Appel à Contributions: Sauve ton Gabon et cotise dans la Caisse de Libération Nationale

Cher compatriote,

Le temps presse. Tu attends quoi?

2022 est là pour nous dire que 55 ans de bongoïsme, c’est trop! Si nous ne court-circuitons pas immédiatement le projet électoraliste de 2023, pour que cette énième élection perdue d’avance ne se tienne pas avec les Bongo toujours au pouvoir, nous perdrons le Gabon pour toujours.

Nous ne parlons pas de boycotter l’élection car boycotter c’est laisser les Bongo gagner. Nous parlons de bloquer tout pour qu’aucune nouvelle élection ne puisse se tenir au Gabon tant que n’aura été imposée, au moins, une réforme capable de garantir que si l’élection se tient, elle sera le reflet du choix du Peuple. Nous ne voulons plus d’un autre 1993, 1998, 2005, 2009, et encore moins d’un autre 2016 où, même quand il est évident qu’on a gagné par les urnes, il n’y a rien pour nous garantir la prise de pouvoir.

Nous ne devons plus non plus nous leurrer. Il n’y a pas mille voies pour arriver à une telle réforme. Il n’y a pas mille méthodes non plus. Il n’y en a qu’une seule: celle qui nous ferait obtenir, au minimum, une réforme démocratisante, donc celle-là aussi qui, au mieux, mènerait à l’écroulement pur et simple du régime des Bongo. Cette voie reste et restera toujours… la force démocratique de « la rue ».

La « rue » ne veut pas dire violence. La rue, c’est tout simplement un peuple décidé à utiliser toutes les stratégies de défiance et de désobéissance civile qui peuvent faire que même le simple fait de rester à la maison puisse devenir, dans un cadre hautement stratégique, une arme fatale en vue de la libération nationale.

Mais nous ne pouvons plus improviser la rue. Nous devons la préparer, nous devons l’organiser. Et le Pr Daniel Mengara, créateur de l’idéologie du « Bongo Doit Partir », est prêt à se rendre lui-même au Gabon pour mettre en œuvre cette idéologie de libération nationale. Avec toi. Mais pour cela, il a besoin de toi.

Cher compatriote, pour résoudre la crise morale dans laquelle est plongé ton pays, crise morale dont les conséquences sociales, politiques, économiques et juridiques désastreuses ne sont plus à démontrer, nous devons agir. Ton inaction, notre inaction à tous, ne peut plus trouver excuse. 

Toi, le Gabonais ou la Gabonaise, ne trouves-tu pas que tu as abdiqué quand, pour prétexte de Covid, on t’a privé pendant deux ans, et en toute impunité, de ta liberté de circuler tout en te faisant payer des tests PCR à 50.000 CFA toutes les deux semaines ? Jusqu’à quand vas-tu accepter cette prison quotidienne dans laquelle on t’a condamné à vivre non seulement avec le Covid, mais aussi sous le joug quinquagénaire des Bongo et toutes les misères qui vont avec qui ont tué ton père, ta mère, ton oncle, ton frère, ton enfant, et j’en passe ?

Cela ne peut plus durer. Ressaisis-toi et bats-toi pour ta libération et celle de ton peuple.

En 2014-2015, le BDP avait proposé le projet DTE (Destitution – Transition – Élections), pour en finir, par la force démocratique de la rue. Nous nous sommes tous détournés de ce projet parce que nous avions cru, naïvement, que la situation se trouvait dans les urnes et l’argent des anciens pédégistes. Nous avons ainsi manqué de voir que si l’argent dont dépend le combat de toute une nation doit venir de la poche d’un seul individu, c’est que, au final, nous n’avons pas de combat car il suffirait que cet individu renonce et tout tombe à l’eau. C’est là la leçon que 2016 aurait dû nous enseigner.

Mais, malgré ces leçons de 2016, nous continuons, bizarrement, à croire que la libération doit venir de la poche d’une personne qui viendra encore nous vendre des élections perdues d’avance, alors que tout ce qui nous sépare de la mise en pratique du projet DTE (Destitution – Transition – Élections), c’est 100 millions de F CFA. Au lieu de continuer à payer les impôts et contributions sociales sur les salaires, au lieu de continuer à payer l’école et l’hôpital chaque année, ne serait-il pas plus logique d’apporter ta contribution, si minime soit-elle, à la caisse révolutionnaire mise en place par le BDP pour rapidement chasser les Bongo, pour que survienne rapidement « l’an un » du Gabon nouveau? Un Gabon nouveau de routes nationales bitumées, un Gabon nouveau où tu n’auras plus à payer l‘école de tes enfants ou envoyer ta famille à l’étranger pour de simples maladies qu’on pourrait commencer à soigner au Gabon si les Bongo, qui mangent l’argent qui aurait pu doter le Gabon d’hôpitaux dignes de ce nom, étaient évincés tout de suite ?

Autrement dit, cher compatriote, chacun doit désormais faire sa part, chacun doit donner à la mesure de ses moyens, pour que ce Gabon nouveau auquel nous aspirons tous survienne. Maintenant.

Tout ce qu’il nous faut, c’est 100 millions CFA pour lancer les choses. La mathématique de ces 100 millions est la suivante :

  • 100 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 1 million CFA peuvent les réunir.
  • 200 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 500.000 peuvent les réunir.
  • 400 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 250.000 peuvent les réunir.
  • 800 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 175.000 peuvent les réunir.
  • 1600 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 62.500 peuvent les réunir.
  • 3200 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 31.250 peuvent les réunir.
  • 6400 Gabonais et Gabonaises donnant chacun 15.625 peuvent les réunir.
  • Etc.

Toi, le Gabonais ou la Gabonaise qui continues d’attendre, où te situes-tu dans la grille ci-dessus ? Qu’es-tu capable de donner, pour en finir ?

Toi, le Gabonais ou la Gabonaise qui a préféré payer 50.000 CFA pour des tests PCR toutes les deux semaines et qui, maintenant, continues d’attendre alors que les Bongo eux n’attendent pas de manger le Gabon, de tuer nos familles avec l’arme de la misère, tu attends quoi ?

Sais-tu que si tu comptes parmi ceux qui ont payé les tests PCR entre mars 2020 et mars 2022, tout l’argent payé pour ces tests aurait pu financer 300 à 500 fois les 100 millions que nous demandons de cotiser pour ta libération ?

Si tu penses comme nous, membres du BDP, qu’Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, avait eu raison lorsqu’il déclara, à son époque, que la démocratie c’est « le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », alors le BDP t’invite à adhérer à son projet de libération nationale et, donc, à financer toi-même le changement durable vers la République digne de ce nom que tu souhaites, une République où la morale et Ie respect du droit de tous à la dignité seront la règle d’or. 

Pour les cotisations, si tu disposes d’une carte de crédit ou bancaire Visa ou Mastercard tu peux cotiser en cliquant sur le bouton PayPal qui dit « Faire un don » au milieu de la page qui se trouve sur ce lien : https://www.bdpmodwoam.org/donations/

Pour adhérer comme membre et, donc, payer ta cotisation de membre actif ou sympathisant souhaitant s’impliquer ou soutenir l’action, visite ce lien : https://www.bdpmodwoam.org/adhesions/devenir-membre/.

Si tu n’as pas de moyen de payer en ligne et ne disposes pas de carte de crédit ou carte bancaire te permettant de cotiser par paiement en ligne, contacte-nous ici https://www.bdpmodwoam.org/contacts/ pour que nous te donnions le nom de la personne qui recevra ton transfert Western Union ou MoneyGram aux USA.

Si tu as accès à WhatsApp et souhaites une entrevue avec la direction du mouvement, tu pourrais en faire la demande en nous contactant ici https://www.bdpmodwoam.org/contacts/ avec le numéro de téléphone lié à ton compte WhatsApp. Si tu préfères Skype ou une autre forme de communication, tu pourrais également nous envoyer ton pseudonyme ou identifiant pour l’établissement du contact. Les réunions par le Messenger de Facebook ou par Zoom sont également possibles.

Nous resterons évidemment en contact avec toi pour la suite. N’hésite pas à nous contacter au cas où tu aurais des questions.

Patriotiquement tien.

Henri Omva
Bongo Doit Partir- Modwoam