinski, tué à 80 ans mercredi dans l’attentat contre Charlie Hebdo, était un dessinateur de presse mythique pour toute une génération. Portrait.
10 h 30. Une grenade vise une mosquée du Mans
La police devant la mosquée des Sablons (Sarthe) La police devant la mosquée des Sablons (Sarthe) | Photo : Ouest-France
Ce jeudi matin, quatre grenades d’exercice ont été lancées dans la cour de la mosquée des Sablons, rue de la Bertinière. L’une d’elles a explosé. Il n’y a pas de blessé ni de revendication.
La route a été bloquée par la police. Il y aurait un impact de balle sur une fenêtre. Un périmètre de sécurité a été établi et il n’y a pas eu d’interpellation.
10 h 30. Les douze morts de l’attentat
En ce jeudi matin, 12 personnes ont été tuées lors de l’attentat de mercredi contre Charlie Hebdo. Mais 11 autres ont été blessées, dont 4 « en situation d’urgence absolue ». Qui sont les douze victimes de l’attentat de Charlie Hebdo ?
Aux côtés de Wolinski, Cabu, Tignous et Charb, huit autres personnes ont perdu la vie dans l’attentat perpétré contre Charlie Hebdo. Aux côtés de Wolinski, Cabu, Tignous et Charb, huit autres personnes ont perdu la vie dans l’attentat perpétré contre Charlie Hebdo. | Photo : AFP
10 h 20. Le grand rassemblement d’hommage initialement prévu samedi se déroulera dimanche
Le grand rassemblement d’hommage aux victimes de la tuerie de Charlie Hebdo, initialement prévu samedi, se déroulera dimanche, selon les services du premier ministre.
10 h 10. Les organisations antiracistes appellent à des rassemblements dimanche
Les organisations antiracistes ont appelé à des rassemblements dimanche à Paris et dans d’autres villes françaises pour refuser « le fanatisme et la violence », après l’attaque contre Charlie Hebdo qui a fait 12 morts mercredi.
« La LDH, la Licra, le Mrap et SOS Racisme appellent tous les citoyens à sortir de chez eux partout en France le dimanche 11 janvier à 14 h 30 en hommage aux victimes de la tuerie de Charlie Hebdo », selon un communiqué de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme).
10 h 00. La RATP interrompra tout son trafic durant une minute à 12 h 00
La RATP interrompra son trafic « sur l’ensemble des réseaux de bus, métro, tramway et RER » durant une minute, à 12 h 00, « pour rendre hommage aux victimes » de l’attentat contre Charlie Hebdo, a annoncé l’entreprise. « Des messages seront diffusés toute la matinée, par annonces sonores et par voie d’affichage, sur l’ensemble du réseau » pour avertir les voyageurs de cette interruption de trafic décidée afin de « respecter une minute de silence », a ajouté la RATP.
9 h 55. Les suspects étaient suivis mais pas de signe d’un passage à l’acte
Les deux suspects de l’attaque des locaux du journal Charlie Hebdo avaient fait l’objet d’une surveillance mais aucun élément les concernant ne témoignait d’un passage à l’acte imminent, selon le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, sur Europe 1.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, la police a diffusé les photos de deux suspects, Chérif et Saïd Kouachi, âgés respectivement de 32 et 34 ans.
« Ces individus avaient fait l’objet de surveillance. Leur statut n’était pas judiciarisé (il n’y avait pas de procédure judiciaire en cours les visant). Il n’y avait pas d’élément les concernant témoignant de l’imminence d’un attentat », a expliqué Bernard Cazeneuve.
« Nous prenons 100 % de précaution, mais (…) ce n’est pas le risque zéro », a ajouté le ministre au sujet de la prévention des attentats sur le territoire français. « Nous sommes face à un risque exceptionnel qui peut conduire à d’autres manifestations de violence », a-t-il ainsi prévenu.
9 h 50. La sécurité privée renforce ses dispositifs et coopère avec la police
La filière de la sécurité privée a annoncé jeudi avoir renforcé ses dispositifs pour protéger les entreprises au lendemain de l’attentat perpétré au siège du journal Charlie Hebdo et assure coopérer avec les pouvoirs publics en matière de prévention.
LIRE. Mobilisation exceptionnelle des forces de l’ordre
9 h 40. Valls demande aux médias d’être « particulièrement prudents »
Manuel Valls a demandé aux médias d’être « particulièrement prudents » concernant l’enquête en cours pour retrouver les auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo.
« Je demande aux organes de presse d’être particulièrement prudents sur le type d’informations et de messages diffusés sur vos ondes, parce que toute information peut aussi mettre en cause le travail d’enquête » et entraîner des « risques », a lancé le Premier ministre devant le perron de l’Élysée, en sortant de la réunion de crise autour du président François Hollande.
9 h 30. Fusillade Paris : « pas de lien établi avec l’attentat de Charlie Hebdo »
« Il n’y a pas de lien établi » entre l’attaque de policiers municipaux au sud de Paris, jeudi matin, et l’attentat, mercredi, contre Charlie Hebdo, a-t-on appris de sources proches du dossier.
9 h 20. Pour Fillon, le premier devoir est de soutenir l’exécutif
L’ancien Premier ministre UMP François Fillon participera à la marche républicaine organisée samedi après l’attentat meurtrier contre Charlie Hebdo et apporte tout son soutien à l’exécutif face à cet « acte de guerre ». « Dans une situation de guerre comme celle-là, la première réponse absolument fondamentale est l’unité nationale ». C’est « la meilleure façon de montrer aux terroristes qu’ils n’arriveront pas à mettre à genoux une société démocratique comme la nôtre ».
Pour François Fillon donc, « le premier acte est de soutenir le gouvernement, le ministre de l’Intérieur, le président de la République ».
9 h 05. Fusillade au sud de Paris : Cazeneuve quitte la réunion de crise
Bernard Cazeneuve a quitté la réunion de l’Élysée sur l’attentat contre Charlie Hebdo pour se rendre sur les lieux de la fusillade de Montrouge, dans le sud de Paris.
LIRE. Montrouge : deux policiers municipaux victimes d’une fusillade
9 h 00. Fusillade au sud de Paris : un suspect interpellé
Un homme soupçonné d’avoir ouvert le feu ce jeudi matin sur des policiers municipaux, blessant grièvement l’un d’eux, au sud de Paris, a été interpellé, a-t-on appris de source proche de l’enquête et de source policière.
8 h 50. Nouvelle réunion de crise autour de François Hollande à l’Élysée
Une nouvelle réunion de crise a débuté jeudi à 08 h 40 à l’Élysée autour de François Hollande et du Premier ministre Manuel Valls.
Bernard Cazeneuve (Intérieur), Jean-Yves Le Drian (Défense), Christiane Taubira (Justice), Laurent Fabius (Affaires étrangères) et Fleur Pellerin (Culture et Communication) ainsi que les responsables des principaux services de police, de gendarmerie et de renseignement intérieurs et extérieurs participent à cette réunion.
8 h 30. Fusillade au sud de Paris : au moins un policier municipal touché
Un policier municipal a été touché dans une fusillade dans le sud de Paris près des portes de Châtillon et de Vanves dans des circonstances confuses, aucun lien n’étant établi pour l’instant avec l’attentat de mercredi contre la rédaction de Charlie Hebdo, a-t-on appris de sources policières.
Selon certaines de ces sources, le policier municipal a été atteint par des tirs de fusil d’assaut vers 8 h 15, un deuxième policier est sous le choc et il y aurait un ou deux agresseurs, l’un d’eux ayant pris la fuite dans le métro.
8 h 15. L’Afghanistan et le Pakistan condamnent un « acte terroriste »
L’Afghanistan et le Pakistan, confrontés quotidiennement à des attentats talibans, ont condamné fermement jeudi « l’attaque terroriste » contre Charlie Hebdo.
8 h 00. Sept personnes en garde à vue
Sept membres de l’entourage des auteurs présumés de l’attaque contre Charlie Hebdo sont en garde à vue ce jeudi matin, a-t-on appris de source judiciaire.
Hommes et femmes, ces personnes ont été placées en garde à vue tard mercredi soir. Les lieux d’interpellation n’ont pas été précisés dans l’immédiat.
7 h 50. « Plusieurs interpellations » et des « gardes à vue »
« Il y a plusieurs interpellations cette nuit, il y a des gardes à vue », a déclaré le Premier ministre Manuel Valls ce jeudi matin, sur RTL, sans vouloir citer de chiffre alors qu’on lui demandait avec insistance s’il s’agissait de deux ou trois individus arrêtés.
Manuel Valls a déclaré que les « individus » ayant commis l’attentat contre Charlie Hebdo « étaient sans doute suivis » par les services de police et de justice mais qu’il n’existe « pas de risque zéro ».
« Les service de police et de justice ont démantelé de nombreux groupes, contrariés des projets d’attentat. C’est bien la preuve que nous agissons. Ce sont des centaines d’individus qui sont suivis, des dizaines de personnes qui ont été interpellées, des dizaines de personnes qui ont été incarcérées. Cela montre la difficulté devant laquelle sont placés nos services : le nombre d’individus qui représentent un danger. Ces individus étaient sans doute suivis mais il n’y a pas de risque zéro. C’est terrible à dire parce qu’il y a des victimes, un attentat terrible et nous sommes tous touchés, bouleversés », a déclaré le Premier ministre.
7 h 40. Une journée qui marquera la France à jamais
Il y aura eu les raids sanglants de Mohamed Merah à Toulouse et Montauban en mars 2012, les attentats à la bombe dans le RER en juillet 1995 et décembre 1996, où celui de la rue des Rosiers en 1982. Et ce 7 janvier 2015 où trois assaillants ont réalisé un véritable carnage au siège du journal satirique Charlie Hebdo.
7 h 50. « Devoir de résistance », commentaire de Michel Urvoy, éditorialiste de Ouest-France
Entre l’envie de hurler son horreur et le besoin de faire silence face à la mort, entre l’émotion qui vous emporte et la réalité qui vous semble une sinistre fiction, réfléchir est parfois un exercice difficile. Ils ont voulu assassiner la liberté de dire, d’écrire, de rire. Résister, c’est d’abord continuer à dire, à écrire, à rire…
Lire la suite sur le blog « Politiquement chaud »
7 h 30. Qui sont les suspects de l’attentat terroriste ?
Après l’attaque sanglante contre le journal satirique Charlie Hebdo, la police recherche deux frères d’une trentaine d’années « considérés comme dangereux et lourdement armés » par les enquêteurs.
Qui sont Saïd et Chérif Kouachi ?
6 h 15. Aujourd’hui, jour de deuil national en France
François Hollande a annoncé une journée de deuil national ce jeudi. Les drapeaux seront en berne pendant trois jours et une minute de silence aura lieu à midi dans les services publics et les écoles. La cathédrale Notre-Dame sonnera le glas au même moment.
6 h 00. «Nous ferons face », l’éditorial de ce jeudi par François Régis Hutin
Pour François Régis Hutin, patron de Ouest-France, « l’abominable attentat qui nous meurtrit tous atteint, à travers les journalistes visés, tous ceux qui se veulent libres ». Il dénonce « Un crime contre notre liberté ». Lire « Nous ferons face »
2 h 40. La police publie les photos des deux suspects recherchés
La police publie un appel à témoins avec les photos des deux frères recherchés Saïd et Chérif Kouachi. « Toute personne détenant des informations » sur les suspects est invitée à joindre le numéro vert 0805 02 17 17. Plus de détails ici.
Charlie Hebdo. La police lance un appel à témoins pour tenter de retrouver Chérif et Saïd Kouachi. Charlie Hebdo. La police lance un appel à témoins pour tenter de retrouver Chérif et Saïd Kouachi. | Photo : AFP
2 h 25. Le plus jeune des trois hommes recherchés s’est rendu à la police
Plusieurs gardes à vue sont en cours dans l’entourage des deux frères recherchés alors que le plus jeune s’est rendu à la police.
Âgé de 18 ans il s’est présenté vers 23 h 00 au commissariat de Charleville-Mézières (Ardennes) et a été placé en garde à vue.
Des milliers de policiers, gendarmes et enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les deux principaux suspects, identifiés par la police comme étant les frères Chérif et Said Kouachi, déjà connus des services de police. Des milliers de policiers, gendarmes et enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les deux principaux suspects, identifiés par la police comme étant les frères Chérif et Said Kouachi, déjà connus des services de police. | Photo : AFP
1 h 00. Revivez les événements de la journée de mercredi
Attaque à la kalachnikov en pleine conférence de rédaction de Charlie Hebdo, échanges nourris de tirs avec les policiers et car-jacking permettant aux assaillants de semer les forces de l’ordre : le film de l’attentat.
Des opérations de « perquisitions et de vérifications » de lieux rattachés aux suspects ont été menées mercredi soir à Reims et Charleville-Mézières, impliquant des policiers d’élite du Raid. Des opérations de « perquisitions et de vérifications » de lieux rattachés aux suspects ont été menées mercredi soir à Reims et Charleville-Mézières, impliquant des policiers d’élite du Raid. | Photo : AFP
Attentat à Charlie Hebdo
Hier midi, à Paris, deux hommes armés de fusils d’assaut ont fait irruption au siège de l’hebdomadaire satirique. Douze personnes ont été assassinées. Hier soir, les tueurs étaient toujours en fuite.
