Le cabinet médico-chirurgical Saint-André, le cabinet d’accouchement Amour fraternel et la clinique Damas Aleka viennent d’être suspendus par la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS).
Le cabinet médico-chirurgical Saint-André, le cabinet d’accouchement Amour fraternel et la clinique Damas Aleka viennent d’être suspendus par la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGs). A l’issue de visites de terrain menées conjointement par la direction générale de la Concurrence et de la consommation (DGCC) et l’inspection générale de la Santé (IGS), il a été reproché à ces trois structures de ne plus offrir des conditions de sécurité aux patients, du fait de la vétusté de leurs plateaux techniques. «Les visites que nous avons effectuées dans le cadre de nos missions nous ont révélé que certains blocs opératoires trouvés dans ces structures ne répondaient plus aux normes de sécurité pour le patient», a fait observer la directrice du contrôle et de la lutte contre la fraude à la CNAMGS, relayée par le quotidien L’Union. «Certains services de radiologie n’étaient pas blindés», a poursuivi Georgette Ndong.
Selon elle, cela expose aux risques de rayons ionisants, dangereux pour la santé. Pourquoi la CNAMGS a-t-elle attendu aussi longtemps pour procéder à la suspension des contrats ? Ces structures sanitaires sont-elles les seules défectueuses, dans le lot de partenaires que compte la CNAMGS ?
Auteur : Jean-Thimothée Kanganga
