Des journalistes gabonais réunis au sein du Réseau gabonais des journalistes de droit de l’homme (REGAJOUDH) ont vivement dans une déclaration lundi, à Libreville, condamné l’attentat perpétré mercredi dernier au siège du journal satirique français, Charlie Hebdo ayant causé le décès de 12 personnes dont 10 journalistes.
Le président du REGAJOUDH, Marc Ulrich Malekou-Ma-Malekou, a exprimé son indignation par rapport à ce carnage à la Kalachnikov.
« Un attentat qui, de ce fait, vient remettre sur les rails le sempiternel problème de la liberté d’expression de la presse encore trop gênante pour certaine personnes et certains groupements radicaux », a martelé M. Malekou.
Les trois attentats de la semaine dernière à Paris commis par des Djihadistes a provoqué un véritable tôllé à travers le monde.