Les filles et fils de la communauté Mpongwè ont exprimé leur «sincère gratitude à l’endroit d’Ali Bongo, pour la nomination de Rose Christiane Ossouka Raponda au poste de Première ministre. Pour ce groupe ethnique, la nomination de leur fille est un signal fort du chef de l’Etat dans «la gouvernance politique de notre pays».
Un peu plus de cinq jours après la nomination de Rose Christiane Ossouka Raponda au prestigieux poste de Première ministre, la communauté Mpongwè s’est exprimée sur cette actualité. Dans un communiqué publié dans L’Union du 27 juillet (mais daté du 21 juillet) les filles et fils de cette communauté ont remercié Ali Bongo pour la nomination de leur fille.
«En portant pour la première fois de l’histoire de nos institutions une femme à ces hautes fonctions, le chef de l’Etat vient de donner un signal fort dans la gouvernance politique de notre pays», a affirmé la communauté Mpongwè, avant d’exprimer sa «sincère gratitude» à l’endroit d’Ali Bongo et son épouse, «dont le combat juste et noble en faveur d’une meilleure prise en compte des compétences de la femme (…) mérite d’être salué».
La communauté Mpongwè estime par ailleurs que la nomination de Rose Christiane Ossouka Raponda est «la reconnaissance d’un parcours professionnel et politique fait de fidélité, loyauté et dévouement inconditionnel d’une dame sans cesse portée par le sens du bien collectif».
Ce groupe ethnique, représenté par les notables Robert Issoze Avit, Rosine Moreau, Jacques Igoho, Alexandre Ayo Barro, Viviane Rapontchombo Gassita ou encore Bernadette Rebienot Onwassango, a également assuré de son total soutien à la Première ministre, «pour la réalisation de la mission qui lui a été confiée».