« Les objectifs visés par cette formation pratique répondent à la volonté de la Fondation BGFIBANK, de promouvoir l’excellence opérationnelle auprès des acteurs de l’économie sociale, en renforçant leurs capacités sur des thématiques liées à leur modèle économique », a déclaré le directeur général d’entreprenarium du Gabon, Yannick Ebibie.
Plus d’une dizaine des associations et ONG intervenant dans les domaines de l’éducation, la santé, l’environnement et la culture ont pris part à cette rencontre, dans l’optique de bénéficier des mécanismes qui sous-tendent le fonctionnement d’un entrepreneuriat social.
M. Ebibie dont la structure a été coptée pour apporter son expertise lors du séminaire, a rappelé aux séminaristes le caractère important des ONG et des associations évoluant dans l’économie social.
« Les ONG sont en phase de développement dans plusieurs pays européens. En France, ces dernières contribuent à hauteur de 10% des emplois, alors qu’en Europe, elles (ONG) résorbent 20% des emplois. Je souhaite que vous contribuez au développement de votre pays », a-t-il lancé aux responsables des ONG et des associations.
L’entrepreneuriat social consiste, a expliqué M. Ebibie à créer une activité économique viable, pour répondre aux besoins sociaux et environnementaux, pour y arriver, les manager doivent être motivés, enthousiastes et dynamiques.
Il a également précisé que l’entrepreneuriat social permet d’acquérir une compréhension de base dans le domaine. Il permet aussi aux responsables des associations de travailler en équipe et savoir faire face aux difficultés.
La formation qui a duré une journée a permis d’identifier et positionner un écosystème d’ONG performantes.
La Fondation BGFIBank contribue concrètement à l’ambition d’un développement responsable en soutenant des actions d’intérêt général au profit de tous. Elle est au service de la réalisation des objectifs du groupe BGFIBank en matière de responsabilité sociétale.
La Fondation BGFIBank a intervenu dans plusieurs secteurs d’activités entre 2013 et 2014. Elle a permis notamment dans le domaine médical d’examiner 54079 enfants dans le cadre d’une évaluation de la fréquence de l’épilepsie au cours d’une maladie infectieuse telle que le paludisme cérébral, la méningite purulente ou l’encéphalite virale.
