Au cours de son séjour à Washington, le président de la République a échangé avec des partenaires politiques et économiques. Au cœur des échanges, la sécurité régionale et internationale, le partage de la prospérité dans des économies en mutation et les questions environnementales.
En marge du sommet sur la sécurité nucléaire, organisé du 31 mars au 1er avril dernier à Washington, Ali Bongo a rencontré plusieurs personnalités. Il a notamment évoqué la sécurité régionale et internationale, le partage de la prospérité dans des économies en mutation et les questions environnementales.
S’agissant de l’insécurité régionale et internationale, le président de la République a plaidé pour l’adoption d’une démarche globale fondée sur la participation et la collaboration de l’ensemble des nations. Celle-ci participera de la stratégie de détection et de prévention des menaces du terrorisme nucléaire dans un monde de plus en plus interconnecté. Il a également appelé au renforcement de la coopération sécuritaire entre le Gabon et les États-Unis dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, le braconnage, le trafic de drogue et la piraterie dans le Golfe de Guinée.
Les relations entre le Gabon et le pays de l’oncle Sam n’ont pas été oubliées. Particulièrement satisfait de l’impact de l’African growth and opportunity act (Agoa) dont le dernier forum s’est tenu à Libreville, Ali Bongo a saisi l’occasion pour rappeler à ses hôtes, la volonté du Gabon de trouver un juste équilibre entre le développement industriel et les exigences en matière de préservation de l’environnement. «Reconnu pour les politiques de développement durable et de protection des ressources halieutiques du Gabon qu’il a mises en place, le président de la République a officiellement été invité à porter haut et fort un message en faveur de la protection des océans lors du sommet spécial qui se tiendra en amont de l’assemblée générale des Nations-unies en septembre à New York », souligne un communiqué de la direction de la communication présidentielle.
